Anthologie de Poésie Francophone (choix: Jean-Pierre Rosnay) Cette page a pour ambition de vous faire partager notre passion pour quelques-unes des grandes voix de la Poésie francophone que nous interprétons, depuis 1961, au Club des Poètes, sous l'égide de Jean-Pierre Rosnay. Chaque poète est illustré par au moins un article et un extrait d'un de ses recueils de poèmes, dont vous trouverez aussi la liste ainsi que celle des éditeurs qui les publient. Certaines présentations sont enrichies par des documents inédits qui nous ont été confiés par les poètes eux-mêmes ou par leurs proches, comme par exemple, un poème de Robert Desnos offert par sa femme Youki à Jean-Pierre Rosnay, une lettre de Paul Claudel que nous a confiée son petit-fils François Claudel, etc. Vive la Poésie.
Poesies.net : Toute La Poésie Française. Poésie sonore Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La poésie sonore est une discipline poétique du XXe siècle. Le terme a été utilisé la première fois en 1958, dans un texte signé de Jacques Villeglé et François Dufrêne, à propos de Henri Chopin[1]. Henri Chopin, exposant en 1967 ce qu'est la poésie sonore, a expliqué qu'il est possible de la diviser en deux groupes : ceux qui sont dans la « préfération simple de la voix » et ceux qui usent « des ressources du magnétophone »[2]. Origines[modifier | modifier le code] Dès le début du XXe siècle, avant la naissance de la poésie sonore proprement dite, apparaissent des pratiques qui s'échappent du livre et revendiquent une forme d'oralité. Bien qu'il soit parfois affirmé que les racines de la poésie sonore se trouvent dans les traditions orales, l'écriture de textes purement sonores qui réduisent les rôles de la signification et de la structure est un phénomène du XXe siècle. gadji beri bimba glandridi lauli lonni cadori... » (Albright, 2004)
Le sonnet - Maxicours.com Objectif : connaître les différents genres poétiques. D'origine italienne, le sonnet est un poème destiné à être chanté. Il est illustré au XIVe siècle par Pétrarque et apparaît en France au XVIe siècle avec Clément Marot et Joachim du Bellay. 1. La forme du sonnet Le sonnet se compose de quatre strophes : deux quatrains et deux tercets liés ensemble par la rime. Ex. : « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. »
Bibliothèque sonore Palestine 2004 / Les yeux grand fermés 20 août 2014, par Jean-Philippe Chalté, Robin Hunzinger 2004-2014 dix ans de souffrances... (mise à jour de L. D.) À l’école de Gaza (août-septembre 2014) : éditorial et sommaire des articles liés ⇐ Un documentaire radiophonique de Robin Hunzinger (auteur producteur) et Jean-Philippe Chalte (son et musique originale). Réalisation : Vanessa Najdar. Une pièce de l’Atelier de création radiophonique de France Culture (Franck Smith et Philippe Langlois) en (...) La voix de Richard Brautigan 24 décembre 2012, par Richard Brautigan Le Collectif des ressources vient de recevoir ce message et propose de vous le faire partager : Bonsoir le même jour par un de ces hasards propres aux jours qui s’ensuivent à leur queue leu leu je reçus d’un ami belge (en tant que non-membre du non-fan-club de richard brautigan qui vient de s’autodissoudre) un cd d’enregistrements (inédits ?)
Lai (poésie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir lai. Le lai est un poème à forme fixe apparu au XIIe siècle et qui a désigné successivement des genres de poésie assez différents. L’origine du lai et de son nom est peut-être née d’anciens souvenirs littéraires celtiques (liais en gallois ou laoith en gaélique) car les vieilles légendes de la « matière de Bretagne » y tiennent une grande place, mais on y trouve toujours aussi la matière de France et la matière de Rome. Au XIe siècle, le lai, en France, se rattache intimement aux romans d’aventures, dont il diffère surtout par une moindre étendue. Le lai est alors à peu près synonyme de fabliau, à cette différence que le lai était empreint de sensibilité et de mélancolie, tandis que le fabliau s’ouvrait plus volontiers à la verve et à la gauloiserie. D’euls deus fu il tut autresi, Cume del chevrefoil esteit, Ki à la codre se preneit : Quant il est si laciez et pris E tut entur le fust s’est mis, ....
Sound About UbuWeb Sound Originally focusing on Sound Poetry proper, UbuWeb's Sound section has grown to encompass all types of sound art, historical and contemporary. Beginning with pioneers such as Guillaume Apollinaire reading his "Calligrammes" in 1913, and proceeding to current practitioners such as Vito Acconci or Kristin Oppenheim, UbuWeb Sound surveys the entire 20th century and beyond. Categories include Dadaism, Futurism, early 20th century literary experiments, musique concrete, electronic music, Fluxus, Beat sound works, minimalist and process works, performance art, plunderphonics and sampling, and digital glitch works, to name just a few. As the practices of sound art continue to evolve, categories become increasingly irrelevant, a fact UbuWeb embraces. UbuWeb embraces non-proprietary, open source media. All MP3s served on UbuWeb are either out-of-print, incredibly difficult to find, or, in our opinion, absurdly overpriced. UbuWeb
Les blasons Ayant avecque lui toujours fait bon ménage, J'eusse aimé célébrer, sans être inconvenant, Tendre corps féminin, ton plus bel apanage, Que tous ceux qui l'ont vu disent hallucinant. Ç'eût été mon ultime chant, mon chant du cygne Mon dernier billet doux, mon message d'adieu. Or, malheureusement, les mots qui le désignent Le disputent à l'exécrable, à l'odieux. C'est la grande pitié de la langue française, C'est son talon d'Achille et c'est son déshonneur, De n'offrir que des mots entachés de bassesse À cet incomparable instrument de bonheur. Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques, Tendre corps féminin, c'est fort malencontreux Que ta fleur la plus douce et la plus érotique Et la plus enivrante en ait un si scabreux. Mais le pire de tous est un petit vocable De trois lettres, pas plus, familier, coutumier, Il est inexplicable, il est irrévocable, Honte à celui-là qui l'employa le premier. La malepeste soit de cette homonymie! Et que je les connais.
L’ode Genres littéraires ► La poésie ► Genres de posésie ► vous êtes ici Genres littéraires : La poésie : Les genres de poésie : Qu’est-ce que l’ode ? L’ode (n.f.) était le nom donné, chez les Grecs, à tout poème lyrique qui pouvait être chanté, et qui se distinguait en cela de l’élégie. → La poésie lyrique. Tout ce qui agite l’âme avec violence, tout ce qui lui cause une émotion douce, tout ce qui l’impressionne et fait naître en elle un enthousiasme véritable, peut devenir la matière de l’ode. Ce poème n’est pas distingué des autres genres par la nature des sujets qu’il traite, puisque ces sujets sont très variés ; la seule différence qui existe, c’est que, dans les autres poèmes, le récit des actions est plus fréquent, tandis que dans l’ode, ce sont les sentiments portés jusqu’à l’enthousiasme qui dominent. Quel est le principal caractère de l’ode ? Le caractère essentiel, l’âme de la poésie lyrique, et surtout de l’ode, c’est l’enthousiasme, c’est l’inspiration. La forme de l’ode antique 1. 2.
Qu'est-ce qu'une chanson de geste ? Dans les dernières années du XIe siècle apparaissent à peu près simultanément deux formes littéraires très différentes, mais qui toutes deux rompent nettement avec les modèles que pouvaient offrir les lettres latines, et qui toutes deux allaient constituer pour un temps les manifestations essentielles de la littérature romane : la chanson de geste en langue d'oïl et la poésie Lyrique des troubadours en langue d'oc. La plus ancienne chanson de geste, La chanson de Roland dans la version du manuscrit d'Oxford, date sans doute des alentours de 1098 et le premier troubadour, le comte de Poitiers et duc d'Aquitaine Guillaume IX, a vécu de 1071 à 1127. Définition et nature du genre : Les chansons de geste sont des poèmes narratifs chantés - comme leur nom l'indique - qui traitent de hauts faits du passé - comme leur nom l'indique également. Ces poèmes ont une forme particulière : ils sont composés de laisses (strophes de longueurs irrégulières) homophones et assonancées. D'où viennent-elles ?
Les formes poétiques françaises: ballade, chant royal, complainte Origines. - Le mot ballade vient de l'ancien provençal ballada, qui signifie "danse": la ballade était à l'origine, aux alentours de 1250, une chanson de danse; elle était inséparable de la musique. Longtemps polymorphe, elle s'est constituée dans une forme fixe pour la première fois avec Guillaume de Machaut au XIVe siècle: celui-ci a créé la ballade dite "primitive" avec trois strophes qui reprennent la structure métrique du huitain ABABBCCB utilisé à l'époque; le dernier vers était répété pour faire le refrain. La ballade est devenue un genre défini, avec une forme fixe, quand elle a cessé d'être chantée, pour être dite. - la ballade apparaît vers le XVI° siècle. Très en faveur au siècle suivant, abandonnée de la Pléiade et des poètes du XVII° et du xviii) siècle, sauf Voiture, Sarrazin, La Fontaine, Mme Deshoulières et J.B. Rousseau, elle a de nouveau été cultivée au XIX° siècle. Auteurs et oeuvres.
Rondeau (poésie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rondeau. Le rondeau classique tel que codifié par Clément Marot peut être composé selon trois structures à treize vers (plus deux refrains qui ne comptent pas pour un vers) : quintil/tercet/quintil. Une variante de la forme quatrain/distique/quatrain se rencontre aussi parfois. Dans les deux cas, le refrain ou « rentrement », formé de l'hémistiche du tout premier vers, est donc répété à la fin de la deuxième et de la troisième strophe sans entretenir de rime avec les vers précédents ; on parle de « clausule ». La forme générale du rondeau est donc : aabba aab (+ clausule) aabba (+ clausule) Le rondinet est une forme fixe très ancienne généralement usitée pour les sujets galants. Exemple : Si j’ay parlé, d'Henri Baude[1] Si j'ay parlé aucunement Des dames de religion De la basse condicion, Je l’ay fait par esbattement. Sans y pencer, soubdainement, Ce fut par bonne intention Si j’ay parlé. Le font par bonne affection.