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Institut de recherche et d'histoire des textes

Medieval manuscripts blog As the British Library's major exhibition Magna Carta: Law, Liberty, Legacy draws to a close — it's been an amazing 5 months — we'd like to take this opportunity to showcase some of the key British Museum loans in the display. The Library and the Museum have a long, shared history and a very close working relationship; and so we were absolutely delighted when the British Museum so kindly agreed to lend us some amazing objects for our exhibition. We're very grateful to our counterparts in the Departments of Coins and Medals, Prehistory and Europe and Prints and Drawing for making this possible. It's another great example of collaboration between two national institutions (here's another blogpost about the loans from The National Archives). Magna Carta: Law, Liberty, Legacy would not have been the same without these key loans from our friends at the British Museum. Julian Harrison, Co-curator, Magna Carta: Law, Liberty, Legacy

Access to Mideast and Islamic Resources (AMIR) CRCC : Centre de recherche sur la conservation des collections medievalfragments | Turning Over a New Leaf IRPMF Manuscrits | Gallica Durant la Révolution française, les saisies et confiscations font entrer à la Bibliothèque nationale les collections de la Sainte-Chapelle, de Saint-Germain-des-Prés, Saint-Victor, Notre-Dame de Paris, etc., où avaient été réunis quelques-uns des chefs-d'oeuvre de l'enluminure médiévale, tandis que les grandes bibliothèques municipales du pays recueillent parallèlement de très nombreuses collections d'abbayes, d'institutions religieuses et de nobles émigrés. Aux XIXe et XXe siècles, les collections s'ouvrent aux manuscrits littéraires, notamment après l'entrée des manuscrits et dessins de Victor Hugo, ainsi qu'aux grandes missions scientifiques en Orient, comme celle de Paul Pelliot en Asie centrale et en Chine. Les manuscrits numérisés dans Gallica représentent toute la richesse des collections de la BnF. Découvrir le fonds des manuscrits

De l’annotation aux marginalia Une des marques les plus visibles de la lecture est l'annotation. La « fabrique de la lisibilité » comprend ainsi des gestes de lecteurs, désireux d'aménager le champ de leurs lectures, pour leur usage personnel ou pour celui d'autrui : il s'agit de gestes qui vont de l'annotation individuelle aux pratiques normatives de l'enseignement ou de l'édition savante, en passant par des formes d'écriture multiples qui, sur des plans différents, viennent encadrer un texte, l'expliciter, le mettre en perspective et ouvrir les voies de sa réception pour des lecteurs supposés dociles. Dans les manuscrits du Moyen Âge, il n'est pas rare de rencontrer, dans les marges, des indications relatives à l'établissement du texte - notes de l'auteur destinées au scribe, notes d'un copiste à un autre copiste -, mais aussi des témoignages de lecture du texte sous forme de notes manuscrites, de dessins ou de signes à l'encre. Outre les inscriptions rappelant l'identité du possesseur d'un manuscrit . .

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