background preloader

Un Temps d'Avance : la révolution industrielle

Un Temps d'Avance : la révolution industrielle
Related:  HII- XIXe industrialisation et colonisation

Le chemin de fer, symbole d’une nouvelle révolution industrielle François CARON, Histoire des chemins de fer en France, 1740-1883, Paris, Fayard, 1997. Georges DUBY, Histoire de la France urbaine, Paris, Seuil, 1983. Ernst Hans GOMBRICH, Histoire de l’art, Paris, Gallimard, 1995. Bernard MARCHAND, Paris, histoire d’une ville (XIXe-XXe), Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », 1993. Sylvie PATIN, Monet, « un œil… mais bon Dieu, quel œil ! Karin SAGNER-DUCHTING, Claude Monet : une fête pour les yeux, Cologne, Paris, Taschen, 1994. COLLECTIF, Fiches pédagogiques du service culturel du musée d’Orsay Claude Monet, La Gare Saint-Lazare, musée d’Orsay. COLLECTIF, Manet, Monet, La Gare Saint-Lazare, catalogue de l’exposition du musée d’Orsay, RMN, Paris, 1998. Fleur SIOUFFI, « Le chemin de fer, symbole d’une nouvelle révolution industrielle », Histoire par l'image [en ligne], consulté le 14 mars 2022. Impressionnisme : Courant artistique regroupant l’ensemble des artistes indépendants qui ont exposé collectivement entre 1874 et 1886.

Février 1848 : chronologie d'une révolution dans la presse | RetroNews - Le site de presse de la BnF Février 1848. En ces temps d’épidémie, de choléra, de disette, de crise financière et de rivalités politiques, la monarchie de Juillet est dans une mauvaise passe. Dix-huit ans après les avancées de 1830, qui avaient fait accéder le peuple français à une monarchie constitutionnelle, la situation est difficile pour nombre de Français. Le 22 février, ignorant l'interdiction par le gouvernement d'un banquet réformiste, les Parisiens manifestent aux cris de « Vive la Réforme ! », bientôt rejoints par une partie de la Garde nationale.. Février 1848. Le 22 février, ignorant l'interdiction par le gouvernement d'un banquet réformiste, les Parisiens manifestent aux cris de « Vive la Réforme !

Les Temps modernes de Charles Chaplin (1936) - Analyse et critique du film En 1911, Franck Taylor, ingénieur économiste, crée l’Organisation Scientifique du Travail (OST) et donne naissance à un courant économique désormais célèbre : le taylorisme. Le scientifique diffuse ses idées selon deux grands principes : la division horizontale du travail qui consiste à supprimer toute tâche intellectuelle aux ouvriers afin qu’ils se concentrent sur le travail manuel et la division verticale qui, elle, attribue à chaque travailleur une tâche spécifique ayant pour but l’accélération et l’automatisation de la production. Séduit par cette thèse, Henry Ford décide de l’appliquer dans ses chaînes de montage automobile. Les profits des usines explosent et le modèle micro-économique est repris par toutes les grandes entreprises. On peut voir dans le changement de titre évoqué plus haut une volonté d’orienter l’œuvre vers le conte et l’éloigner ainsi du drame social pur (la brutalité du titre Les Masses évoque d’ailleurs des ouvrages marxistes tel que Le Capital).

COURS : La naissance d’une France nouvelle (1789-1792) Conçue comme préambule de la future Constitution, cette déclaration pose les principes d’un nouvel ordre politique et social. « Article 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. […] Art. 2. Art. 3. Art. 6. Art. 7. Art. 10. Art. 11. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 26 août 1789. Que reste-t-il du refuge de Victor Hugo à Guernesey ? Cet article date de plus de trois ans. Publié le 04/04/2019 22:17 Mis à jour le 04/04/2019 22:44 Durée de la vidéo : 3 min. Article rédigé par Dimanche 7 avril, la maison de Victor Hugo à Guernesey (Royaume-Uni) rouvrira ses portes au public. Hauteville House, sur l'île de Guernesey (Royaume-Uni), est la maison où Victor Hugo a vécu quinze ans en exil. Il aimait dire qu'un mois de travail à Guernesey était un an de travail à Paris. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager :

Discours du ministre des Colonies sur les avantages stratégiques de l'empire Contexte historique Au début de l'année 1940, alors que la France se trouvait en pleine "drôle de guerre" plusieurs mois après la déclaration de la guerre face à l'Allemagne (septembre 1939), une grande campagne d'affichage était organisée par le gouvernement Daladier pour encourager la souscription aux bons d'armements et convaincre les Français de la certitude de la victoire de la France dans ce nouveau conflit. Les affiches, montrant une carte du monde avec l'ensemble des possessions françaises sur tous les continents, portaient le slogan suivant : "nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts". Le message était très clair : la possession par la France d'un important empire colonial, le second en importance après celui de la Grande-Bretagne, lui conférait un avantage stratégique évident face à une Allemagne totalement dépourvue de possessions coloniales. Éclairage média

Quand Séville organisait la première mondialisation Le travail forcé a duré jusqu'en 1946 dans l'Afrique coloniale française - Kassataya Mauritanie Le développement des colonies françaises est fréquemment passé par le travail forcé, dans des conditions qui ont entraîné la mort de milliers de travailleurs. Comme sur le chantier du train Congo-Océan. « Dix-sept mille morts, sous les coups de la meute hystérique des contremaîtres européens et de leurs tirailleurs sénégalais, eux-mêmes exténués par les épidémies« , écrivait Albert Londres dans son livre Terre d’Ebène paru en 1929 sur l’Afrique coloniale, et notamment sur le travail forcé utilisé pour la construction du train Congo-Océan. Dans les années 20, le journaliste Albert Londres n’est pas le seul à le dénoncer. La construction de ce train Congo-Océan, dont on dit qu’il coûta la vie à un travailleur par traverse, est le symbole de l’emploi d’une main d’œuvre gratuite, réquisitionnée dans le cadre du travail forcé, autorisé dans les colonies. Le train est construit de 1921 à 1934. Loi du 11 avril 1946 interdisant le « travail forcé » dans les territoires d’outre mer. Pierre Magnan

Related: