untitled untitled untitled untitled untitled Cube de Necker Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cube de Necker est une illusion d'optique publiée pour la première fois en 1832 par le cristallographe suisse Louis Albert Necker. Ambiguïté[modifier | modifier le code] Le cube de Necker est un dessin ambigu. L'effet est intéressant, car chaque partie de dessin est elle-même ambiguë, l'œil humain fait alors une interprétation individuelle de chaque partie qui rend le tout homogène. L'homme ne parvient pas en général à une interprétation irrationnelle du cube. Sur le cube de gauche, la plupart des gens voient la partie en bas à gauche comme étant en avant. Il y a des preuves qu'une concentration plus prononcée sur des parties différentes de la figure peut mener à une visualisation plus stable du cube. On rapporte le cas d'un aveugle de naissance qui, ayant recouvré la vue après une opération à 52 ans, ne percevrait pas l'ambiguïté que les observateurs valides voient. Théorie de la connaissance[modifier | modifier le code]
Nouvelle identité visuelle de Bordeaux Métropole On sait que les enjeux liés au design d’une identité visuelle sont nombreux. L’identité visuelle doit simultanément identifier et marquer une différence, se faire reconnaître du plus grand nombre et instaurer une singularité. Dès lors, la question de sa visibilité et sa singularité dans un espace public rempli de milliers de logos se pose. Traditionnellement, une identité visuelle, qu’elle soit celle d’un produit, d’une marque ou d'une organisation, est conçue sur la base d’un certain nombre de paramètres, généralement liés aux contraintes de son contexte d’utilisation, mais surtout de production. Dès lors l'arrivée de l'écran a considérablement élargi le champ des possibles. On observe donc aujourd’hui une transformation, tant au niveau du fond que de la forme, de l’archétype monolithique du logo que nous connaissons tous. Découvrons quelques identités génératives :
Le branding territorial vu par le FN Fini « l’esprit de conquête » cher à l’ancien maire de Béziers Raymond Couderc. Son successeur, Robert Ménard (FN), a visiblement décidé de changer le logo de la Ville qui représentait un chevalier lancé, épée en main, sur son cheval au galop. Ce logotype reprenait les grandes lignes du sceau de Raymond-Roger Trencavel, l’un des derniers vicomtes de Béziers. (source) Comme le fait remarquer Jean-François Prochez sur son compte Twiter, le comble c’est que c’est composé en Minion, une typographie américaine… Si Robert Ménard a promis d’expliquer son choix très rapidement, il est aisé d’en deviner les grandes lignes au regard da sa ligne politique d’extrême droite conservatrice et protectionniste. Cependant, après quelque instant de réflexion, le rejet de ce type de démarche conservatrice, laisse place à une profonde interrogation… et la lecture de l’ouvrage collectif « Face au brand territorial » (sous la houlette de Ruedi Baur) me revient à grands pas ! Et vous ?
The Apple Terms & Conditions Booklet Nous sommes globalement tous d’accord, « agree », avec ce qu’on appelle les « Terms & Conditions » d’Apple et pourtant nous sommes tous d’accord pour dire que nous ne les avons jamais lu. Ce paradoxe soulève ainsi la mise en garde de Florence Meunier qui présente un livret dans lequel elle réinterpréte de manière graphique les End User License Agreement d’Apple et raconte l’histoire d’un homme « d’accord trop rapidement ».
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