Acta de décès en Allemagne ? Ça commence à sentir le roussi politique pour Acta , le Traité international de lutte contre la contrefaçon signé le 26 janvier à Tokyo et depuis critiqué de toute part, autant pour l'opacité des négociations, savamment tenues loin des parlements que pour les menaces qu'il ferait peser sur la liberté d'expression en ligne ou les médicaments génériques. De nombreuses manifestations pour demander le retrait du texte sont prévues demain en Europe et dans le monde. Aujourd'hui, c'est l'Allemagne qui a suspendu le processus de ratification du traité par son parlement. Négocié entre 22 pays de l'Union européenne (dont la France, mais pas l'Allemagne) et les représentants de l'UE elle-même, les États-Unis, le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, Singapour, la Corée du Sud, le Maroc, le Mexique et la Suisse, Acta vise à lutter contre la contrefaçon au sens large, depuis les médicaments et autres marchandises, jusqu'au téléchargement illégal sur Internet. (Source AFP)
StoppACTA Protection des données : les avocats à la peine Selon une étude réalisée par PwC et Iron Mountain, quatre cabinets d’avocats sur dix ignoreraient qui accède réellement à leurs données confidentielles. Le risque de fuite d’informations sensibles serait d’autant plus grand que, pour une grande majorité, ces cabinets ne vérifient pas si leurs salariés respectent des mesures de sécurité adaptées. PwC a interviewé les dirigeants de 600 PME en Europe pour développer un « Index Européen des Risques liés aux Informations ». Plus de la moitié des répondants (56 %) avaient mis en place une stratégie de gestion des risques liés aux informations mais admettaient n'avoir pas vérifié son efficacité. 59 % d’entre eux avaient affecté cette gestion des risques à une personne ou une équipe spécifique mais n’en avaient pas évalué la performance. « L’Indice Européen des Risques liés aux Informations » fournit un guide à destination des entreprises.
Eva Joly appelle les citoyens européens à faire barrage à ACTA Un article de , l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Joly. Eva Joly, née Gro Eva Farseth[1] le 5 décembre 1943 à Oslo, en Norvège, est une magistrate française, de nationalités française et norvégienne, devenue femme politique en France. Elle se fait connaître dans les années 1990 en instruisant des dossiers politico-financiers médiatisés, tels que des affaires concernant Bernard Tapie et l'entreprise Elf. En 2009, elle est élue députée européenne dans la circonscription Île-de-France, sur la liste Europe Écologie. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Gro Eva Farseth naît le 5 décembre 1943 à Motzfeldts gate (rue Motzfeldt), dans un quartier modeste d'Oslo[2], d'une famille issue de l'agriculture. Elle passe une partie de son enfance dans le quartier ouvrier de Grünerløkka (blanchisseries, boulangeries, meuneries, fabriques de voiles pour bateaux…), à Oslo, et en fréquente les écoles. Films[modifier | modifier le code]
ACTA: The new threat to the net 692,547 have signed. Help us get to our new target of 3,000,000 Update: 7 July 2012 VICTORY! Read more about the ACTA victory here. Update: 13 April 2012 GREAT NEWS! Update: 10 February 2012 Amazing! Posted: 25 January 2012 Last week, 3 million of us beat back America's attack on our Internet! ACTA - a global treaty - could allow corporations to censor the Internet. Europe is deciding right now whether to ratify ACTA -- and without them, this global attack on Internet freedom will collapse.
Association EMDR France : Qu’est-ce que la thérapie EMDR ? La thérapie EMDR est une nouvelle approche de psychothérapie qui utilise la stimulation sensorielle des deux côtés du corps, soit par le mouvement des yeux soit par des stimuli auditifs ou cutanés, pour induire une résolution rapide des symptômes liés à des événements du passé. Cette thérapie poursuit le mouvement de recherche clinique et de soins inaugurés par la psychanalyse, la thérapie cognitive comportementale, les traitements par exposition, la médecine humaniste, les thérapies systémiques et les psychothérapies brèves centrées sur la personne. La thérapie EMDR a été créée à la fin des années 80 dans la Baie de San Francisco. En moins de 10 ans, elle est devenue un des modes de traitement psychothérapeutique du PTSD (ou ESPT : État de Stress Post-Traumatique) ayant donné lieu au plus grand nombre d’études cliniques. Reportage télévisuel
Une pétition contre l'ACTA réunit plus de 1,25 million de signatures Mise à jour 2 - La pétition contre l'ACTA lancée sur le site Avaaz continue d'engranger des milliers de soutiens. Elle a dépassé depuis longtemps le cap du million de signataires, avec un peu plus de 1,25 million de signatures à l'heure où nous écrivons ces lignes. Mise à jour - Le site Avaaz se fait également l'écho d'une pétition qui affiche à l'heure où nous écrivons ces lignes plus de 566 000 signatures. "Nous, citoyens du monde, vous appelons à défendre un Internet libre et ouvert et à refuser de ratifier l'Accord Commercial Anti-Contrefaçon (ACTA) qui l'anéantirait" écrit le site. "Internet est un outil essentiel aux peuples du monde entier pour échanger des idées et promouvoir la démocratie. Sujet du 24 janvier - Les Américains parviendront-ils à réitérer avec l'ACTA ce qu'ils ont réussi à réaliser avec les projets de loi anti-piratage SOPA (Stop Online Piracy Act) et PIPA (Protect IP Act) ? À l'heure où nous écrivons ces lignes, la pétition a déjà récolté 18 519 signatures.
52011PC0380 1. L’ACAC a pour objectif d’établir un cadre international complet qui soutiendra l’UE dans ses efforts pour lutter efficacement contre la violation des droits de propriété intellectuelle (DPI). Cette violation mine le commerce légitime et la compétitivité de l’UE, ce qui entraîne des conséquences négatives sur la croissance et l’emploi. L’ACAC prévoit des dispositions d’avant-garde pour faire respecter les DPI, notamment des dispositions en matière civile et pénale, et des mesures applicables aux frontières et dans l’environnement numérique; il prévoit également des mécanismes de coopération solides entre les parties à l’accord, visant à soutenir leurs efforts pour faire respecter les droits de propriété intellectuelle, ainsi que l’établissement de pratiques exemplaires pour une application efficace de ces droits. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Proposition de vu la proposition de la Commission européenne, vu l’approbation du Parlement européen[1], considérant ce qui suit: Article premier Article 2 1. 2.