Non, la pédagogie et le travail collaboratifs n’ont pas que des avantages !
Le recours à des techniques de créativité et d'apprentissage collaboratifs de diverses natures a littéralement explosé ces dernières années : tableau blanc physique ou virtuel, Post-it, pâte à modeler, maïs soufflé, boîtes en carton, prototypage 3D, etc. Les outils et supports utilisés sont variés, permettant de multiples niveaux d'abstraction et/ou de matérialisation des idées exprimées en groupe. Ayant participé à de très nombreuses séances de ce type, et en ayant moi-même organisé dans le cadre de mes cours, je souhaite partager ici quelques réflexions vis-à-vis de l'enthousiasme apparemment généralisé entourant ces méthodes collaboratives. Avant d'aller plus loin, j'insiste sur le fait qu'il ne s'agit en aucune manière de ne pas en reconnaître les avantages, mais qu'il est nécessaire de prendre du recul à leur égard, afin d'éviter ou de limiter les déceptions liées à leur usage. Les limites de ces modèles Le collaboratif ne s'applique pas partout
Classe mutuelle – Site des classes mutuelles du Lycée Dorian
Les outils numériques de travail collaboratif
Marie-Laure Malingre, conservateur de bibliothèque et Alexandre Serre, maître de conférences en sciences de l'information et de la communication, réalisent un travail de partage, de mise à disposition et de mise à jour de nombreuses ressources pédagogiques via le site de l'Urfist de Rennes (Unité Régionale de Formation à l'Information Scientifique et Technique de Bretagne et des Pays de la Loire). L'un des derniers diaporamas mis en ligne en mai 2014 concerne justement les outils de travail collaboratif. Ce travail de recensement critique volontairement ciblé (publié sous licence Creative Commons) se concentre principalement sur les applications web gratuites. Il permet de consolider ses propres connaissances sur bon nombre d'outils relativement connus comme Google Drive ou DropBox mais révèle également d'autres créations moins médiatisées comme Fiduswriter, Viber ou Moreganize . Sources et références complémentaires MALINGRE, Marie-Laure, SERRES, Alexandre.
Comment nos voisins européens orientent et sélectionnent les futurs étudiants à l’université
En France, le baccalauréat est le premier diplôme de l’enseignement supérieur. Ce sésame pour l’université et un rite de passage qui marque la fin des études secondaires. Cette année, 641 700 nouveaux bacheliers ont obtenu ce précieux viatique. Dans le système actuel, tout bachelier, quel que soit son bac et sa série (général, technologique, professionnel, scientifique, économique, littéraire…), peut en principe demander à accéder de droit à n’importe quelle licence ou aux études de santé à l’Université publique. L’accès à l’université est devenu problématique Pourtant, dans les faits, l’accès à l’université devient problématique avec des filières très demandées qui débordent. Ceci suscite la frustration et l’incompréhension d’une partie des étudiants qui n’obtiennent pas le choix correspondant à leur projet professionnel, parfois malgré un excellent dossier scolaire. Mais quelle est la solution ? L’examen terminal du secondaire Modalités et critères d’accès à l’Université
New interactive periodic table shows how each element influences daily life
How do gallium and tantalum influence your daily life? Quite a bit, it turns out. Gallium is a component of light-emitting diodes, or LEDs, while tantalum can be found in mobile phones. Scandium is found in bicycles; palladium is used for pollution control. Related: New periodic table shows the cosmic origins of your body’s elements Each element on the interactive table comes with a description and a list of a few different uses. Enevoldsen updates his tables when new elements are added. He offers the tables in different formats, in words or in pictures, as posters available for purchase online. + The Periodic Table of the Elements, in Pictures and Words Images © Keith Enevoldsen and via Rodion Kutsaev on Unsplash
Travailler en mode collaboratif : 200 fiches pratiques et méthodologiques
MultiBaO est une nouvelle multi-boite à outils consacrée à l’organisation en collectif et à la gestion de projets. Ses initiateurs, un collectif non formel composé de membres de plusieurs associations et universités propose – sous licences Creative Commons – des ressources pour les animateurs de réseaux/groupes sous la forme de fiches outils et méthodes. Chacun est invité à contribuer à l’amélioration et à l’écriture de nouvelles fiches. Des fiches pour participer et collaborer 200 fiches autour des démarches participatives et collaboratives sont déjà téléchargeables via un dossier Dropbox : Accélérateur de projet, atelier de créativité, cartographie participative, veille collaborative… L’ensemble des thèmes et des ateliers est exhaustif. Les contributions sont également disponibles sur le site MultiBaO au fur et à mesure des publications par le collectif ou les contributeurs extérieurs. Fiches synthétiques sur la collaboration En une phraseA quoi ça sert ? Pour en savoir plus
Travail en équipe : Avantages & inconvénients insoupçonnés - Aide Entreprise
Le travail en équipe est un concept permettant à des groupes de personnes de travailler ensemble afin d’accomplir plus de tâches, avec un meilleur résultat, dans un laps de temps plus court. Cette structure organisationnelle est de plus en plus adoptée dans le milieu du travail. Elle offre des avantages indéniables en raison de la collaboration de plusieurs employés, mais des défis existent aussi lorsque des équipes de travail se substituent à un mode de travail plus individualisé. La compréhension de ces paramètres aide à mettre ensemble les équipes appropriées, ce qui aura pour effet d’accomplir les tâches de manière intelligente, en optimisant les points forts et minimisant les inconvénients. Avantages Travail plus rapide. Photo par Paris Buttfield-Addison (Creative Commons) Inconvénients Nivellement par le bas. Autres avantages et inconvénients de l’organisation d’une entreprise : L’externalisationLe leasingL’apprentissageL’alternanceLa formationLes stagiaires
Apprendre avec le sketchnoting : ré-enchanter les manières d'apprendre grâce à la pensée visuelle
Une expérience intéressante sur les effets du dessin dans le processus de mémorisation Pour mieux mémoriser, la reformulation et la transformation sont de précieux alliés. En ce sens, l’usage de l’image et de la main favorise une mémorisation de qualité à long terme. Plusieurs chercheurs américains ont essayé de mieux comprendre le fonctionnement de la mémoire humaine en menant sept expériences avec des étudiants. Ils ont recruté 55 étudiants âgés de 18 à 47 ans. Les volontaires ont essayé, dans le cadre de cette expérience, de retenir ces mots soit en les écrivant, soit en les dessinant, soit en listant leurs caractéristiques. Lors du test final de restitution, les participants qui avaient dessiné l’objet de l’exercice ont obtenu, quel que soit le groupe, des résultats nettement supérieurs à ceux qui avaient privilégié d’autres techniques. « La qualité des dessins réalisés n’a pas semblé être importante, déclare Jeffrey Wammes, un des chercheurs. La théorie du double codage 26 mars 2017