Si vos gènes sont sur internet, il est possible de savoir qui vous êtes Des scientifiques révèlent dans le journal Science comment ils ont été capables d’identifier précisément cinq personnes ayant, dans le cadre d’une étude, posté leur ADN sur internet de manière “anonyme”. L’anonymat que l’on croyait inviolable a donc été “facilement” mis à jour par ces scientifiques, posant une nouvelle question éthique. Les 5 personnes “anonymes” identifiées par les scientifiques avaient confié leur ADN à internet dans le cadre du “1000 Genomes Project”, qui collecte des génomes à travers le monde afin de le mettre gratuitement à disposition des scientifiques. Comment imaginer qu’il était possible à partir des milliards de bases que contient un ADN de remonter précisément à celui l’ayant mis en ligne anonymement. Des centaines de milliers d’être humains ont posté leur ADN sur internet et ceux-ci sont accessibles librement. La technique consiste à identifier sur le chromosome Y de courtes séquences répétées d’ADN qui se transmettent héréditairement. Source
"The Eternal Thing in Man" Hajar R - Heart Views "The Eternal Thing in Man" Rachel Hajar "Director, Non-Invasive Cardiac Laboratory, Cardiology & Cardiovascular Surgery Department, Hamad Medical Corporation, Doha, Qatar Correspondence Address:Rachel HajarDirector, Non-Invasive Cardiac Laboratory, Cardiology & Cardiovascular Surgery Department, Hamad Medical Corporation, Doha Qatar I am the family face; Flesh perishes, I live on, Projecting trait and trace Through time to times anon, And leaping from place to place Over oblivion. The years-heired feature that can In curve and voice and eye Despise the human span Of durance - that is I; The eternal thing in man, That heeds no call to die. [Additional file 1] "The eternal thing in man" was not given a name until 1869 when a Swiss chemist, Johann Friedrich Miescher, identified 'nuclein', a white, powdery substance within cells that was later called nucleic acid. The DNA molecule has fascinated and enthralled scientists and lay people for half a century. Homer, The Iliad
Un test ADN pour mieux dépister la trisomie 21 Une nouvelle stratégie de dépistage de la première cause de handicap mental sera bientôt mise en œuvre. Plus de fœtus porteurs de la maladie devraient être détectés. Un moment important dans la vie des femmes enceintes va bientôt changer. La Haute Autorité de santé (HAS) a publié, mercredi 17 mai, ses recommandations pour mettre en place une nouvelle stratégie de dépistage de la trisomie 21. La publication de l’arrêté ministériel nécessaire à son démarrage partout sur le territoire devrait intervenir rapidement. Un test ADN remboursé par la Sécurité sociale viendra compléter le dispositif actuel. L’objectif est double : diminuer le nombre d’amniocentèse – examen qui permet d’établir le diagnostic de manière certaine mais provoque des fausses couches –, et améliorer la détection des fœtus porteurs de trisomie. Si le risque est inférieur à 1/250, il est considéré comme faible et donc écarté. Une simple prise de sang
Histoire de la découverte de l'ADN L'ADN support de l'information génétique Rédigé par Jacques BarrèreD'après Alain Bernot et Olivier AlibertGénéthon 1997 Structure de l'ADN L'expérience de Griffith Le premier phénomène qui allait permettre de progresser dans l'identification du support de l'hérédité est celui de la transformation bactérienne, rapporté en 1928 par l'anglais Fred Griffith (1877 - 1941). Griffith décrit deux souches de pneumocoques Diplococcus pneumomiae : la souche R (rough, car lorsque cette souche est cultivée sur milieu de culture artificiel, les colonies obtenues ont un aspect rugueux) et la souche S (smooth, car les colonies ont au contraire un aspect lisse). Griffith observe tout d'abord que l'injection de bactéries S, si elles ont été préalablement tuées par la chaleur, n'est plus létale pour la souris. Il existe en fait plusieurs souches de pneumocoques (types I, II, ou III), discernables grâce à des tests immunologiques. Référence La difficulté à accepter l'ADN comme support de l'hérédité Références
Chromosome fr.svg Cancel Edit Delete Preview revert Text of the note (may include Wiki markup) Could not save your note (edit conflict or other problem). Upon submitting the note will be published multi-licensed under the terms of the CC-BY-SA-3.0 license and of the GFDL, versions 1.2, 1.3, or any later version. Add a note Draw a rectangle onto the image above (press the left mouse button, then drag and release). Save To modify annotations, your browser needs to have the XMLHttpRequest object. [[MediaWiki talk:Gadget-ImageAnnotator.js|Adding image note]]$1 [[MediaWiki talk:Gadget-ImageAnnotator.js|Changing image note]]$1 [[MediaWiki talk:Gadget-ImageAnnotator.js|Removing image note]]$1 50 ans de l'ADN - Découverte Le 25 avril, la communauté scientifique célébrera un anniversaire important. Les 50 ans de la publication de la découverte de la structure de l'acide désoxyribonucléique, l'une des découvertes les plus importantes du 20e siècle. L'article, qui tenait en une seule page, a d'ailleurs valu à ses jeunes auteurs le prix Nobel de médecine quelques années plus tard. 25 avril 1953, Cambridge, Angleterre. Deux jeunes aspirants au doctorat, le biologiste James Watson, 23 ans, et le physicien Francis Crick, 35 ans, publient dans la revue scientifique Nature un article au titre assez austère : « A structure for Desoxyribose nucleic acid ». Aujourd'hui, cette structure nous est bien familière. Avec cette découverte, la biologie allait devenir la science la plus excitante du tournant du millénaire. Trois équipes vont tout particulièrement entrer en compétition à partir des années 1950. Watson et Crick se sont évidemment inspirés des clichés de leurs compétiteurs.
Peut-on faire renaître des espèces éteintes ? Mammouth, tigre de Tasmanie : les essais de clonage menés par plusieurs laboratoires laissent perplexes. L'homme aura-t-il bientôt le pouvoir de ramener à la vie des espèces éteintes comme le mammouth, le tigre de Tasmanie ou le pigeon migrateur américain? Soixante ans jour pour jour après le décryptage de la structure en double hélice de l'ADN (acide désoxyribonucléique) par Francis Crick et James Watson, le 25 avril 1953, ce vieux rêve - ou ce fantasme - refait surface. Les progrès réalisés ces vingt dernières années dans le domaine de la génétique et de la connaissance de cette molécule support de l'hérédité laissent penser que cet exploit est à la portée des scientifiques qui tentent de relever le défi. Mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres. La plus récente tentative de «dé-extinction» a été révélée en janvier par les chercheurs australiens du projet Lazare, en référence à ce personnage des Évangiles que le Christ ressuscite.
15 cigarettes = 1 mutation de l’ADN Des chercheurs britanniques viennent d’expliquer dans la célèbre revue Nature comment ils ont “cracké” le code génétique de 2 cancers dévastateurs : le cancer du poumon à petites cellules et le mélanome malin, révélant au passage les milliers de mutations survenant dans le génome des cellules cancéreuses. Un cancer se développe suite à une altération de notre ADN. Notre génome est constitué de quelques dizaines de milliers de gènes qui codent toutes les protéines de notre corps. Parmi ces gènes figurent des gènes directement impliqués dans la prolifération de nos cellules. Or, notre génome est en proie à des attaques permanentes, qu’elles soient d’origine chimique comme les composants de la cigarette ou d’origine physique comme l’exposition aux rayons UV. En ce qui concerne le tabac, ce sont près de 60 composés toxiques qui ont été identifiés et qui sont directement responsables de la survenue de cancers. Source
L'ADN va-t-il remplacer les disques durs ? SYNTHÉTIQUE. 100 millions d’heures de vidéo en haute définition enregistrées dans un volume équivalent à une tasse d’ADN ! Enfin la solution pour archiver les 3000 milliards de milliards de bytes de données existantes ? C’est devenu une solution possible depuis que des chercheurs du LEBM-Institut européen de bio-informatique ont démontré qu’il est possible de stocker une grande variété d’informations dans l'ADN synthétique. Martin Luther King et Shakespeare Les données stockées peuvent ensuite être récupérées par séquençage de l'ADN. TRINAIRE. Les données numériques sont encodées en base trinaire puis transcrites en code AD. Pour éviter les erreurs de lecture, les chercheurs ont décomposé le code en de multiples fragments d'ADN se chevauchant dans les deux sens, et indexés de façon à indiquer leur position précise dans l’ensemble. Stable pour des milliers d’années MAMMOUTH.
Sony va proposer des services de séquençage du génome humain Sony va proposer un service d'analyse du génome humain au Japon, par le biais d'une coentreprise avec le spécialiste américain du séquençage Illumina, selon le quotidien Nikkei. Le groupe devrait prendre une part majoritaire dans une coentreprise dédiée à ce type de prestations, qu'il prévoit de créer en octobre avec Illumina. Une des sociétés du groupe Sony, M3, qui offre des informations en ligne au corps médical, devrait aussi en être partie prenante. Cette nouvelle firme commune effectuera des analyses de génome pour le compte de laboratoires pharmaceutiques et instituts de recherche en utilisant des appareils de pointe fournis par Illumina, qui contrôle environ 70 % du marché dans ce domaine, selon le Nikkei. L'information génétique permet de prédire de futurs problèmes de santé ainsi que d'augmenter l'efficacité des médicaments administrés aux patients et d'en diminuer les effets secondaires. Le Monde avec AFP
Circle of Life: The Beautiful New Way to Visualize Biological Data - Wired Science Clockwise from top right, the genomes of a human, a chimpanzee, a mouse and a zebrafish are arranged in a circle, with each color square corresponding to a pair of chromosomes. Lines connect similar DNA sequences, visually emphasizing just how much DNA we share with other species. (Image: Martin Krzywinski/EMBO) An ongoing project with the British Library compares our genome with the genomes of 16 different species, from horse to platypus. In each panel, a circle represents the comparison between one human chromosome, its DNA arranged along the circle's bottom half, and the entire genome of a given species, located on the circle's top half. Circos hasn't only been used to compare genomes, but also to portray them, as with Gloeobacter violaceus, a direct-line descendant of one of the first photosynthetic bacteria. Krzywinski built the Center’s first IT system, beefed up their security, designed optimized keyboard layouts, and generally geeked out. Today at 4 p.m.