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La programmation pour les enfants: et pourquoi pas le code en LV3 ?

La programmation pour les enfants: et pourquoi pas le code en LV3 ?
Alors que l’informatique est omniprésente et que l’initiation –même superficielle– à la programmation semble plus nécessaire que jamais, son enseignement se raréfie et les salles de classe se vident petit à petit. Des mots, des conjonctions, des signes de ponctuation et des symboles mathématiques s’imbriquant dans un ordre mystérieux: voilà ce que voit un néophyte confronté à des lignes de code. Ce néophyte, c’est moi, c’est peut-être vous, c’est en tout cas la majeure partie de la population qui n’a pas été mise dans la confidence. Pourtant, les bases de la programmation informatique ont bel et bien été enseignées dans les lycées français. Le Plan Informatique pour Tous, présenté en 1985 par Laurent Fabius, alors Premier ministre, a équipé les écoles en matériel offrant aux élèves –et avant eux à leurs enseignants– un premier contact avec les ordinateurs. Back to Basic Machine à penser et outil à tout faire, l’ordinateur est envisagé comme un moyen de connaissance et d’interaction.

Utiliser un langage de programmation au collège En classe de 3e, deux parties du programme m’ont incité à utiliser un langage de programmation durant quelques séances. Il s’agit d’une part de la notion de fonction et d’autre part de l’introduction des probabilités. Concernant les fonctions, le formalisme des langages de programmation me semblait donner une motivation au formalisme Mathématique. Les algorithmes comme ensembles de procédures permettant de fournir un résultat sont assez présents dans le programme de 3e (en Arithmétique et en Calcul littéral notamment). Les travaux proposés aux élèves mettent l’accent sur deux objectifs didactiques : faire apparaître l’image d’un nombre par une fonction comme le résultat d’un ensemble de commandes construites auparavant. mettre en défaut le modèle spontanné d’équiprobabilité sur un exemple d’expérience aléatoire à deux épreuves (voir la page 10 du document d’accompagnement sur les probabilités en 3ème) Pourquoi pas le tableur ? Choix du langage être simple à installer 1. 2. 3. Conclusion

IBM veut mettre l’analytique à la portée de tous 01Business le 06/11/13 à 15h29 Force est de constater que pour cette édition 2013 d’Information On Demand, IBM n’aura pas brillé par l’originalité de son message principal. Le projet Neo, un nouveau système d’exploration de données Mickael D Rodin, vice-président de la division Software Solution Group (photo) résume la donne. « Pour favoriser cette prise en main de l’analytique par des non connaisseurs, nous devons simplifier à l’extrême leur compréhension des données. Une réponse à QlikTech et à Business Objects Dans le principe, l’utilisateur spécifie différentes sources de données quelle que soit leur nature - base relationnelle, tableurs, base NoSQL... Autre élément simplificateur qu’IBM entend faire valoir : la recherche en langage naturel. L’analytique à l’assaut des autres applications… A noter que ses concurrents directs suivent la même ligne.

Ce samedi, les enfants ont cours de hacking HacKIDemia fait partie de ces chouettes projets qui entendent renouveler la pédagogie des sciences et de la technologie en mettant au centre le (savoir-)faire, et qui puisent leur inspiration dans les valeurs des hackers, ces bidouilleurs créatifs et partageurs. Après une première édition à Paris en juin, HacKIDemia a bougé à Bucarest en Roumanie en septembre. À l’HacKIDemia, on n’apprend pas aux enfants à cracker le code de l’ordinateur de leurs géniteurs, non, on leur enseigne les sciences et la technologie par la pratique, en vertu du learning by doing cher aux hackers, ces bidouilleurs créatifs. Ce samedi, dans le cadre de l’Open World Forum (OWF), la deuxième édition française, co-organisée avec La Cantine/Silicon Sentier, proposera plusieurs ateliers pour mettre les menottes dans le cambouis, et aussi les grandes mimines des parents : conception de jeux vidéo, introduction à l’électronique avec le processeur Arduino et de la soudure, robot, graffiti, etc. Une bêta “magique”

Apprendre le français programme enfants 8 à 12 ans - Menton Programme enfant à MentonProgramme standard 20 leçons par semaine Notre école à Menton vous offre un environement de grande qualité, parfaitement adapté aux enfants de 8 à 12 ans. L'enseignement y est personnalisé, amusant et adapté aux compétences de l'apprenant. Prix : Cours standard 20 leçons par semaine, hébergement inclus730 € / semaine Cours standard 20 leçons par semaine, sans hébergement 370 € / semaine Frais administratif : 60,00 € Campus de Menton sur la French Riviera Une destination exceptionnelle pour apprendre le français réservée aux étudiants de 8 à 12 ans L'école Azurlingua vous présente son centre lignuistique «Menton Riviera Française», à quelques minutes à pied de la plage et seulement cinq minutes du centre ville. Collège PAUL VALERY Résidence surveillée 24h sur 24 - Étudiants supervisés par une équipe française qualifiée Notre école est l'un des plus beau bâtiments de la Riviera Française. Enseignement de haute qualité reconnu Plus de 20 d'expérience dans l'enseignement

L’apprentissage de la programmation informatique à l’école primaire et secondaire De plus en plus, sur le web, on s’interroge sur l’enseignement de la programmation à l’école. Cela fait trente ans que je milite pour que nos enfants apprennent à programmer. Cette question est cependant assez complexe ; je jette ici quelques éléments qui pourront , je l’espère, s’ajouter à une réflexion sérieuse sur le sujet. Parmi ces éléments, je traiterai des apprentissages particuliers en programmation et des embûches à ces apprentissages. Ce que l’élève apprend Qu’est-ce que l’élève apprend en programmant un ordinateur ? Je crois que l’élève, en programmant, devient concepteur c’est-à-dire un créateur. L’élève apprend à travailler par projet. «[...] Si la programmation apporte tant, pourquoi donc ne l’apprend-on pas à l’école ? Les embûches à ces apprentissages en milieu scolaire Plusieurs embûches bloquent la possibilité d’organiser un apprentissage de la programmation à l’école. -L’aconnaissance des enseignants. - La mauvaise expérience de plusieurs avec l’ordinateur.

BBC plans to help get the nation coding 8 October 2013Last updated at 08:01 ET BBC director general Tony Hall outlines his plans to get Britain coding in 2015. The BBC's director general, Tony Hall, has announced plans to "bring coding into every home, business and school in the UK". It comes 30 years on from a BBC push to make computing mainstream by putting BBC Micro computers in the majority of schools. In a speech to staff, Mr Hall said that the initiative would launch in 2015. "We want to inspire a new generation to get creative with coding, programming and digital technology," he said. Government and technology experts are becoming increasingly worried that vital computing skills are no longer being taught in schools. Meanwhile interest in higher-education IT and computing courses is falling, giving rise to fears about a massive skills gap. Continue reading the main story From September 2014 children in schools in England will start learning computer coding from the age of five, so today's announcement from the BBC is timely.

Apprendre le hacking - Techniques de base hacking / sécurité informatique Java's Cool - Cadrage Trois étapes dans l'apprentissage de l'informatique. Il faut être clair : à l'ère numérique dans laquelle nous vivons, les fondements de l'informatique constituent un savoir indispensable comme peut l'être la lecture ou l'écriture, et tôt ou tard (et plutôt tantôt que trop tard !), c'est une discipline à part entière qu'il faut pouvoir enseigner à nos jeunes, probablement en trois étapes : [primaire-collège] Apprentissage de l'usage des outils : apprendre à utiliser les outils : édition, communication, (et un clavier !) Sans oublier, à tous les niveaux, le développement de la réflexion et de la culture : comprendre d'où vient l'informatique, ce qu'elle change au niveau de notre société, etc.. Un levier: l'apprentissage de la programmation. On peut dire, comme l'enseigne Gilles Dowek, que, au confluent des quatre clés de voûte de l'informatique (Algorithme, Langage, Information, Machine), il y a la programmation. De quelques perspectives pédagogies. Quand le professeur apprend avec l'élève.

Nicolas Sadirac : "42 veut des esprits créatifs, pas formatés" Alors que le processus de sélection des 800 étudiants de l'école d'informatique 42 approche de la fin, le directeur général, Nicolas Sadirac, revient pour Clubic Pro sur la philosophie de cette formation qui ne délivre aucun diplôme, et dont un tiers des candidats n'a pas le baccalauréat. Nicolas Sadirac, directeur général de 42 Bonjour Nicolas Sadirac. La troisième piscine vient de commencer. Pouvez-vous donner quelques chiffres ? Nous avons enregistré 70 000 candidats pour les tests de capacité en ligne réalisés tout en amont, dont 20 000 les ont réussi. Comment sélectionnez-vous vos étudiants à ce stade ? Nous retiendrons 800 étudiants au final. C'est d'ailleurs un critère que nous prenons en compte dans la notation. L'autre point important que nous prenons en considération c'est la capacité des étudiants à progresser. Sur le forum de l'école et ailleurs sur le Net, certains se plaignent des conditions de travail. Il est vrai que la question du logement pose problème.

Edito Nuit du Hack 2014 | www.nuitduhack.com Pas besoin de savoir programmer pour comprendre les fondements de l'informatique ou utiliser les logiciels Est-il besoin de savoir programmer pour comprendre les fondements de l'informatique ou utiliser les logiciels ? François Élie, Bastien Guerry , Dominique Lacroix, Philippe Lucaud, Charlie Nestel, Cécile Picard-Limpens, Thierry Viéville Ce texte collectif fait la synthèse d'échanges sur la liste de diffusion du groupe ITIC de l'association Enseignement Public et Informatique (EPI : www.epi.asso.fr), produits à la suite du partage des références : « Why everyone should learn programming » (2010), Daniel Shiffman & Mark Webster [1], et « Comment développer la culture en informatique : en l'enseignant dès le lycée » (2010), Antoine Petit [2]. Deux questionnements Une aristocratie et un tiers-état de l'informatique en quelque sorte [3]. Comme s'il n'existait pas d'ingénierie informatique, fondée pour une grande part sur des mathématiques appliquées... Des utilisateurs à la merci des concepteurs en quelque sorte. Cinq clés pour y répondre Cinq clés permettent de briser cette double idée reçue. 1.

IBM mutiplie les cursus universitaires de « data scientists » 01Business le 19/08/13 à 13h40 Selon IBM, la santé, les télécoms et les services publics seront les secteurs les plus bénéficiaires de l'exploitation du Big Data. Avec 2,5 trillions d’octets d’informations générés chaque jour par les terminaux mobiles et les réseaux sociaux, le big data deviens un enjeu stratégique, et son exploitation une priorité pour les grande entreprises, qui pourront en tirer des orientations marketing. Le Bureau of Labor américain prévoit une augmentation de 24 % de la demande de datas scientists dans les huit ans à venir. Afin de répondre à cette demande, et aux 4,4 millions d’emploi qui en découleront d’ici 2015, IBM a mis en place un partenariat avec neuf nouvelles universités à travers le monde (mais aucune en France). Le géant américain a également annoncé les lauréats de son concours universitaire sur l’analyse du big data.

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