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Alain Soral

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Soral. Alain Soral, à l'état-civil Alain Bonnet (nom d'usage Bonnet de Soral)[n 1], est un essayiste, militant politique et chef d'entreprise franco-suisse, né le à Aix-les-Bains. Il se présente ensuite aux élections européennes de 2009 en Île-de-France en cinquième position sur la « liste antisioniste » conduite par Dieudonné, dont il est devenu l'ami et l'« éminence grise », ce qui permet d'observer une continuité entre ses discours et les spectacles de l'humoriste. En mars 2011, il fonde la SARL « Culture pour tous » dont les activités gravitent autour d'E&R. Au cours des années 2000, il devient, aux yeux de la plupart des observateurs, un idéologue d'extrême droite, oscillant entre un antisémitisme traditionnel et le nouvel antisémitisme. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse, premiers essais et carrière dans le milieu du spectacle[modifier | modifier le code]

Dieudonné rejeté par le mouvement de solidarité avec la Palestine Le mouvement des Indigènes de la République a dénoncé le 12 mai le rapprochement entre Dieudonné et l’extrême droite : « Piégé par ses propres délires, par les encouragements de ses “conseillers”, pseudo-antisionistes, et par l’hostilité que lui ont manifesté la plupart des forces politiques en France, Dieudonné a franchi un cap décisif, peut-être irrémédiable, en s’alliant dans le cadre d’une liste dite antisioniste avec des personnalités douteuses dont certaines sont directement issues de l’extrême droite raciste. Nous nous en serions probablement moins souciés si Dieudonné ne bénéficiait d’une surexposition médiatique, entretenue à dessein par nos adversaires pour stigmatiser à travers lui l’ensemble des communautés noires, arabes et musulmanes. Mais le plus grave est que le débat nécessaire sur le sionisme et la politique européenne (et française) vis-à-vis de l’Etat d’Israël a été ainsi occulté par une polémique sur la personnalité et le rôle de Dieudonné. (...) Femmes et islam

DÉRAPAGE – Murdoch critique « la presse détenue par les Juifs » et sa couverture du Proche-Orient Rupert Murdoch. AFP Comme toujours, le conflit au Proche-Orient est propice au dérapage médiatique. L'opération "Pilier de défense" lancée par Israël contre le Hamas la semaine dernière ne déroge pas à la règle. C'est cette fois Rupert Murdoch, le magnat australien des médias, qui a provoqué la polémique sur son compte Twitter. "Pourquoi la presse détenue par les Juifs est-elle systématiquement anti-israélienne ?" "La situation au Proche-Orient est prête à dégénérer à tout moment. Ce n'est pas la première fois que Rupert Murdoch affiche son soutien à Israël. Murdoch s'est finalement excusé dimanche, indiquant pourtant qu'il ne voyait pas le problème. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité, Proche-Orient.

Franklin Prophecy "The Franklin Prophecy", sometimes called "The Franklin Forgery", is an antisemitic speech falsely attributed to Benjamin Franklin, warning of the supposed dangers of admitting Jews to the nascent United States. The speech was purportedly transcribed by Charles Cotesworth Pinckney during the Constitutional Convention of 1787, but was unknown before its appearance in 1934 in the pages of William Dudley Pelley's Silver Legion pro-Nazi weekly magazine Liberation. (Pinckney wrote that he had kept a journal of the Convention, but it has never been found, and Pelley's claims that it was printed privately, and that the Franklin Institute has a manuscript copy, are unsubstantiated.) Authenticity[edit] Despite having been repeatedly discredited since its first appearance, the "prophecy" has proved a remarkably durable antisemitic canard. The U.S. Franklin was a friend to the Jews of 18th-century America,[4] and contributed toward the building of Philadelphia's first permanent synagogue.[5]

Le président iranien reconnaît l'existence de l'Holocauste VIDÉO - Hassan Rohani prend le contre-pied de son prédécesseur, Mahmoud Ahmadinejad, qui a plusieurs fois mis en cause la réalité des crimes nazis. Il avait esquivé la question la semaine dernière, dans un entretien télévisé, mais a répondu cette fois très clairement à CNN. Le président iranien Hassan Rohani a qualifié mardi l'Holocauste de «grand crime» des nazis contre les Juifs, dans un entretien accordé à la chaîne américaine, tout en jugeant que rien ne justifiait la création d'un État au détriment d'une autre population. «Je ne suis pas un historien et quand il s'agit d'estimer l'ampleur de l'Holocauste, il revient aux historiens de le faire», a-t-il déclaré, ajoutant que «de manière générale, je peux vous dire que tous les crimes commis contre l'humanité dans l'histoire, y compris ceux que les nazis ont commis contre les Juifs, sont répréhensibles et condamnables». Investi le mois dernier, Hassan Rohani a adopté un ton conciliant qui contraste avec celui de son prédécesseur.

Roger Garaudy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Roger Garaudy est un homme politique, philosophe et écrivain français né le à Marseille et mort le à son domicile de Chennevières-sur-Marne[1]. Jusqu'en 1970, c'est une figure importante du Parti communiste français dont il est alors exclu. Biographie[modifier | modifier le code] Itinéraire intellectuel[modifier | modifier le code] Roger Garaudy a d'abord été l'un des philosophes officiels du Parti communiste jusqu'à son ralliement aux thèses de l'extrême gauche autogestionnaire en mai 1968. Du marxisme à l'Islam[modifier | modifier le code] Directeur du Centre d'études et de recherches marxistes, il fut pendant des années l'un des philosophes officiels du Parti, avant d'en être exclu en juin 1970, époque où il était en dissidence marxiste, proche des idées de Mai 68. Roger Garaudy a créé sa propre fondation en Espagne à Cordoue, la fondation Roger-Garaudy. De l'antisionisme au négationnisme[modifier | modifier le code]

David Irving Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Irving. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir échoué lors de ses études à l'Imperial College London puis avoir tenté d'entrer dans la Royal Air Force, il travaille un temps comme ouvrier dans la sidérurgie en Allemagne et achève finalement une troisième année à l'Université de Londres (il qualifie lui-même par la suite son parcours universitaire d'« échec total » et en attribue la faute à ses enseignants)[2]. Il se fait connaître en 1963 en publiant La Destruction de Dresde, livre consacré au bombardement de la ville de Dresde par l'aviation britannique, où périrent vingt-cinq mille civils allemands[3]. Irving y défend un bilan de 135 000, puis 200 000 victimes, essentiellement sur la base d'un rapport de police fortement suspecté d'être un faux depuis 1955, le TB 47, ce qui fut définitivement prouvé en 1977[4]). David Irving devient un auteur à succès, reconnu pour ses talents d'écrivain et d'archiviste.

Hezbollah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Hezbollah (arabe : ‮حزب الله‬ ḥizbu-llāh, « Parti de Dieu »), fondé en juin 1982, mais révélé publiquement en février 1985, est un mouvement politique chiite libanais possédant une branche armée (Al-Muqawama al-Islamiyya, Résistance islamique) qui est à son origine. Il fut créé en réaction à l'invasion israélienne du Liban en 1982, en s'appuyant sur un financement iranien. Parti politique officiel au Liban, le Hezbollah est diversement perçu par la communauté internationale, les États-Unis, le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et Bahreïn, l'ayant placé sur leur liste des organisations terroristes. Le 22 juillet 2013, l'Union européenne a aussi classé la branche militaire du Hezbollah sur sa liste des organisations terroristes. Les six pays arabes du Golfe Persique ont placé le Hezbollah sur leur liste noire ne faisant aucune distinction entre cette organisation et sa branche militaire. Emblème[modifier | modifier le code]

Hamas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hamas Logo officiel Le Hamas (en arabe : حماس, « ferveur »), acronyme partiel de harakat al-muqâwama al-'islâmiya (arabe : حركة المقاومة الإسلامية, « Mouvement de résistance islamique »), est un mouvement islamiste constitué d'une branche politique et d'une branche armée, principalement actif à Gaza. Créé en 1987 par Sheikh Ahmed Yassin, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus des Frères musulmans, son programme, exprimé dans sa charte[1], est la destruction de l'État d'Israël et l'instauration d'un État islamique palestinien sur toute la terre de l'ancienne Palestine mandataire (c'est-à-dire incluant les actuels État d'Israël, Cisjordanie et bande de Gaza). Dans le cadre du conflit israélo-palestinien, le Hamas se définit lui-même comme un mouvement trouvant ses principes dans le Coran et se battant au nom de l'islam. Histoire[modifier | modifier le code] De 1987 à 1993[modifier | modifier le code]

Charte du Hamas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Charte du Hamas est publiée en 1988, elle définit l’idéologie de l'organisation islamiste palestinienne Hamas. Cette charte identifie le Hamas comme étant une branche des Frères musulmans en Palestine et déclare que ses membres sont des musulmans qui « craignent Allah et élèvent la bannière du djihad face aux oppresseurs ». En 2010, le leader du Hamas Khaled Mechaal déclara que la Charte est « un document historique qui n'est plus pertinent mais qu'il ne peut pas être changé pour des raisons internes »[6]. Dénonciation de contenus antisémites[modifier | modifier le code] Pour Gilles Paris dans Le Monde[8], la Charte du Hamas abonde en références antisémites, « particulièrement à l'article 22 qui indique que "les ennemis ont amassé d'énormes fortunes qu'ils consacrent à la réalisation de leurs objectifs. Passages sur la Palestine, Israël, le sionisme, le judaisme et les Juifs[modifier | modifier le code] « L’invasion sioniste est vicieuse.

Légion juive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Légion juive est un projet créé par Jabotinsky dans le but de se défendre contre l'antisémitisme en Russie. Les unités juives ont été dissoutes en 1918 et 1919, mais la revendication d'une légion juive a continué à être soutenue jusque dans les années 1930. Le corps des muletiers de Sion[modifier | modifier le code] Jabotinsky dans la « Légion Juive ». L'idée d'une force militaire juive combattant dans les rangs des alliés naquit dans l'esprit de deux responsables sionistes, Zeev Vladimir Jabotinsky et Joseph Trumpeldor, durant le mois de décembre 1914. Entre décembre 1914 et mars 1915, plusieurs centaines de volontaires furent enrôlés au sein du corps des « muletiers de Sion », sous les ordres du lieutenant-colonel Patterson. Les bataillons juifs de l'armée britannique[modifier | modifier le code] Ces unités commencent à être engagées à l'été 1918 sous le commandement du Major General EWC Chaytor (un néo-zélandais). First Judeans, drapeau

Pogrom Le mot pogrom (d'origine russe : погром) signifie détruire, piller. Il est utilisé spécifiquement dans plusieurs langues pour décrire les attaques accompagnées de pillages et d'effusion de sang contre les Juifs en Russie, perpétrées par la majorité chrétienne, sans réaction des autorités ou avec leur assentiment, entre 1881 et 1921[1],[2]. Il désigne aussi, de façon générale, des violences et des émeutes sanglantes dirigées par une partie de la population contre des minorités ethniques, religieuses ou d'origine différente de cette population. Concernant les pogroms menés contre les Juifs, des violences similaires, mais d'ampleur plus limitée, surviennent à la même époque en Allemagne, en Autriche, en Roumanie et dans les Balkans[1]. En Europe, l'antisémitisme à l'origine des pogroms peut se nourrir du vieil antijudaïsme chrétien[4], de la séparation religieuse, de l'intolérance. Violences et massacres dans le bassin méditerranéen et en Europe avant 1880[modifier | modifier le code]

Pour ses voeux Dieudonné menace et déclare : "Je n'ai pas à choisir entre les Juifs et les nazis!" Dans une vidéo postée sur son compte Youtube, Dieudonné a tenu à présenter ses voeux aujourd'hui et à revenir sur les récentes affaires en rapport avec la "quenelle". Une vidéo dans laquelle il menace de désordre dans le cas où ses spectacles seraient interdits. Il menace également Arno Klarsfeld de "se faire défoncer la gueule". Voici les principaux extraits de cette longue vidéo de près de 20 minutes que jeanmarcmorandini.com a décidé de ne pas mettre en ligne: Sur Arno Klarsfekd: "Arno, j'ai envie de te dire : tu m'inquiètes à jouer les gros bras, à faire le casseur. Il faut que tu te conformes à certaines règles. A jouer aux cons, à menacer tout le monde, tu vas finir par te faire défoncer ta petite gueule de petite chatte d'appartement. Si tu veux débattre avec moi, je suis ouvert au débat. Et d'ajouter : "Klarsfeld, détends toi. Sur les jeunes juifs de France: "Calmez-vous les jeunes juifs de France. Mais attention les gars. Moi, je suis contre la violence. Je ne suis pas antisémite.

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