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[À babord !]

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Le Grand Soir journal militant d'information alternative Les renseignements généreux La symphonie du silence Les naturalistes de la forêt Montmorency proposent une expérience de communion profonde avec la nature Une centaine de personnes assistent à un concert sous les étoiles, par un doux soir de juillet. Réunies au bord d’un lac, elles écoutent une musique étrange, dans une sorte de recueillement qui les surprend elles-mêmes. C’est cette communion profonde avec la nature que vous propose l’équipe des naturalistes de la forêt Montmorency lors de ses concerts fauniques. «Depuis la création des concerts fauniques, en 2007, nous accueillons de 600 à 800 personnes chaque été, dit Pierre Vaillancourt, guide-naturaliste et directeur artistique. À leur arrivée, vers 20 h, les spectateurs sont invités à se rendre dans une grande salle où on les informe du déroulement de la soirée. Puis le concert débute. «Il n’existe pas deux soirées pareilles, affirme ce dernier. «Tous les soirs, au retour, des gens sont tellement émus qu’ils en ont la larme à l’œil, souligne Pierre Vaillancourt.

La Gauche, Journal pour l'indépendance, le féminisme et le socialisme Investig Les paradis fiscaux, piliers du capitalisme Les paradis fiscaux ne facilitent pas seulement les magouilles financières, ils sont au centre des stratégies des firmes et des flux bancaires internationaux. 2005 a été une année exceptionnelle pour le groupe U2, avec des gains estimés à 217 millions d'euros. Tout allait donc bien pour Bono et sa bande, jusqu'à ce que leur patrie d'origine, l'Irlande, qui proposait aux artistes de ne pas payer d'impôts, décide récemment de plafonner la défiscalisation autorisée. Ni une ni deux: Bono, jusqu'ici connu pour son combat en faveur de l'annulation de la dette des pays les plus pauvres, a transféré la gestion des gains du groupe à une société hollandaise, Promogroup. Elle compte déjà comme clients les Rolling Stones qui, grâce à ses bons conseils sur la meilleure façon d'utiliser les lois fiscales des Antilles néerlandaises, affichent un taux d'imposition sur les vingt dernières années de… 1,6% de leurs revenus. Les multinationales s'emmêlent les prix L'économiste américain Simon J. Notes

The Not-Saying “Not-saying became language.” —Peter Waterhouse “Man as the being who can say ‘No.’” —Paul Celan In 1938, at the tender age of 37 years old, Laura Riding published her Collected Poems, and shortly thereafter renounced poetry and what she called “the creed of poetry.” It’s at the same age that the speaker of Walt Whitman’s Song of Myself announces his intent to celebrate himself and sing himself, and in so doing put “creeds and schools in abeyance.” I, now thirty-seven years old in perfect health begin, Hoping to cease not till death. When I first began to make jottings for this meditation on renunciation, I was 37, hesitating on the brink between Whitman’s robust affirmation and Riding’s seemingly decisive renunciation. And, too I think to add, I began to consider how “No” in this context—instead of being the antithesis of poetry—might in fact have something in common with the genre. And here is Alice Meynell’s 1893 response to the same question: Interviewer: And your poetry?

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