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Le Cyclop

Le Cyclop

Réseaux & Collectifs de l'Art Contemporain "Qu'est-ce que l'Oulipo ?" par Jacques Roubaud & Marcel Bénabou : "OULIPO ? Qu'est ceci ? Qu'est cela ? Qu'est-ce que OU ? OU c'est OUVROIR, un atelier. QUI ? Que font les OULIPIENS, les membres de l'OULIPO (Calvino, Perec, Marcel Duchamp, et autres, mathématiciens et littérateurs, littérateurs-mathématiciens, et mathématiciens-littérateurs) ? Certes, mais à QUOI ? Certes, mais COMMENT ? En inventant des contraintes.

L'art en bande organisée Focus. Plusieurs expositions et rétrospectives mettent en lumière le travail des collectifs d'artistes. Portraits de ces groupes qui font, ou ont fait, œuvre commune. Le Monde | • Mis à jour le | Par Roxana Azimi Plusieurs expositions et rétrospectives mettent en lumière le travail des collectifs d'artistes. Les duos et collectifs d'artistes ont le vent en poupe. Qu'ils s'appellent Claire Fontaine, Ultralab, Slavs and Tatars, Superflex, ou qu'ils travaillent en duo comme Dewar et Gicquel, les membres de la jeune garde de l'art contemporain tournent le dos à l'idée d'auteur unique. Certains groupes d'artistes portent un ferment contestataire. C'est la même veine insoumise qui anime Superflex, un collectif fondé à Copenhague par trois artistes activistes, avec une idée : dénoncer le pouvoir capitaliste. De son côté, Ultralab s'est d'abord attaqué au microcosme parisien de l'art contemporain, à qui il a envoyé, en 1999, de faux cartons d'invitation annonçant des expositions fictives.

Les Malassis : une coopérative de peintres toxiques (1968-1981) 1L’histoire et les enjeux de la Coopérative des Malassis, fondée en 1970 par les peintres Henri Cueco, Lucien Fleury, Jean-Claude Latil, Michel Parré, Gérard Tisserand et Christian Zeimert, sont mal connus. En proposant un colloque, une exposition et un catalogue richement documenté, le Musée de Dole, qui conserve la presque totalité de l’œuvre collective des Malassis, propose une reconstitution de l’histoire et des pratiques du groupe. Elle éclaire, pour la première fois et d’une manière passionnante, les ambitions politiques et esthétiques de la peinture française d’une période très agitée, celle des années 1960 et 1970.

Des artistes brésiliens aux couleurs de la révolte Au Brésil, le collectif d’artistes Aldeia Gentil a été créé dans le sillon de la fronde sociale de l’été 2013. Par ses interventions musclées et festives, il veut donner la parole au peuple. LE MONDE CULTURE ET IDEES | 02.01.2014 à 15h52 • Mis à jour le 03.01.2014 à 19h16 | Par Nicolas Bourcier (Rio de Janeiro, correspondant régional) La mer était grise, la buvette ouverte aux vents et aux clients, bien peu nombreux en cette heure tardive. Drôle d'endroit pour une rencontre. Ils sont cinq représentants d'un des groupes d'artistes vivifiants du pays. Ce dernier, sous son pavé de cheveux foisonnants et son regard vif, est aujourd'hui, à 49 ans, un des artistes les plus connus du pays.

"Personnages à Réactiver", Pierre Joseph - Série de performances Dans le cadre de l'exposition Poïpoï, Une Collection Privée à Monaco et en marge du salon artmonte-carlo, le NMNM présente une série de performances de l'artiste Pierre Joseph, les personnages à réactiver. Un personnage à réactiver se joue en deux temps : il est d’abord présenté en chair et en os durant le vernissage de l’exposition pour laquelle il a été imaginé. C’est un acteur qui joue un rôle minimal, en boucle. L’acquéreur de cette photographie (et donc du personnage) peut alors renouveler cette performance à sa guise en respectant quelques règles. Les personnages à réactiver, sortes de caractères-types, sont joués lors des vernissages d’expositions par des acteurs qui endossent une panoplie et suivent quelques indications données par l’artiste pour incarner ces personnages. Les deux éléments de l’oeuvre entretiennent un rapport de boucle ambigu, chacun étant respectivement la représentation et la documentation l’un de l’autre. » Jean-Max Colard, in ‘Prédictions’

Présentation -> retour à l'accueil de Fluxus-Ben Fluxus est le nom d’un groupe créé en 1962 et dont les membres vivent un peu partout dans le monde, plus spécialement au Japon, aux États-Unis et en Europe. Officiellement rien ne les relie entre eux. Si ce n'est une certaine façon de concevoir l'art et les influences qu'ils ont subies. Ces influences sont : John Cage, Dada et Marcel Duchamp. Sans John Cage, Marcel Duchamp et Dada, Fluxus n'existerait pas. Surtout sans Cage de qui j'aime à dire qu'il a opéré deux lavages de cerveau. Fluxus va donc exister et créer à partir de la connaissance de cette situation post-Duchamp (Le ready made) et post-Cage (la dépersonnalisation de l'artiste). Cette connaissance crée un point de non retour car en acceptant d'avance toutes les formes, elle les périme du même coup. Fluxus ne sera donc pas concerné par l'œuvre d'art formelle, esthétisée et hédonisée. Premier apport En musique et en théâtre, Fluxus apporte dès 1963 la partici-pation du public à l’action. L’Event.

L’Œuvre collective du GRAV : le labyrinthe et la participation du spectateur Texte intégral 2 Lettre de l’organisation de la Biennale au GRAV du 27 octobre 1963, Archives de la critique d’art, (...) 1Cinquante ans après la réalisation de la première œuvre du GRAV, le Labyrinthe, présentée lors de la Troisième Biennale de Paris (28 septembre-3 novembre 1963), le retour aux documents historiques permet de restituer le contexte spécifique d’une des œuvres collectives les plus emblématiques des années 1960 en France. Comme en témoigne la reconstruction de ce même Labyrinthe du groupe pour l’exposition Dynamo : un siècle de lumière et de mouvement dans l’art 1913-2013 (Grand Palais, 10 avril-22 juillet 2013), les circonstances sont à présent réunies pour rendre justice à un travail artistique qui a marqué son temps. Lettre de l’organisation de la Biennale de Paris à l’intention du GRAV, 27 octobre 1963, fonds Biennale de Paris – Archives de la critique d’art GRAV – Biennale de Paris, 1963 © Studio Le Parc 19 Pierre, Arnauld. « De l’instabilité. Haut de page Notes Cf. Cf.

Les installations de Bernard Joisten Installations I 1 I 2 I 3 I Suggestron, 1992. Les Survivants, Galerie de Paris, Paris. Bernard Joisten, Enigma 6000,1992. KBXZ2, 1991. Bernard Joisten, Bumpers, 1991. Bernard Joisten, Pierre Joseph, Philippe Parreno, Composit, 1990. Bernard Joisten, Pierre Joseph, Philippe Parreno, Composit 2, 1990. 1970 Les OVNIS, 1990. Eclipse, 1990. Stroboscope, 1990. Virus, 1990. Gonzalez-Foerster, Joisten, Joseph, Parreno, Video Ozone, 1989. Dino, 1989. Gonzalez-Foerster, Joisten, Joseph, Parreno, Ozone, 1989. Superfly, 1988. Joisten, Joseph, Parreno, Siberia, 1988. 19&&, Magasin, Grenoble.

Womanhouse en DVD | le peuple qui manque - a people is missing Womanhouse en DVD Le peuple qui manque éditions présente Womanhouse de Johanna Demetrakas (1974, VOSTF) en dvd. En vente au prix de 25 €, frais de port compris, depuis la France, pour un usage privé. Womanhouse est un documentaire historique sur l’un des événements culturels féministes les plus importants des années 1970 aux Etats-Unis. « En 1972, fût créée une exposition dont on a beaucoup parlé : Womanhouse. Sous la direction de Miriam Shapiro et de Judy Chicago qui devinrent des figures majeures de l’art féministe dans les années 1970 et 1980 (…), vingt-quatre femmes (dont Faith Wilding et Sandy Orgel) aménagèrent une maison à Los Angeles. L’espace domestique devenant espace d’exposition, la distinction entre public et privé disparaissait et les conventions régissant la représentation volaient en éclats. » Peggy Phelan, Art et Féminisme, éd. Le DVD est sous-titré en français. Plus d’informations: En français En anglais

General Idea, l'art délicat de l'infiltration A Paris, première rétrospective d'envergure pour ce collectif canadien fondé en 1969. Le Monde | • Mis à jour le | Par Emmanuelle Lequeux Les artistes cultes ont souvent un paradoxal avantage : on ne sait presque rien d'eux. De ce collectif fondé en 1969 à Toronto par Felix Partz, Jorge Zontal et AA Bronson, on connaissait les autoportraits en trio de caniches aux yeux au beurre noir, en bébés phoques ou en attendrissants gamins alités. L'accrochage s'ouvre dès le hall d'entrée par une de leurs oeuvres les plus emblématiques : une longue série d'armoiries qui assaillent de leurs couleurs fluo. Tous ces motifs, le visiteur les retrouve au fil de l'exposition, maltraités, amalgamés, ironisés. On l'a compris, réalité, fiction, tout se brouille ici, pour inventer un monde alternatif. Le comble est atteint dans une salle à l'humour délicieux, qui révèle un des projets les moins connus du groupe.

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