Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information CENTRE FRANÇAIS DE RECHERCHE SUR LE RENSEIGNEMENT Cryptome Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cryptome est un site web hébergé aux États-Unis qui collectionne des milliers de documents sensibles ou censurés par divers gouvernements depuis 1996. Le propriétaire du site est John Young, un architecte de New York. Le thème général est l'espionnage et la surveillance, ce qui comprend notamment des documents sur : les télécommunications : le terrorisme : Oussama Ben Laden (notamment le procès par contumace pour les attentats de 1993) ;des images satellites (bâtiments gouvermentaux, théâtres de guerre) ;des photos de soldats américains morts en Irak ;une liste des agents du MI6. Annexes[modifier | modifier le code] Autres articles[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Cryptome.org
Institut des hautes études de défense nationale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de l'IHEDN Origines[modifier | modifier le code] Le Collège des hautes études de défense nationale[modifier | modifier le code] L’IHEDN, dans sa préfiguration, est né le 14 août 1936 (J.O du 21 août 1936) d’un décret instituant le Collège des hautes études Militaires (CHEM), dont la première session s’ouvre le 15 octobre, boulevard Victor à Paris, dans les locaux du ministère de l’Air. D’octobre 1936 à mars 1939, le vice-amiral Raoul Castex, alors préfet maritime et commandant en chef de la 2e région maritime à Brest, est le premier directeur du Collège. L'Institut des hautes études de défense nationale[modifier | modifier le code] Missions[modifier | modifier le code] Les missions de l'IHEDN sont fixées par l'article R1132-13 du code de la Défense : Relations internationales[modifier | modifier le code] Ces formations intéressent les 27 pays de l’Union européenne, mais aussi les organisations internationales et les pays tiers.
- Centre d’Analyse Stratégique ECPAD Cryptome Session nationale « Politique de défense » Public Une session comprend environ 96 auditeurs, dont des auditeurs étrangers en provenance de l’Union européenne ou de pays alliés ou amis de la France ; ils se répartissent en 4 grandes catégories socioprofessionnelles : Des militaires : officiers des trois armées, de la gendarmerie nationale, de la Direction générale de l'armement et des services, qui, pour la plupart, sont parallèlement auditeurs du Centre des hautes études militaires (CHEM)Des hauts fonctionnaires (grands corps de l’Etat, administrations)Des cadres dirigeants d'entreprises du secteur publicDes personnalités civiles exerçant des responsabilités importantes dans les différents secteurs d’activité économique, sociale, scientifique, juridique, culturelle ainsi que dans la presse écrite et audiovisuelle Objectifs Contenu pédagogique La première phase est simultanément consacrée à : l’étude des grandes données géopolitiques et géoéconomiques du monde;la découverte des réalités de la défense militaire. Autres liens Dates Lieu
CDSE - Club des Directeurs de Sécurité des Entreprises Mer et Marine | Toute l'actualité maritime blog: December 2012 Archives Hello world, despite popular belief (quite likely resulting from our own lack of communication with you), this project is still alive. We have since the conception of this project worked on what by now has become a broad strategy for a decentralised, sustainable and secure leaking environment on the internet. We had started out with an idea of what such a distributed leaking system should look like (and what not), and another idea of how we could implement it. And as great as that first idea was (and by now has become), we were underestimating that second part -- especially when it came to the time it would consume. Our premises We strongly believe that, in order for our world to be healthy, we need whistleblowers as corrective mechanisms . From those constraints one needs to be able to abstract a thorough risk analysis. If deciding to go for it the risks and constraints are translated into requirements in respect to security and anonymity of users of the site.
L’Institut des hautes études de défense nationale Hier, l’histoire … En 1948, l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) succède au Collège des hautes études de défense nationale, fondé par l’amiral Castex en 1936. Cet institut de niveau gouvernemental a pour vocation de former de hauts fonctionnaires, civils et militaires, à la préparation et à la conduite de la guerre, dans une vision dépassant le seul cadre militaire. L’IHEDN voit ensuite ses missions évoluer à l’aune dont la défense de la France est pensée. Ainsi, au fil des années, l’Institut s’est adapté à la nature de la guerre et aux exigences que celle-ci impose à la Nation dans un environnement qui s’internationalise. … aujourd’hui, un Institut rénové… En 2008, l’ambition française de continuer à vivre libre et en paix dans un monde de puissances relatives en pleine restructuration, conduit à la définition du concept de sécurité nationale. L’Institut, dont la nécessité est au demeurant renforcée par cette nouvelle donne, s’en trouve naturellement affecté.
Défense et réseaux sociaux: l’armée française publie une excellente réflexion | Comfluences, David Millian Voilà une excellente nouvelle pour ceux qui suivent avec attention le tortueux chemin que suit l’institution militaire française en matière de communication. Le Centre Interarmées de Concept, de Doctrines et d’Expérimentations (CICDE) vient de publier un très synthétique document de réflexion (23 pages) sobrement intitulé "Réseaux sociaux: Nature et conséquences pour les forces armées " La Défense qui avait publié l’année dernière, un peu "à la vas-y comme je te pousse", un guide à l’usage des médias sociaux rehausse donc le niveau de réflexion sur le sujet. L’étude aborde donc notamment les questions de support à la communication opérationnelle COMOPS), aux opérations militaires d’influence (OMI), au lien armées-Nation, au renseignement, etc. Les constats sont lucides. Il est tout aussi difficile actuellement de mesurer l’impact réel d’une présence institutionnelle sur les réseaux sociaux. Sans doute il est plus facile de comprendre cette réflexion lorsqu’on lit juste après :