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Organisation armée secrète

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 14 décembre 2012 à Djdiouia, ex Saint Aimé (Algérie) : cinquante ans après dans l'Algérie indépendante, traces indélébiles d'une inscription murale, le slogan : « Vive l'Algérie française », elle date des dernières années de la présence française en Algérie. Création[modifier | modifier le code] L'histoire de l'OAS se présente comme la manifestation la plus radicale d'une partie de l'armée et de civils de conserver l'Algérie française, où vivaient un million d'Européens et huit millions d'autochtones et qui avait alors le statut de département français, en s'opposant par tous les moyens à la politique d'autodétermination mise en place par le général De Gaulle à partir de la fin de l'année 1959. Le 8 janvier 1961, le référendum sur l'autodétermination en Algérie est approuvé par 75 % des votants[8]. Répression[modifier | modifier le code] Chronologie des événements[modifier | modifier le code]

Coup d'état du 13 mai 1958 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le contexte de la guerre d'Algérie et d'une lutte pour le pouvoir, il avait pour but d'empêcher la constitution du Gouvernement Pierre Pflimlin et d'imposer un changement de politique allant dans le sens du maintien de l'Algérie française au sein de la République. Il se solda par la fin de la « traversée du désert » pour le général en retraite, Charles de Gaulle, et son retour aux affaires. En outre, il marque la fin de la Quatrième République et le début de la Cinquième République. Situation à Paris[modifier | modifier le code] SFIO en crise et affaire de Sakiet[modifier | modifier le code] En 1958, la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), parti de gauche regroupant plusieurs courants socialistes, est au pouvoir depuis la formation du gouvernement Guy Mollet. Vacance du pouvoir et perspective politique[modifier | modifier le code] Situation à Alger[modifier | modifier le code] Sortie de crise[modifier | modifier le code]

Indochine française Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Union indochinoise[note 1] Liên bang Đông Dương Carte de l'Indochine française L'Indochine française (Đông Dương thuộc Pháp en vietnamien) est une partie de l'ancien empire colonial français, création de l'administration coloniale, regroupant plusieurs territoires aux statuts officiels différents : On l'appelle souvent « Indochine », ce qui crée une confusion avec la notion géographique d'Indochine – ou péninsule indochinoise – qui désigne les pays situés entre l'Inde et la Chine, soit les pays sus-cités ainsi que la Birmanie, la Thaïlande et la partie continentale de la Malaisie. L'Union indochinoise est créée par l'union de différents territoires d'Asie du Sud-Est colonisés ou passés sous protectorat français au cours du XIXe siècle. Histoire[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code] Carte de la Cochinchine, de l'Annam et du Tonkin par le P. de Rhodes Conquête[modifier | modifier le code]

Voie de la Liberté Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Timbre Voie de la Liberté 1947 Borne dans le centre d'Arlon Borne le long de la voie express N175 entre Dol de Bretagne et Avranches Vue de près de la borne de la N175, modèle en matériau synthétique remplaçant les bornes originales Borne de la Voie de la Liberté à proximité de Bastogne Borne de la Voie de la Liberté de Clervaux. Le colonel Guy de la Vasselais, ancien chef de la Mission militaire française de la liaison tactique près le XXe Corps de la IIIe Armée U.S, concevait, dès juin 1944, de réaliser un souvenir grandiose de la Libération de la France. En mars 1946, l'association Belgo-américaine propose aux Français de la prolonger jusqu'à Bastogne et le 5 juillet 1947, a lieu la pose officielle de la borne terminale à Bastogne. Parcours[modifier | modifier le code] Voici les villes et villages principaux et sites traversés par la voie : Axe routier principal actuel : N174-E03 de Carentan à St-Lô

Opération Cobra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’opération Cobra est le nom de code de l'offensive américaine menée fin dans le Cotentin pendant la bataille de Normandie afin de s'ouvrir la route de la Bretagne, et d'enfoncer les lignes de défense allemandes. La concentration de forces suivie d'une projection soudaine évoque l'image de la brusque détente d'un serpent cobra. Contexte[modifier | modifier le code] Près d’un mois et demi après le débarquement du 6 juin, les Américains ont peine à avancer dans le bocage normand avec des pertes importantes pour un minimum de gains. Le terrain est favorable aux actions défensives basées sur l'embuscade et le coup de main, dont les Allemands savent habilement tirer parti. La progression américaine, entre La Haye-du-Puits et Lessay, leur coûte 1 000 morts au km et la seule capture du mont Castre, 5 000 hommes. Monter une attaque massive pour permettre à l'armée américaine de faire irruption plus au sud s'impose. Char américain dans Coutances

Pointe du Hoc - Débarquement de Normandie - 6 juin 1944 - Jour J Composition de la batterie de la Pointe du Hoc A mi-distance entre Omaha Beach et Utah Beach, la Pointe du Hoc domine la mer de sa falaise verticale. Elle est couronnée par une batterie (partiellement sous abri bétonné mais encore en construction en juin 1944) installée par les Allemands : à six kilomètres à l'ouest d'Omaha, six obusiers de 155 mm de fabrication française (155 mm G.P.F. mle 1917) et datant de la Première Guerre mondiale sont installés sur un plateau qui se termine lui-même abruptement en falaises rocheuses de 25 à 30 mètres de haut. Les artilleurs appartiennent à la 2ème batterie de l'Heeres-Küsten-Artillerie 1260 commandés par l'Oberleutnant Frido Ebeling. Le mot « Hoc » provient de « haugr » en Norois, la langue des Vikings, et qui signifie monticule. Ce toponymie est fréquent en langue normande et en particulier dans « Cap de la Hague » et « Saint-Vaast-La-Hougue ». La stratégie envisagée pour la prise de la batterie de la Pointe du Hoc Le déroulement de l'assaut

Assaut contre le manoir de Brécourt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’assaut du manoir de Brécourt se déroule le 6 juin 1944 durant l’opération Albany lors de la bataille de Normandie. Il est souvent cité comme un exemple classique d'assaut permettant à une petite unité de vaincre une force supérieure en nombre en position défensive. L'assaut a été si efficace qu'il est de nos jours enseigné à l'Académie militaire de West Point. Objectif[modifier | modifier le code] Suite à la disparition du commandant de la compagnie dans le crash du C-47 qui le transportait, le commandement de la Easy Company, 2nd Bataillon du 506e PIR de la 101e Aéroportée revient au 1er lieutenant Richard D. L’unité normalement assignée à la batterie avait apparemment pris la fuite durant la nuit en apercevant les parachutages ; le lieutenant-colonel Friedrich August von der Heydte, découvrant la désertion, se déplaça jusqu’à Carentan et ordonna à son 1er bataillon de prendre en charge la batterie. Bataille[modifier | modifier le code]

La guerre des Haies Chapitre premier La guerre des haies Le lundi 5 juin 1944, à 4 h 15, les chefs météorologistes ayant annoncé une chute temporaire des vents et une dislocation partielle des nuages, Eisenhower décide brusquement : " All right ! " Ce que Philippe d'Espagne n'a pu mener à bien, ce que Napoléon ne réalisa point, ce qu'Hitler n'eut jamais le courage d'entreprendre, nous allons le réussir ", s'écrie avec orgueil un officier anglais. En fait, tandis que la 2e armée britannique de Dempsey piétine devant Caen où veillent encore tant de clochers mutilés, tandis que le Ve corps du général Gerow ne peut se saisir de Saint-Lô et s'immobilise à quelques kilomètres de la cité ruinée, le VIIe corps du général Collins, jeté sur la côte en face de Sainte Marie du Mont, fonce sur Portbail et Barneville, atteints le 18 juin, et balaye tout le nord du Cotentin. Succès en apparence facile et décisif. Il dispose de quatre corps d'armée : Le VIIe corps, au sud de Carentan, rassemble les 4e et 83e divisions.

La guerre des haies en Normandie La Normandie a été le théâtre de furieux combats plusieurs semaines encore après le 6 juin 1944. Après la bataille des plages débute ce que les historiens appellent communément aujourd'hui la "guerre des haies" en référence à la nature particulière du terrain sur lequel vont évoluer les forces belligérantes. La guerre des haies, également connue sous le nom de "bataille du bocage", a débuté dès le lendemain du Jour J et s'est achevée à la fin du mois d'août 1944, lorsque les troupes alliées ont fini de libérer la plus grande partie de l'actuelle Basse-Normandie. Pratiquement deux mois de combats meurtriers et acharnés qui ont mis les hommes à rudes épreuves. Les haies en 1944 La nature même des haies en 1944 n'est pas la même qu'aujourd'hui, sur un plan physiologique autant qu'utilitaire. En effet, si les haies servent à délimiter les propriétés et retiennent l'écoulement des eaux, elles servent également à garder les vaches ou encore les chevaux. L'intérêt tactique des haies Conclusion

Bataille des Ardennes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notions préliminaires[modifier | modifier le code] La division est la grande unité tactique de référence pour les opérations militaires de la Seconde Guerre mondiale. La division d'infanterie (Infantry Division ou Inf Div) a, en théorie, un effectif de 832 officiers et 13 386 sous-officiers et soldats. Le charroi est composé de 1 440 véhicules dont 636 Jeeps Son armement lourd est composé de 54 obusiers de 105 mm, 12 obusiers de 155 mm, 57 canons antichars de 57 mm, 13 canons antichars de 37 mm, 90 mortiers de 60 mm, 54 mortiers de 81 mm. Son armement léger est composé de 6 356 fusils M1 cal .30, 172 fusils 1 903 cal .30, 5 279 carabines M1, 243 Fusils automatiques BAR, 67 mitrailleuses .30 (air), 90 mitrailleuses .30 (eau), 236 mitrailleuses .50, 93 mitraillettes .45, 1 157 pistolets .45, 557 bazookas La division blindée (Armored Division ou Armd Div) a un effectif de 11 000 hommes. La division aéroportée (Fallschirmjäger division).

Libération de Paris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale a eu lieu du 19 au , marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode met fin à quatre années d'occupation de la capitale française. Contexte[modifier | modifier le code] Kœnig, commandant en chef des Forces françaises de l'intérieur, prépare une insurrection afin de contrecarrer l'installation de l'AMGOT redouté par le Gouvernement provisoire de la République française. Situation stratégique allemande[modifier | modifier le code] Hotchkiss H35 capturé par l'armée allemande en 1940 en mouvement à Paris, le 19 août 1944. Les ordres de Hitler prévoyaient la destruction des ponts et monuments de Paris, la répression impitoyable de toute résistance de la part de la population et de combattre dans Paris jusqu'au dernier homme[6] pour créer un « Stalingrad » sur le front Ouest immobilisant ainsi plusieurs divisions alliées. Insurrection populaire[modifier | modifier le code] A.

Pointe du Hoc Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pointe du Hoc Cette mission fut confiée au 2e bataillon de Rangers américain qui réussit à prendre le contrôle du site au prix de lourdes pertes. Par la suite, les pièces d'artillerie se révèleront avoir été déplacées par les Allemands peu de temps auparavant et installées 1,3 km en arrière, à l'intérieur des terres. Prise de la pointe[modifier | modifier le code] Plan de la position. La stratégie[modifier | modifier le code] Avant le débarquement du 2e bataillon de rangers prévu le 6 juin à 6 h 30, l'aviation et la marine alliée doivent au préalable bombarder la pointe afin de neutraliser la garnison en place, à savoir 125 fantassins et 80 artilleurs allemands. Pour ce faire, le 25 avril 1944 à 17h55, une puissante formation de bombardiers alliés venant de la terre avait survolé la Pointe du Hoc en trois vagues successives. À 4 h 30, dix LCA (Landing Craft Assault) ainsi que quatre DUKW doivent être mis à l’eau.

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