Le 28 Juillet : La Liberté guidant le peuple – Eugène DELACROIX (Charenton-Saint-Maurice, 1798 - Paris, 1863) – Peintures | Musée du Louvre
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L’Opéra Garnier
L’Opéra avant l’OpéraNaissance du grand OpéraIntérieur somptueuxLes mystères de l’OpéraD’hier à aujourd’hui L’Opéra avant l’Opéra Salle Louvois Depuis fort longtemps, l’aristocratie et la bourgeoisie se rendait au théâtre pour écouter l’art lyrique. L’opéra était écouté dans des lieux successifs. La salle Louvois Situé face à l’entrée de la Bibliothèque Nationale, ce théâtre avait été construit en 1793 à l’emplacement de l’hôtel particulier appartenant à Louvois. En effet, le dimanche 13 février 1820, le duc de Berry, second fils du Comte d’Artois (futur Charles X ) se rend en compagnie de sa femme à l’Opéra pour écouter « le Rossignol, le Carnaval de Venise et les noces de Gamache » La duchesse s’étant retirée avant la fin du spectacle, le duc de Berry l’accompagne jusqu’à la voiture et s’apprête à regagner sa loge. Assassinat du duc de Berry L’objectif de Louvel était d’assassiner tous les Bourbons les uns après les autres. L’Opéra fut fermé peu de temps après et démoli. par Webmaster
La première d'Hernani. Avant la bataille
Contexte historique Après Martignac, plus libéral que Villèle, Charles X charge en août 1829 le prince de Polignac de former un nouveau ministère sans tenir compte de la volonté des Chambres. Les principaux ministres incarnent la fidélité à l’Ancien Régime et sont l’objet d’une réelle impopularité. Soumise à l ’examen de la censure, la pièce de Victor Hugo est cependant autorisée alors que sa précédente création, Marion Delorme, avait été interdite par Charles X pour « atteinte à la majesté royale ». Le 29 septembre 1829, Hugo invite ses amis chez lui pour donner lecture d’Hernani, ou l’Honneur castillan, l'histoire d'amour malheureuse d'un proscrit, Hernani, pour une jeune infante, doña Sol. On s'enthousiasme pour cette pièce qui rompt avec les canons du théâtre classique, notamment avec les trois unités de temps, de lieu et d'action énoncées par Boileau sous le règne de Louis XIV. Analyse de l'image Interprétation
Opéra Garnier
L'opéra Garnier[a], ou palais Garnier[a], est un théâtre national qui a la vocation d'être une académie de musique, de chorégraphie et de poésie lyrique ; il est un élément majeur du patrimoine du 9e arrondissement de Paris et de la capitale. Il est situé place de l'Opéra, à l'extrémité nord de l'avenue de l'Opéra et au carrefour de nombreuses voies[b]. Historique[modifier | modifier le code] Concours pour un nouvel opéra[modifier | modifier le code] Toujours est-il que le concours, pour l'édification d'une « Académie impériale de musique et de danse »[3] attendue depuis cinquante ans, est organisé et annoncé dans un second arrêté du 29 décembre de la même année 1860. L'événement est tel que les Parisiens et la province suivent le déroulement de la compétition et attendent impatiemment le résultat. Charles Garnier, photographie par l'atelier Nadar en 1870[5]. Le jury[6] est présidé par le prince Walewski, fils naturel de Napoléon Ier et de la comtesse Walewska. De 1875 à 1900 De 1900 à 1945
Musée de l'histoire de France
// Un vent de liberté souffle sur les colonies Oeuvre Abolition de l’esclavage dans les colonies, le 23 avril 1848 Quinze ans après la Grande-Bretagne, l'esclavage est définitivement aboli dans les colonies françaises sous la Deuxième République. Depuis le XVIIIème siècle, des voix s’étaient élevées pour l’abolition de l’esclavage, affirmant l’égalité des hommes et leur droit naturel à la liberté. Le tableau représente une scène d’émancipation dans les colonies, au moment de la proclamation de l’abolition. tous les dossiers
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Cette grande salle carrée fait partie de l’aile Gabriel, élevée par l’architecte de ce nom entre 1771 et 1775, première étape de la reconstruction complète des façades du château du côté de la ville, jamais achevée. A la fin de l’Ancien Régime, elle servit de foyer à la salle de spectacle voisine, installée à l’emplacement d’un nouvel escalier, jamais achevé. Louis-Philippe la consacra aux représentations des réunions des Etats généraux et autres assemblées convoquées par le roi, qui ont émaillé l’histoire de France. Il voulait rappeler que, depuis les temps les plus anciens, en vertu du lien très étroit qui unissait la monarchie française et son peuple, les plus grandes décisions de l’histoire du royaume étaient prises par l’un et l’autre, de manière concertée. Les tableaux principaux montrent les assemblées les plus mémorables, autour de celle réunie à Versailles à partir du 5 mai 1789, dans la salle des Menus-Plaisirs, l’un des grands événements de la Révolution française.
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C’est dans l’ancienne grande salle des Gardes, vierge de tout décor d’Ancien Régime, et alors la plus vaste salle du palais (en dehors de la galerie des Glaces), que Louis-Philippe fit installer les plus grands tableaux de son musée d’Histoire de France : deux œuvres de David, Le sacre de Napoléon, le 2 décembre 1804, et Le serment fait à l’Empereur par l’armée après la distribution des aigles, le 5 décembre 1804. Ils devaient faire partie d’une suite sur les grands moments des cérémonies du couronnement de Napoléon en décembre 1804. Ces deux premières toiles, commandées sans destination précise, étaient restées sous l’Empire dans l’atelier de l’artiste et avaient été reprises par l’administration des musées en 1819 et mises en magasins. On y ajouta, du côté des fenêtres, deux portraits de Napoléon, l’un jeune, en général, l’autre en costume de sacre, surmontés de portraits de ses deux épouses, Joséphine de Beauharnais et Marie-Louise de Habsbourg-Lorraine.
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Désirant s’attacher la plus vieille noblesse, dite justement « immémoriale », et souhaitant ne pas évoquer les innombrables luttes féodales de la France médiévale, Louis-Philippe choisit de raconter dans son musée d’Histoire de France l’extraordinaire épopée des croisades, mise à la mode par des ouvrages historiques et des romans. Prêchées par la Papauté à partir de la fin du XIème siècle pour la délivrance du tombeau du Christ, tombé aux mains des Musulmans – les « Infidèles » -, elles entraînèrent dans une sorte d’« union sacrée » tous les royaumes de la Chrétienté jusqu’à la fin du XIIIème siècle. Au-delà des aventures militaires qu’elles représentaient, leurs récits étaient émaillés de notes d’exotisme et d’insolite, qui fascinèrent des générations de lecteurs et de voyageurs. Au récit des croisades, on ajouta les grands moments de l’histoire de l’ordre hospitalier des chevaliers de Rhodes, entre le XIVème et le XVIème siècles. Voir les œuvres présentes dans cette salle