Norovirus Norovirus is a genus of genetically diverse single-stranded RNA, non-enveloped viruses in the Caliciviridae family.[1] The known viruses in the genus are all considered to be the variant strains of a single species called Norwalk virus. The viruses are transmitted by fecally contaminated food or water, by person-to-person contact,[2] and via aerosolization of the virus and subsequent contamination of surfaces.[3] Noroviruses are the most common cause of viral gastroenteritis in humans, and affect people of all ages.[4] Norovirus infection is characterized by nausea, forceful vomiting, watery diarrhea, abdominal pain, and in some cases, loss of taste. General lethargy, weakness, muscle aches, headache, and low-grade fever may occur. The disease is usually self-limiting, and severe illness is rare. The genus name Norovirus is derived from Norwalk virus, the only species of the genus. Diagnosis[edit] Virology[edit] Transmission[edit] Classification[edit] Structure[edit] Pathophysiology[edit]
Murine Norovirus: a Model System To Study Norovirus Biology and Pathogenesis Human noroviruses are the major cause of nonbacterial, epidemic gastroenteritis worldwide (19, 23, 33, 46) and cause significant numbers of endemic cases, as well. One study from 1999 estimated that, in the United States alone, human noroviruses cause 23 million cases of gastroenteritis and 50,000 hospitalizations per year (49). Norovirus outbreaks involve people of all ages and often occur in crowded locations, such as cruise ships, aircraft carriers, nursing homes, hospitals, schools, and restaurants (23). Although most noroviruses have been associated with gastrointestinal disease in humans, noroviruses of cattle, swine and mice have also been identified (36, 44, 70). The MNV model system provides the first opportunity to understand the relationship between basic mechanisms of norovirus replication in tissue culture and pathogenesis in a natural host. The first norovirus to infect mice, MNV-1, was described in 2003 (36). Phylogenic analysis of the Caliciviridae.
Notions - Effet toxique 5. Qu'est-ce qu'un effet toxique ? 5.1 L'effet toxique Lorsqu’un individu absorbe des produits chimiques, divers effets biologiques peuvent se produire et se révéler bénéfiques (ex. : l’amélioration de la santé après l’administration d’un médicament) ou néfastes (ex. : une atteinte pulmonaire suivant l’inhalation d’un gaz corrosif). La notion d’effet toxique suppose des conséquences nocives pour l’organisme. Le fait d’inhaler, de toucher et même d’ingérer des substances chimiques n’entraîne pas nécessairement un effet toxique. La toxicité englobe l’ensemble des effets néfastes d’un toxique sur un organisme vivant. L’effet néfaste est lié à la dose, à la voie d’absorption, au type et à la gravité des lésions ainsi qu’au temps nécessaire à l’apparition d’une lésion. Tableau 5. L'effet toxique est le résultat d'un processus souvent complexe et il peut entraîner une série de réactions physiologiques et métaboliques (figure 5). Figure 5. 5.2 Comment survient et évolue un effet toxique Figure 6.
Les intoxications au monoxyde de carbone Avec une centaine de décès en moyenne par an, le monoxyde de carbone (CO) est la première cause de mortalité accidentelle par toxique en France. Entre le 1er septembre 2013 et le 31 mars 2014, 1 028 épisodes d’intoxication domestique au CO survenus par accident et impliquant 3 050 personnes, ont été signalés au système de surveillance de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Pourtant, certains symptômes sont annonciateurs d’une intoxication au monoxyde de carbone : maux de têtes, nausées et vomissements. Bien identifiés, ils permettent de réagir rapidement et d’éviter le pire. Il est essentiel que chacun, professionnels de santé ou sociaux, installateur ou revendeur de matériel de chauffage, mais aussi chaque citoyen, soit vigilant afin de dépister au plus tôt cette intoxication encore mal connue. Comment éviter les intoxications au monoxyde de carbone en hiver ? La campagne de prévention annuelle 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
chapitre8 1.1. Bases moléculaires du cancer Un néoplasme est la conséquence d’anomalies successives qui perturbent de façon permanente la prolifération cellulaire. Dans la cellule cancéreuse il y a rupture permanente de l'équilibre entre les signaux intracellulaires : activation de voies stimulatrices Suppression de voies inhibitrices La coexistence de plusieurs événements est nécessaire à la transformation cancéreuse. L'activation de nouveaux oncogènes se poursuit tout au long de la progression tumorale : processus multi-étape. 1.1.1. Différents agents de l’environnement conduisent au développement d’un cancer Agents initiateurs : ils induisent une lésion définitive de l’ADN (par exemple mutation…). Les oncogènes Certains virus animaux sont capables d’induire des tumeurs (ex : sarcome de Rous du poulet, découvert en 1911). gènes immortalisants (myc) codant pour des protéines nucléaires se liant à l’ADN. gènes transformants : ras, met... Facteurs génétiques :