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Entretien avec Pierre Rabhi: Histoire, Peur, Connaissance, Education (1/5)

Entretien avec Pierre Rabhi: Histoire, Peur, Connaissance, Education (1/5)

http://www.youtube.com/watch?v=xBHBM6HLq64

JEUNESSE, EDUCATION, AVENIR {*style:<b> Avec Patrick Cottin, Michel Desmurget et Marcel Gauchet Le 9 juin 2012 à 14 heures à la Colline </b>*} Présentation Marcel GauchetMichel DesmurgetPatrick CottinDiscussion Rétention Les rétentions sont ce qui est retenu ou recueilli par la conscience. Ce terme est emprunté à Husserl ; mais les rétentions tertiaires sont propres à la philosophie de Bernard Stiegler. Les rétentions sont des sélections : dans le flux de conscience que vous êtes vous ne pouvez pas tout retenir, ce que vous retenez est ce que vous êtes, mais ce que vous retenez dépend ce que vous avez déjà retenu. L’espèce humaine, étant originairement constituée par sa prothéticité, dispose d’une troisième mémoire, ni génétique, ni épigénétique : le milieu épiphylogénétique, comme ensemble des rétentions tertiaires formant des dispositifs rétentionels. Rétentions primaires.

Journal de campagne Télérama.fr qui publie le journal de campagne collectif de cent personnalités du monde culturel a proposé à Bernard Stiegler d'écrire un article sur la Présidentielle. Pour répondre à cette proposition Bernard a souhaité inviter des personnalités avec lesquelles il réfléchit régulièrement sur la société contemporaine, dont certaines sont membres d’Ars Industrialis. Le lecteur peut ainsi visionner sur cette page des enregistrements réalisés par Simon Lincelles et Lanval Monrouzeau en vue de cette édition du site de Télérama. Tous les citoyens français savent – plus ou moins confusément – que l’enjeu de la campagne présidentielle est la disparition du monde qui apparut au cours du XXe siècle. Face à cet état de fait stupéfiant que nul n’ignore, aussi difficile qu’il puisse être de le concevoir, la seule véritable question est la façon dont la France et l’Europe sauront contribuer à la formation d’un autre monde.

Pour une mémoire vive et non volatile, par Sophie Weibel « Une technique n'est pas seulement un instrument souple et malléable au service d'une finalité claire, fixée d'avance. « La technique », dans son ensemble, porte en elle une conception du monde que ses manifestations les plus frappantes contribuent à façonner, à changer. Mais surtout elle possède un dynamisme propre [...] » Thierry Breton[1] Mon travail d'enseignante m'a amenée à me questionner sur le « comment transmettre ce savoir », comment « être passionnant »[2] (G.Deleuze). Outre le fond, qui relève des contenus propres à la discipline, j'ai souhaité m'intéresser, en tant que plasticienne, à la forme de cette transmission.

Ecole et médias (Séminaire ) Ce séminaire a consisté en une journée d’étude et de débats autour du thème , en proposant comme point de départ que dès son origine, l’école est l’institution à travers laquelle l’habitant de la cité se forme à la pratique d’un média – qui est alors l’écriture – et se transforme à travers cette formation. Et en l’occurrence, à l’origine de l’enseignement, il se transforme en lettré. Face aux nouveaux médias, et aux nouveaux rapports qu’ils rendent possibles aux médias de masse qui se sont développés au XXe siècle avec les industries culturelles, nous proposons d’examiner la question d’une réélaboration fondamentale du projet scolaire qui tienne compte en particulier des pratiques des plus jeunes générations. Ci-dessous, vous trouverez les principales interventions au format video et/ou audio. En bas de page, vous pouvez télécharger la présentation du séminaire au format texte. 1 - Ouverture par Bernard Stiegler

« Les enseignants doivent réfléchir davantage à leur rapport aux écrans » Le philosophe Bernard Stiegler, spécialiste des technologies numériques, a participé à un colloque "Les enfants face aux écrans", organisé ce mercredi 30 avril à Paris. Entretien. Bernard Stiegler Les élèves français sont-ils surexposés aux écrans ? Bernard Stiegler : «Avec le numérique, nous sommes dans l’obligation de repenser l’éducation» *Bernard Stiegler enseigne la philosophie aux universités de Compiègne et de Londres, président du l’association Ars Industrialis, directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Georges Pompidou (IRI), membre du Conseil National du Numérique. Pourquoi l’éducation devrait-elle changer ? L’éducation doit changer parce que le savoir a changé. Ce changement profond est visible dans des sciences comme les mathématiques, l’astrophysique ou les nanosciences pour n’en citer que quelques-unes... Mais c’est également vrai dans le domaine de la langue et des savoirs, où Google est en train de bouleverser les cadres traditionnels comme l’a montré Frédéric Kaplan notamment.

Merci Drone. Pierre Rabbhi d'un côté (la Terre) et de l'autre ce CO2 qui monte, qui monte... Par notre influence mais petit à petit, il faut y croire, les colibris pourront changer cette civilisation vers une voie enfin durable. by alwen May 1

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