CITE DU DESIGN Atelier Atelier de design culinaire en collaboration avec la Fabuleuse Cantine Les 8, 15 et 22 décembre 2018 Vidéo médiation Exposition L'ornement est un crime à voir jusqu'au 6 janvier 2019 Formation Nouvelles dates à partir du 24 janvier 2019, faite émerger le potentiel de l'innovation par les usages dans le développement de vos projets. Prochaine exposition 30 juin 2018 - 6 janvier 2019 Appel à Manifestation d'Interêt Consultation ouverte, des projets collaboratifs à fort potentiel d'innovation en Auvergne Rhône-Alpes. Les enjeux de l’écoconception, les bénéfices pour l’entreprise, pour l’économie et l’environnement Mis à jour le 21/10/2020 Démarche créative, source d’innovation et de différenciation, l’écoconception constitue une approche positive de l’environnement et un levier de création de valeur. Les concepts de l’écoconception ont été posés au niveau international en 2002, avec la parution de la norme ISO/TR 14062. Celle-ci précise que l’écoconception vise à « intégrer des aspects environnementaux dans la conception et le développement de produits ». On peut rappeler que la France a défini le premier fascicule de documentation sur le sujet en 1998 dans la norme maintenant abrogée, appelée FD X 30-310. L’ADEME y a fortement contribué, puis a représenté la France au niveau international et assuré le secrétariat de la rédaction de la norme ISO 14062. Qu’est-ce qu’un produit écoconçu ? Un produit écoconçu est un produit ayant bénéficié d’une démarche d’écoconception. Quel est le déploiement actuel de l’écoconception en France ? Pourquoi écoconcevoir son produit ?
Concept et définition - Quebeccirculaire.org, la plateforme qui rassemble les acteurs de l’économie circulaire au Québec Oui ! Plusieurs stratégies de circularité ont fait leur apparition bien avant que l’on parle d’économie circulaire. C'est le cas de l’écologie industrielle, du recyclage et de l’éco-conception par exemple. Appliquées isolément, ces stratégies ne peuvent faire basculer le modèle économique linéaire qui freine fortement leur déploiement. L'intégration des chaînes de valeur et la coopération de l’ensemble des acteurs sont indispensables pour relever ce défi et multiplier l’impact des stratégies de circularité. Par exemple, l'approvisionnement responsable peut s’appuyer sur l'utilisation de produits éco-conçus, eux-mêmes élaborés à partir de matières recyclées. En les déployant de façon concertée et en valorisant l’impact collectif d’une si grande variété d’acteurs, l’économie circulaire peut créer l’effet de levier nécessaire pour réformer notre mode de production et de consommation.
Centre Technique Industriel de la Plasturgie et des Composites - IPC Écoconception L’écoconception est un terme désignant la volonté de concevoir des produits respectant les principes du développement durable et de l'environnement, en — selon l'Ademe[1] — recourant « aussi peu que possible aux ressources non renouvelables en leur préférant l'utilisation de ressources renouvelables, exploitées en respectant leur taux de renouvellement et associées à une valorisation des déchets qui favorise le réemploi, la réparation et le recyclage »[2], dans un contexte qui évoluerait alors vers une économie circulaire. La définition officielle qui fait foi pour l'ADEME est la suivante : « C’est une démarche préventive et innovante qui permet de réduire les impacts négatifs du produit, service ou bâtiment sur l’environnement sur l’ensemble de son cycle de vie (ACV), tout en conservant ses qualités d’usage. » À partir de celle-ci, on peut en effet décliner d'autres formulations ou déclinaisons. Contexte[modifier | modifier le code] Analyse du cycle de vie[modifier | modifier le code]
Gunter Pauli : « La nature élimine la notion de pauvreté » « L’économie bleue » promet de régénérer les écosystèmes, de créer une harmonie sociale et une vie d’abondance et s’inspirant de la nature, aux antipodes du modèle économique dominant. Rencontre avec l’auteur Gunter Pauli, qui publie une nouvelle édition de son livre phare L’économie bleue 3.0 (Éditions de l’Observatoire, 2019). Dans la nature, un écosystème ne produit aucun déchet, ne gâche rien, réutilise tout. Des milliers d’acteurs coopèrent de façon harmonieuse, chacun trouvant de quoi subvenir à ses besoins. La notion de chômage y est inexistante et l’énergie utilisée avec une efficacité qui a de quoi faire pâlir les meilleures technologies humaines. Et le tout en n’utilisant évidemment que des ressources disponibles localement. L’entrepreneur belge, auteur à succès et fondateur du réseau ZERI (Zero Emissions Research and Initiatives) a popularisé ce concept d’économie bleue dans un ouvrage éponyme publié en 2010, issu d’un rapport d’abord rédigé pour le Club de Rome. Oui.
Design fax – LA LETTRE HEBDOMADAIRE DES STRATÉGIES DESIGN mots clefs new Fashion week : comment rendre la mode plus éthique ? Pollution et mode Difficile de l’ignorer aujourd’hui : la mode est l’une des industries les plus polluantes au monde. Mais certaines sociétés entendent bien changer la donne. Qu’il s’agisse des pigments utilisés, des fibres non sourcées, ou des modèles de production carrément crados, on peut le dire : le bilan écolo de la mode n’est pas jojo. L’industrie met du temps à changer, les grandes maisons aussi… mais, bonne nouvelle, certaines entreprises choisissent de s’attaquer aux gros problèmes du secteur pour le rendre plus éthique. Petit tour d’horizon. PILI, pour des pigments non polluants Aujourd’hui, la majorité des pigments utilisés dans la mode reposent sur l’industrie fossile et des produits chimiques corrosifs. Les équipes de PILI ont choisi de développer des colorants à partir de microbes. Oth., pour des chaussures increvables C’est une stat’ qu’on ne connaît pas forcément, mais plus de six pneus arrivent en fin de vie chaque seconde en Europe. UpTrade, pour sauver le tissu