Période Jōmon Lames d'obsidienne (microlithes). Site : Shirohebiyama-Iwakage à Imari, Saga. 13 000- 12 000 BP, Proto-Jōmon. La période Jōmon ou l'ère Jōmon (縄文時代, Jōmon jidai?) est l'une des quatorze subdivisions traditionnelles de l'histoire du Japon. Cette période est précédée par le Paléolithique du Japon et suivie par la période Yayoi. Les premières découvertes archéologiques ont mis au jour des poteries « à décor (文, mon?) Selon la légende, l'empereur Jimmu, descendant de la déesse Amaterasu, aurait fondé la dynastie japonaise pendant cette période, en 660 avant l'ère commune. Toutes les dates indiquées sont sous-entendues avant l'ère commune (AEC). Historique des découvertes, localisation, périodisation[modifier | modifier le code] Arrivé au Japon, en 1877, Edward Sylvester Morse est le pionnier de l'étude de cette période. Les sites Jômon sont plutôt situés dans le nord, et surtout dans l'est du Japon, une « frontière » est-ouest passant par le centre du Honshu, l'île principale[3]. Conservation.
Histoire du Monde ARCHITECTURE TRADITIONNELLE L'Architecture traditionnelle (Nihon kenchiku) : A une histoire aussi ancienne que n'importe quel autre aspect de la culture japonaise et que le Japon lui-même. Fortement influencée par l'architecture chinoise, elle se distingue cependant par certains aspects et différences importantes qui sont typiquement japonaises. Yoshinogari La période préhistorique influencé par les cultures Jomon et Yayoi et d'autres cultures plus anciennes. Yoshinogari Les fouilles et les recherches démontrent que ces maisons avaient des toits de chaume et des planchers en terre battue. Site de Yoshinagari, Préfecture de Saga : reconstruction d'un site préhistorique Les fossés et les herses de défense de Yoshinogari A l'intérieur de Yoshinogari A l'intérieur de Yoshinogari Les fouilles à Yoshinogari Site de Sannai-Maruyama Sannai-Maruyama Sannai-Maruyama Sannai-Maruyama Sannai-Maruyama Périodes Asuka et Nara (de 538 à 784 ) Ère Heian (de 794 à 1185 ) BYODO IN DE KYOTO Ère Edo (de 1603 à 1867 )
Les premières civilisations de l’Histoire : la civilisation de l'Indus, égyptienne... VincentBoqueho Professeur de Physique L’existence de vestiges écrits ou monumentaux permet de recenser de façon relativement objective les principales civilisations historiques du monde. Par ailleurs, on ne se préoccupe dans cette partie que des civilisations ayant émergé de façon autonome : l’essor de ces civilisations ne peut donc s’expliquer par l’héritage d’autres civilisations. La Méso-Amérique est l’un des grands foyers de civilisation du monde (à l'image : Chichen Itza, pyramide des Kukulcan). © Fcb981, CC by sa 3.0 Les huit civilisations autonomes de l'histoire Huit civilisations autonomes se dégagent. La civilisation sumérienne en Mésopotamie, née vers 3500 av. Les civilisations sumérienne, égyptienne, sabéenne et de l'Indus Les quatre premières pratiquèrent la culture du blé, et apparaissent donc comme les héritières du Croissant Fertile au Proche-Orient : c’est là qu’ont été réalisées les premières domestications de plantes du monde, notamment le blé.
Les maisons sur pilotis de Papouasie Nouvelle Guinée La Papouasie-Nouvelle-Guinée est un pays de hautes montagnes, de forêts, de plaines, de marécages et bien sûr de plages de corail, d’îles et d’océans. La partie montagneuse du pays est appelée les Highlands et la partie basse de la terre qui rencontre la mer est appelée la région côtière. La Papouasie-Nouvelle-Guinée se compose de beaucoup de personnes différentes qui vivent dans des styles de vie totalement différents. La vie le long de la zone côtière méridionale, en particulier parmi le groupe de personnes connues comme les Motuans, est un peu semblable pour tous. Les maisons sur pilotis de Papouasie Nouvelle Guinée peuvent durer de 20 à 30 ans. La hauteur entre le sol et le plancher des maisons est d’environ 3,5 à 4 mètres. Le temps qu’il faut pour construire une maison sur pilotis dépend de la disponibilité des matériaux. Pour ériger un poteau cela nécessite environ 20 hommes. Les maisons sur pilotis sont construites pour permettre de résister aux vents forts. Enregistrer
Les maisons arbre Korowai En Papouasie du sud, les Korowai vivent dans des habitations uniques à la cime des arbres. Connue surtout pour être l’une des dernières tribu active de cannibales, les Korowai de Papouasie, en Indonésie, ont vécu dans un isolement total jusqu’au premier contact avec les missionnaires hollandais dans les années 1970. Mis à part le penchant pour le cannibalisme tribal, les Korowai ont un autre trait culturel fascinant : ils sont les architectes fantastiques d’imposantes maisons dans les arbres à plus de 35 mètres de hauteur. Cette architecture unique protège les familles des moustiques, ainsi que des voisins gênants et des mauvais esprits. Les nouvelles maisons sont bénies par un maculage de graisse animale au seuil et sur les escaliers, et en coupant de petits trous dans le toit qui donne symboliquement l’accès aux savoureux gibier (habituellement les porcs). Sources et crédits photos : atlasobscura.com, Markus Fleute, tectonicablog.com. Enregistrer
Néolithique Le Néolithique (parfois nommé « âge de la pierre polie »), qui succède au Mésolithique, est une période préhistorique marquée par de profondes mutations techniques et sociales, liées à l’adoption par les groupes humains d’un modèle de subsistance fondé sur l’agriculture et l’élevage, et impliquant le plus souvent une sédentarisation. Les principales innovations techniques sont la généralisation de l'outillage en pierre polie, la poterie, le tissage, ainsi que le développement de l'architecture. Selon les aires géographiques considérées, ces importantes mutations sont relativement rapides et certains auteurs ont pu parler de « révolution néolithique ». La néolithisation est toutefois un phénomène progressif, survenu à des dates différentes selon les régions. Le Néolithique débute au Proche-Orient au IXe millénaire av. Apparition du concept et définition[modifier | modifier le code] La « révolution néolithique »[modifier | modifier le code] Chronologie[modifier | modifier le code] Pour J.
Hanoi : la maison traditionnelle de Papouasie La maison Hanoi est la maison traditionnelle du centre de la Papouasie. La maison a une forme ronde et est habituellement occupée par 5 à 10 personnes. Fabriqué à partir de planches de bois brut avec un toit de sagou ou de roseaux, un Hanoi fait de 4 à 6 mètres de diamètre pour 5 à 7 mètres de haut. Les hommes et les femmes vivent dans des zones séparées du Hanoi, habituellement les hommes dorment au rez de chaussée, avec la tête au milieu et les pieds sur le bord extérieur, et les femmes dorment au premier étage. La maison Hanoi a une petite porte et pas de fenêtres. Enregistrer
L’évolution des charpentes d’églises du Val d’Oise, du XIe au XXe siècle 1 L’initiative de ce projet revient à Anne Dietrich, Matthieu Gaultier et Didier Vermeersch. 1En 2003, une campagne d’inventaire des charpentes des églises du Val d’Oise a été engagée par le Service Départemental Archéologique1, sur la base de quatre mois de prospections répartis sur trois ans. Ce recensement consistait à évaluer le potentiel archéologique des combles des édifices religieux du département et à identifier les différents types de charpentes conservées. Cette démarche s’inscrivait dans une perspective plus large, visant à définir les traits généraux de l’évolution des techniques et des structures de charpenterie en Île-de-France. 2Cet article présente la synthèse de l’inventaire mené sur 40 monuments répartis sur 37 communes du Val d’Oise (Fig. 1), soit en tout 150 charpentes étudiées (Epaud 2003 et 2005. Fig. 1 : Carte de localisation des édifices étudiés dans le Val d’Oise. Fig. 2 : Église de Deuil-la-Barre. Fig. 3 : Église de Deuil-la-Barre. Fig. 4 : Deuil-la-Barre.