Michel de Montaigne Signature Probablement dès la fin mars 1578, il constate qu'il est victime de petits calculs urinaires, et en dix-huit mois, la gravelle, maladie responsable de la mort de son père, s'aggrave et s'installe durablement. Désormais, le plus souvent souffrant ou malade, il cherche à hâter ses écrits et à combler ses curiosités : il essaie ainsi de guérir en voyageant vers des lieux de cure, puis voyage vers les contrées qui l'ont fasciné durant sa jeunesse. S'il proclame que son livre « ne sert à rien » (« Au lecteur »), parce qu'il se distingue des traités de morale autorisés par la Sorbonne, Montaigne souligne tout de même que quiconque le lira pourra tirer profit de son[8] expérience. Le bonheur du sage consiste à aimer la vie et à la goûter pleinement : « C'est une perfection absolue et pour ainsi dire divine que de savoir jouir loyalement de son être[10]. » Origines familiales[modifier | modifier le code] Famille paternelle : les Eyquem[modifier | modifier le code] à savoir rester libre :
Le Cinquième Livre - Wikipédia - Framasoft Framafox Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Cinquième Livre ou Quint Livre, qui est un livre difficile à lire, est un livre posthume de Rabelais qui donne la suite et la fin du voyage de Pantagruel et de ses compagnons à la recherche de l'oracle de la Dive Bouteille. Ce serait dans son ensemble l'œuvre de Rabelais mais sans doute pas dans toutes les parties, et en outre, l'allégorie qui refroidit déjà tant de chapitres du quatrième livre, en tenant dans ce cinquième livre une très grande place, y répand tristesse et ennui avec un ton de plus en plus âpre et des attaques contre les farfadets et les chats fourrés plus violentes que dans tout ce que l'auteur avait déjà livré au public. Ile Sonnante : souffrance de l'ex-moinillon devenu hyperacoustique[modifier | modifier le code] Les navigateurs abordent d'abord dans l'île Sonnante, où l'on entend perpétuellement les cloches. Ile des Ferrements[modifier | modifier le code] Les voyageurs arrivent ensuite à l'île des Ferrements.
Gargantua Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rabelais a publié Gargantua sous le même pseudonyme que Pantagruel : Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais) Abstracteur de Quintessence. Résumé[modifier | modifier le code] Enfance et éducation de Gargantua[modifier | modifier le code] Jean Audeau, un simple paysan, découvre par accident dans un énorme tumulus un petit livret qui contient la généalogie des géants d’autrefois. Son père, en découvrant l’enfant, s’écrie : « Que grand (gosier) tu as » Et l’enfant est appelé alors Gargantua, selon la coutume des anciens Hébreux. Le blanc symbolise la joie, le plaisir, les délices et les réjouissances. Puis, l’enfance de Gargantua est racontée. Gargantua visite la cité de Paris et fait l’objet de la curiosité des Parisiens. La méthode de travail de Ponocrates consiste d’abord à observer Gargantua sans intervenir. La guerre picrocholine[modifier | modifier le code] Illustration du Quart Livre par Gustave Doré.
Denis Diderot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Jeune homme, prends et lis. Si tu peux aller jusqu'à la fin de cet ouvrage, tu ne seras pas incapable d'en entendre un meilleur. Mal connu de ses contemporains, tenu éloigné des polémiques de son temps, peu enclin à la vie des salons et mal reçu par la Révolution, Diderot devra attendre la fin du XIXe siècle pour recevoir enfin tout l'intérêt et la reconnaissance de la postérité dans laquelle il avait placé une partie de ses espoirs. Biographie Jeunesse (1713-1728) Denis Diderot naît à Langres[1], dans une famille bourgeoise le 5 octobre 1713 et est baptisé le lendemain en l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Langres[2], la cathédrale étant réservée aux baptêmes de nobles[3]. Ses parents mariés en 1712 eurent six enfants dont seulement quatre atteignirent l'âge adulte. Diderot était l'aîné de cette fratrie dont chaque membre tint un rôle important dans la vie de l'écrivain. Premières années parisiennes (1728-1745) Premiers écrits (1743-1749)
Vendredi - Wikipédia - Framasoft Framafox Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Certains pays de la romanité utilisent un composé basé sur l'ordre des mots inverses diem Veneris, attesté également en ancien français et en ancien wallon sous la forme divendres. L'occitan conserve la forme divendres (voire d'autres formes dialectales, en plus de la forme générale, vivaro-alpin lo vèndres, provençal vendres), catalan divendres (espagnol viernes). Le breton utilise également la référence à Vénus, car vendredi s'y traduit par digwener ou gwener. Dans les pays de langue germanique, il est le jour de la déesse Frigg, Frîja, Frea (vrijdag en néerlandais, Freitag en allemand, Friday en anglais, etc.), qui est en quelque sorte l'équivalent de la déesse Vénus. Dans la liturgie[modifier | modifier le code] Le vendredi est un jour spécial pour trois religions : Les chrétiens consacrent ce jour à la pénitence et à la prière, en mémoire de la Passion de Jésus-Christ. Divers[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :
Érasme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Érasme, également appelé Érasme de Rotterdam (Desiderius Erasmus Roterodamus), né dans la nuit du 27 au 28 octobre[1], en 1467[2] (ou en 1466, ou en 1469) à Rotterdam, comté de Hollande, et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un chanoine régulier de saint Augustin, philosophe, écrivain latin, humaniste et théologien des Pays-Bas bourguignons, considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. Onomastique[modifier | modifier le code] Les noms de famille, à l'époque, n'étaient pas forcément stabilisés. Il appelle lui-même son père (en latin) Gerardus, et son frère aîné Petrus Gerardus ; d'autre part, un bref du pape le désigne comme Erasmus Rogerii. Biographie résumée[modifier | modifier le code] Érasme est né en 1466 ou 1467 ou 1469, selon les biographes, à Rotterdam. Entre 1499 et 1514, Érasme a parcouru l’Europe. Il meurt le à Bâle. Biographie[modifier | modifier le code] Introduction[modifier | modifier le code]
Jules Verne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jules Verne Jules Verne photographié par Nadar. Œuvres principales Jules Verne, né le à Nantes en France et mort le à Amiens en France, est un écrivain français dont l'œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d'aventures et de science-fiction (ou d'anticipation). En 1863 paraît chez l'éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son premier roman Cinq semaines en ballon, qui connaît un immense succès y compris à l'étranger. L’œuvre de Jules Verne est populaire dans le monde entier et, selon l’Index Translationum, avec un total de 4 702 traductions, il vient au deuxième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère après Agatha Christie[1]. Biographie de Jules Verne Jeunes années Plaque apposée sur la maison natale de Jules Verne à Nantes. De plus, plusieurs accessits de musique vocale montrent son goût pour cette matière, goût qu'il conservera toute sa vie[N 3]. Étudiant à Paris « - Ce sont de vilains bonshommes ! 1903. Œuvres
pont - Wiktionnaire - Framasoft Framafox Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin pontem, accusatif de pons (« pont, passage »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] Pont qui enjambe une rivière pont /pɔ̃/ masculin (Architecture) Construction élevée d’un bord à l’autre d’une rivière, d’un ruisseau, d’un fossé pour permettre de les traverser. Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Expressions[modifier | modifier le wikicode] D’ici là, il passera bien de l’eau sous le pont : se dit d’une chose qu’on croit ne devoir pas arriver sitôt. Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] Vocabulaire apparenté par le sens[modifier | modifier le wikicode] Hyponymes[modifier | modifier le wikicode] Traductions[modifier | modifier le wikicode] Traductions à trier[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « un pont [œ̃ pɔ̃] » Pont.