Métal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les métaux sont une classe de matériaux très utilisés dans de nombreux domaines : construction (charpentes métalliques, menuiserie en aluminium), plomberie (tuyaux, robinets), véhicules (du vélo à l'avion), machines industrielles, armement,… Les métaux sont également de plus en plus employés dans la plupart des techniques de pointe : accumulateurs électriques, cartes électroniques, écrans plats LCD, capteurs solaires photovoltaïques, lampes fluo-compactes, diodes électroluminescentes,… La consommation des métaux s'est ainsi très fortement accrue depuis les années 1980, au point que certains métaux rares sont devenus des matières premières minérales critiques. Métal chauffé par un forgeron Généralités[modifier | modifier le code] Les métaux ont en commun certaines propriétés comme notamment Dans la classification périodique, les métaux sont au centre et à gauche. Définition[modifier | modifier le code] Propriétés[modifier | modifier le code]
Gérard Kloppel GrdMaître 1985-1998 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gérard Kloppel est né à Puteaux le et décédé le à l'âge de 68 ans, d'une crise cardiaque, il est inhumé à Châteaurenard. Franc-maçon, il a marqué l'histoire moderne du rite de Memphis-Misraïm, mais aussi celle du Martinisme. Biographie[modifier | modifier le code] Diplômé de l’École des hautes études en sciences sociales, titulaire d’un DEA de psychopathologie et psychiatrie sociale, il s’était beaucoup intéressé à la psychologie de l’enfant, et sa thèse de doctorat, soutenue en 1983 à l’Université René Descartes de Paris , était intitulée Milieu familial et étiologie des conduites déviantes chez le jeune adulte français. Il exerça comme psychothérapeute et fut chargé de cours à l’Université de Paris XI. Franc-Maçonnerie[modifier | modifier le code] De même, Gérard Kloppel sera nommé par Robert Ambelain comme son successeur à la présidence du Suprême Conseil des rites confédérés pour la France et ses dépendances, le .
Georges Eugène Haussmann Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hausmann. Georges Eugène Haussmann Photographie d'Haussmann en 1860. Compléments À ce titre, il a dirigé les transformations de Paris sous le Second Empire en élaborant un vaste plan de rénovation, qui a donné lieu aux spéculations haussmanniennes à l'origine du krach de 1873. Enfance et carrière jusqu'au Second Empire[modifier | modifier le code] Né à Paris le au 55 rue du Faubourg-du-Roule, dans le quartier Beaujon, dans une maison qu'il n'hésita pas à faire démolir, il est le fils de Nicolas-Valentin Haussmann (1787-1876), protestant, commissaire des guerres et intendant militaire de Napoléon Ier et d'Ève-Marie-Henriette-Caroline Dentzel, fille du général et député de la Convention Georges Frédéric Dentzel, baron d'Empire, et le petit-fils de Nicolas Haussmann (1759-1847), député de l'Assemblée Législative et de la Convention, administrateur du département de la Seine-et-Oise, commissaire aux armées.
Luigi Colani: Transport design '20 years ahead of the rest' Luigi Colani says he has designed thousands of objects, but his transport designs are most famous. Pictured is his streamlined mobile home from 2006/08. High-speed 'Train of Tomorrow' for the German national railway, 1989. Colani sportscar C 112, 1970. A magnetic levitation vehicle from 1978. Colani 'Mega Roadster Horch,' 1996. Study for a Mach five passenger aircraft, 1983. A truck based on a DAF chassis, and Spitzer silo truck on a Mercedes Actros chassis, 1997/2002. Colani 'Frog,' 1973. In 1978 Colani built a fast, small hovercraft, using a Wankel motor. Life-sized model of a two-part hybrid car, 1970. Colani's mega-passenger aircraft from 1977 is based on the shape of the Megalodon shark. Colani Stealth Plane, 1975. Luigi Colani's futuristic designs 'Train of Tomorrow' Colani sportscar C112 Maglev 2 Colani Roadster Mach 5 aircraft Aerodynamic Colani truck Colani 'Frog' 1978 hovercraft Hybrid car Mega passenger aircraft Colani Stealth plane "So nature is not better -- there's only nature.
1728 Philip Wharton (jacobite) crée la 1ère Grande Loge de France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Philip Wharton (Comté d'Oxford, Angleterre, 21 décembre 1698 – Monastère de Poblet, Catalogne, 31 mai 1731), 1er duc de Wharton, fut un important homme politique jacobite, un libertin célèbre et l'un des premiers Grands Maîtres de la franc-maçonnerie. Enfance[modifier | modifier le code] Il voyagea en France et en Suisse et rencontra le « Old Pretender » Jacques François Stuart qui lui donna le titre[1] de duc de Northumberland en 1716. En 1719, sa femme eut un fils nommé Thomas, qui mourut dans une épidémie de variole dans sa première année. Vie politique[modifier | modifier le code] Wharton commença à accumuler les dettes très vite, au point qu'il vendit ses propriétés d'Irlande pour investir dans la South Sea Company. Il s'opposa activement à Robert Walpole en 1722, en particulier en finançant un périodique nommé « The True Briton ». En 1725, ne pouvant plus faire face à ses dettes, il quitta la Grande-Bretagne. (en) Smith, Lawrence B.
Architecture néoclassique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'origine du style[modifier | modifier le code] L'architecture néoclassique est l'héritière de l'architecture classique, théorisée par l'architecte antique Vitruve dans son traité qui définit la théorie des trois ordres (ionique, dorique, corinthien). Vitruve sera la grande référence des architectes pour qualifier le renouveau du recours à des formes antiques, à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, jusqu'en 1850 environ. L'architecture néoclassique prétend avoir recours à des formes grecques, plus qu'italiennes, ainsi elle est appelée goût grec à ses débuts en France vers 1760. C'est un mouvement international dont on trouve différentes manifestations, de l'Amérique du Nord à la Russie. la phase du palladianisme, la plus ancienne, qui se développe dans les campagnes de la Grande-Bretagne sous l'impulsion d'Inigo Jones et de Christopher Wren. Allemagne[modifier | modifier le code] Belgique[modifier | modifier le code]
VISIONS IN DESIGN - © made by In Mind GmbH re-paint of the legendary "FROG"-motorcycle study, 1973 , photo by Tom Vack Corgi International's revolutionary H2Go hydrogen-powered Radio Control Car, recipient of the 2008 Toy Award at the 2008 Nüremberg International Toy Fair. Professor Luigi Colani was responsible for giving the H2Go a look as futuristic as the green energy technology inside the car. The car combines classic playability with zero emissions energy technology, engaging the user in the quest to diminish reliance on fossil fuels. In recognition of his creative contributions to our culture for more than 40 years , the ART CENTER COLLEGE OF DESIGN , Pasadena/California honored Prof. on July 15,2007 as one of the first recipients with the : "DESIGN VISIONARY AWARD" COLANI - In the beginning there was water Knowing that all life evolved from water, Luigi Colani established the basic idea for the exceptional collection now presented by marburg wallcoverings. The designs were realized using extraordinary technical innovations.
Ludovic Trarieux Sénateur 3ème République TRARIEUX (JACQUES, Ludovic), né le 30 novembre 1840 à Aubeterre (Charente), mort le 13 mars 1904 à Paris. Député de la Gironde de 1879 à 1881. Sénateur de la Gironde de 1888 à 1904. Ministre de la Justice du 26 janvier au 1er novembre 1895. (Voir première partie de la biographie dans ROBERT ET COUGNY, Dictionnaire des Parlementaires, t. Au renouvellement triennal du Sénat de 1888, Trarieux fut élu par le département de la Gironde et réélu en 1897, le deuxième sur cinq, au premier tour de scrutin, par 888 voix sur 1.281 votants, ses collègues étant Monis (896 voix), Obissier Saint-Martin (858 voix), Caduc (850 voix) et Raynal (810 voix). Ces deux attitudes n'étaient point contradictoires : défenseur de la liberté, qu'il ne confondait pas avec la licence (il approuva R. Ainsi exprimait-il le sentiment de la grande majorité des sénateurs, conservateurs du libéralisme politique. Avec le cabinet Waldeck-Rousseau - dont le garde des sceaux, Monis, était son colistier - il triompha...
Eugène Viollet-le-Duc - Wikipédia - Waterfox Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Eugène Viollet-le-Duc est le fils d'Emmanuel-Louis-Nicolas Viollet-le-Duc (1781-1857)[2], conservateur des résidences royales à l'intendance générale de la liste civile sous le règne de Louis-Philippe Ier dès 1832[3], hommes de lettres (Nouvel Art poétique, Paris, Martinet, 1809) et dont la femme, Élisabeth Eugénie Delécluze (1785-1832)[4], fille de l'architecte Jean-Baptiste Delécluze (1745-v. 1805), tenait un salon où était reçu, entre autres, Stendhal. Eugène avait un frère cadet Adolphe Viollet-le-Duc (1817-1878), qui fut artiste peintre. Du fait de la fonction occupée par son père dans l'administration, toute la famille Viollet-le-Duc était logée au palais des Tuileries. Le , il épouse Élisabeth Tempier avec qui il aura peu de temps après un fils, qu'ils nommeront également Eugène. Le , Eugène Viollet-le-Duc part faire un voyage d'études de 18 mois en Italie. Postérité[modifier | modifier le code]
Les avant-gardes — partie I À gauche : El Lissitzky, Battez les Blancs avec le triangle rouge, lithographie de 1920. À droite : Hans Vitus Vierthaler, affiche pour une exposition nazie sur l’« art dégénéré » (Entartete Kunst) en 1936. Certains passages sont extraits de mon article « Les avant-gardes et leur relation avec le pouvoir dans le champ du graphisme et de la typographie », paru dans Articulo - revue de sciences humaines, 3 | 2007, mis en ligne le 27 novembre 2007 Introduction Les premiers travaux et réflexions et que nous pouvons aujourd’hui qualifier de « graphiques » au sens contemporain du terme, coïncident avec la naissance des mouvements d’avant-garde de manière générale, et parmi ceux-ci, du mouvement futuriste en particulier, premier groupe à investir de manière nouvelle et synthétique les possibilités offertes par la typographie, la peinture, la photographie, etc. La formation de l’avant-garde L’avant-garde n’existe qu’à travers l’arrière-garde. À gauche : F.T.
Ferdinand Buisson LDH de1902-1906 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Buisson. Ferdinand Buisson, né le à Paris et mort le à Thieuloy-Saint-Antoine, est un philosophe, éducateur et homme politique français, cofondateur et président de la Ligue des droits de l'Homme, ainsi que président de la Ligue de l'enseignement (1902-1906). En 1927, le prix Nobel de la paix lui est attribué conjointement à Ludwig Quidde. Il a été directeur de l'Enseignement primaire en France. En 1905, il préside la commission parlementaire chargée de mettre en œuvre la séparation des Églises et de l'État. Biographie[modifier | modifier le code] Ferdinand Buisson est élève au lycée Condorcet, puis obtient l'agrégation de philosophie. Figure historique du protestantisme libéral, il s'exile volontairement en Suisse sous le Second Empire, de 1866 à 1870, car il refuse de prêter serment au nouveau pouvoir ; il est professeur à ce qui deviendra l'université de Neuchâtel. Œuvres[modifier | modifier le code]