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Yi Jing

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Yi Jing est souvent représenté par le Taijitu entouré des trigrammes Le Yi Jing (sinogrammes 易经simpl./易經trad., pinyin yì jīng, Wade-Giles i4 ching1, également orthographié Yi King ou Yi-King), prononcé en français i ting est un manuel chinois dont le titre peut se traduire par « Classique des changements » ou « Traité canonique des mutations ». Son élaboration date du premier millénaire avant l'ère chrétienne, époque des Zhou (-1027,-256 av JC). Le Yi Jing est le fruit d'une recherche spéculative et cosmogonique élaborée, dont les articulations ont informé durablement la pensée chinoise. « Le Yi-King ou Livre des transformations de l'archaïque magie chinoise apporte l'image la plus exemplaire de l'identité du Génésique et du Génétique. — Edgar Morin, La Méthode 1. Origine selon la tradition[modifier | modifier le code] L'origine du Yi Jing est censée provenir de l'observation de la nature. Date et auteurs[modifier | modifier le code]

Le Livre des médiums Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le livre des médiums constitue l’un des cinq livres fondamentaux du spiritisme. Il est le résultat du travail de synthèse d’Allan Kardec, qui le mis en forme et le publia pour la première fois à Paris, en janvier 1861. L’historique du livre[modifier | modifier le code] Allan Kardec En 1857, Allan Kardec avait codifié les grands principes d’une nouvelle doctrine morale et philosophique, le spiritisme. Le contenu du livre[modifier | modifier le code] Première partie : notions préliminaires 1) Y a-t-il des esprits ? Seconde partie : des manifestations spirites Les principaux thèmes du livre[3][modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Textes classiques[modifier | modifier le code] Kardec, Allan, Le Livre des Médiums (1861) Lien externe[modifier | modifier le code] Texte intégral : Le livre des médiums sur Internet. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la spiritualité

Wolfgang Pauli Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Wolfgang Paul, physicien connu pour le développement de la technique de capture d'ions. Wolfgang Ernst Pauli Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] À partir de 1919, il commence ses études de physique à l'université de Munich avec pour professeur Arnold Sommerfeld. En 1921, il obtient son doctorat avec pour sujet l'atome d'hydrogène avec mention summa cum laude. Carrière scientifique[modifier | modifier le code] Pendant les années 1922 et 1923, il travailla aux côtés de Niels Bohr à Copenhague. À partir de 1935, il est parti pour les États-Unis, où il occupe des postes de professeur invité, notamment à l'Institute for Advanced Study à Princeton durant les années 1935-1936, mais aussi à l'Université du Michigan, en 1931 et 1941, et l'Université Purdue, en 1942. Il est devenu membre étranger de la Royal Society le 23 avril 1953. .

Le Livre des Esprits Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] En 1847, aux États-Unis, la singulière aventure des sœurs Fox remit à la mode une croyance ancestrale, celle de la communication avec les défunts. Auteurs[modifier | modifier le code] Allan Kardec ne se présente pas comme l'auteur du livre, mais comme celui qui l'a mis en forme : « Les principes contenus dans ce livre résultent soit des réponses faites par les Esprits aux questions directes qui leur ont été proposées à diverses époques et par l'entremise d'un grand nombre de médiums, soit des instructions données par eux spontanément à nous, ou à d'autres personnes sur les matières qu'il renferme. »[3] Parmi les Esprits cités comme auteurs de ce livres, les noms suivants sont mentionnés par Kardec : Saint Jean l'évangéliste, Saint Augustin, Saint Vincent de Paul, Saint Louis, L'Esprit de vérité, Socrate, Platon, Fénelon, Franklin ou encore Swedenborg. Chapitres[modifier | modifier le code]

Hanina ben Dossa Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rabbi Hanina ben Dossa (hébreu רבי חנינא בן דוסא) était un maître de la Mishna de la première génération, disciple puis collègue de Yohanan ben Zakkaï[1], principalement connu pour ses mœurs vertueuses, sa piété et surtout pour la légende qui l'entoure, le Talmud décrivant sa vie comme une « suite de miracles[2] » et lui-même comme le « dernier faiseur de miracles » en Israël[3]. Il vécut au Ier siècle. Une vie miraculeuse[modifier | modifier le code] Il fonde une école, étant souvent mentionné avec ses disciples[7]. Le mérite et la réputation de Hanina s'étendirent à son entourage: bien après la mort de sa femme, des marins aperçoivent un panier ouvragé orné de diamants et de perles. Éloge de la vertu[modifier | modifier le code] Hanina semble peu incommodé par la pauvreté, d'autant que celle-ci n'empêche pas les miracles. Sa femme lui demande plus tard de pouvoir tout de même recevoir en ce monde une part du monde futur.

Allan Kardec Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kardec. Allan Kardec Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Buste d'Allan Kardec. Léon Rivail est né à Lyon en 1804 dans une famille de juristes. Il devient interne au château d'Yverdon, sur le lac de Neuchâtel, chez le célèbre pédagogue Johann Heinrich Pestalozzi qui met alors en pratique les principes de l'« Émile » de Rousseau. Le pédagogue[modifier | modifier le code] Page de garde d'un ouvrage pédagogique d' Hippolyte Léon Denizard Rivail, 1828. Il est au début de sa vie un pédagogue disciple de Johann Heinrich Pestalozzi. En 1832, il épouse Amélie Boudet, une institutrice qui travaille avec lui dans son école et dans la poursuite de son œuvre pédagogique. En 1850, il tient diverses comptabilités dont celle de la « Baraque Lacaze », un théâtre appartenant au prestidigitateur Lacaze. Le spirite[modifier | modifier le code] Mémorial Allan Kardec, à Lyon. Selon Kardec : D.

Archétype (psychologie analytique) L'archétype est ce qui forme a priori l'expérience humaine, par la structure même du cerveau, et qui conditionne les schéma de pensée ou de représentation. L'archétype est pour la psychologie jungienne un processus psychique fondateur des cultures humaines car il exprime les modèles élémentaires de comportements et de représentations issus de l'expérience humaine à toutes les époques de l'histoire, en lien avec un autre concept jungien, celui d'inconscient collectif. Si Jung et ses continuateurs ont toujours évoqué l'archétype comme une hypothèse à propos de la structure profonde du psychisme, ils en ont cependant fait un pivot de la psychologie analytique très polémique, corollaire du concept également controversé d'inconscient collectif. Pourtant Jung n'est pas le premier à évoquer la possibilité d'existence d'« images primordiales » conditionnant l'imaginaire et la représentation ; avant lui en effet de nombreux philosophes en ont postulé l'influence sur la nature humaine. Henri F.

La neurochimie du cerveau et les états altérés de la conscience La neurochimie du cerveau et les états altérés de conscience Une réflexion sur les compte-rendus d'enlèvements par Alain H. Introduction Si l'on désignait un siècle par rapport aux percées scientifiques majeures qui ont eu lieu au cours de son passage, le 20 ème siècle serait sans aucun doute celui de la neurochimie du cerveau. Le fait de démêler les mécanismes qui sous-tendent l'emmagasinage et le rappel des données perçues (la mémoire), ou l'information liée à la perception de notre monde par le biais de nos sens, est une approche qui pourrait avoir des répercussions profondes sur nous-mêmes et – très vraisemblablement – sur l'essence de l'être humain. Toutefois, quel est le rapport entre ce problème et la question des OVNIs? Comme nous l’avons mentionné plus haut, ce texte ne vise pas à donner une explication sur les témoignages d’enlèvements et les " rencontres E.T. " qui s’y rapportent, ni, non plus, de remettre en cause la sincérité des témoins non plus. 2. Alain H. Yves (équipe SCI)

Individuation (psychologie analytique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « le mandala exprime le centre. Il est l'expression de tous les cheminements ; il est sente qui mène vers le milieux, vers l'individuation »[1]. L'individuation est un concept-clé de la psychologie analytique du psychiatre suisse Carl Gustav Jung. « J'emploie l'expression d'individuation pour désigner le processus par lequel un être devient un in-dividu psychologique, c'est-à-dire une unité autonome et indivisible, une totalité[3] » Mais cette courte définition, qui n'a pas toujours été, ne suffit pas à rendre totalement compte du concept d'individuation dans la théorie jungienne qui peut être exploré en fonction de ce qui fait débat, de l'histoire de sa création, de sa nature ou de son fonctionnement. Ce concept connait au sein des sciences de l'homme, souvent des débats, et ce depuis sa création. Par exemple, au sein de l’anthropologie, l’anthropologue Wiktor Stoczkowski : Plus loin, encore, dans l'ouvrage Wiktor Stoczkowski conclut : « (...)

QUI SOMMES NOUS ? Il est facile d’écrire et de parler, tant que personne ne peut prouver le contraire de ce que l’ont dit, on peut donc dire ce que l’on veut et prétendre qu’on est les meilleurs. J’ai lu des tas de fiches dans lesquelles le prétendant se présente comme le plus grand mage ou sorcier de tous les temps ! Mais est-ce vraiment le cas ? Je vous laisse juger par vous-même et soyez convaincus mes amis, que la vérité n’est pas aussi simple qu’on le pense. Néanmoins le dossier « Qui sommes nous ? », que l’on peut trouver dans n’importe quel site de n’importe quelle nature, est d’une importance à ne pas sous-estimer, le webmestre doit se présenté à ses lecteurs, il lui faut aussi s’identifié et précisé son bagage culturel et universitaire pour prouver la fiabilité de son travail. Je suis en deux mots un professeur de théologie et un érudit des sciences occultes.

Contradiction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une contradiction existe lorsque deux phénomènes scientifiques, affirmations, idées, ou actions s'excluent mutuellement. Principe de contradiction[modifier | modifier le code] Le « principe de contradiction » est la loi qui veut qu’on ne peut affirmer et nier simultanément le même terme ou la même proposition : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose »[1]. Assurément, une chose peut être blanche aujourd’hui ou d’une autre couleur demain. De même, cette chose est plus grande ou plus petite qu’une autre à un moment donné. Logique formelle[modifier | modifier le code] En logique formelle (c. A ; prémissenon A ; prémisse contradictoire avec Anon A ⇒ (non A ou B)non A ⇒ (A ⇒ B)A ⇒ B ; car non A est un prémisseB ; car A est un prémisse C'est l'explosion logique. Dialectique et science[modifier | modifier le code] Langue courante[modifier | modifier le code]

TAROT : sens & symboles des arcanes majeures Le terme "BATELEUR désigne un comédien, un illusionniste ou, en péjoratif, un charlatan. L'arcane majeur le Bateleur, du Tarot, fait partie de la famille des personnalités. Le Bateleur en est une figure plutôt introvertie et sensible. Le chiffre "1" est principe de toute chose, non manifesté encore. "1" indique la présence du nécessaire, d’un potentiel, pour s'émanciper. Le chiffre "1" est encore neutre sur le plan vibratoire. Le personnage porte un chapeau en forme de lemniscate. De la main gauche (sensible et intuitive), il tient un bâton... Autres arcanes où apparaît un bâton : l’IMPÉRATRICE et l’EMPEREUR tiennent un sceptre. Le MAT et L’HERMITE tiennent un bâton comme une canne. Les « Bâtons » sont nés de la Terre, mais représentent l’élément Feu, comme c’est le cas pour la suite des arcanes mineurs des « Bâtons ». Sur la table du Bateleur reposent : - une sorte de sac ou de panier - ce qui paraît être une corde, ou un serpent, sort du panier - trois pièces (ou deniers)

conflictuel Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin conflictus (comme conflit, mais avec le « c » conservé), avec le suffixe -el. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] conflictuel /kɔ̃.flik.tɥɛl/ Qui relève du conflit, qui peut causer un conflit. Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] → voir conflit Traductions[modifier | modifier le wikicode]

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