26/11/17 - Test des implants par la US army, problèmes d'éthique ? The US military's Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) is working on an experimental treatment for soldiers with PTSD involving AI-controlled brain implants. The implants are designed to treat mood disorders and have been tested previously on humans, according to reports. The goal is to impact the rising number of suicides of US veterans. The implants are designed to use artificial intelligence (AI) to monitor for patterns associated with mood disturbances. Ethical concerns raised are considerable, however. Dr. “Direct neurostimulation by deep brain implants is a potentially useful means for treating people with Parkinson’s disease,” “But as Jens Clausen’s coverage of the neuroethics of deep brain stimulation shows, it has numerous unwanted side-effects: speech disturbance, memory impairment, increased aggression, hypomania, depression and suicide. Thoughts on the above story?
Des bras bioniques de plus en plus performants VIDÉO - La prothèse de bras la plus agile qui soit vient d'obtenir son autorisation de mise sur le marché aux États-Unis. Quelle personne amputée du bras n'a pas rêvé, en regardant La guerre des étoiles, de récupérer comme Luke Skywalker une main bionique qui lui permette de se battre agilement au sabre laser ou de piloter des vaisseaux spatiaux? Et bien voilà que la réalité rattrape la fiction grâce au DEKA arm system, une prothèse myoélectrique ultraperformante et baptisée «Luke» en référence au personnage. Cette innovation est le fruit d'ingénieurs américains travaillant pour la société DEKA située à Manchester (États-Unis). Le Darpa a été bien inspiré puisque la société a efficacement développé un bras extrêmement agile qui vient d'obtenir le feu vert de l'agence américaine du médicament, la Food and Drug Administration (FDA) pour une commercialisation aux États-Unis. Si cette prothèse est étonnante, son mode d'action n'a néanmoins rien d'exceptionnel.
Les prothèses oculaires Nous remercions les Laboratoires Villanova pour leur coopération et leur iconographie,ainsi que les patients qui ont donné leur accord. Les progrès de la chirurgie ophtalmologique actuelle entraînent de moins en moins "d'oeil perdu". Le nombre d'éviscération (on enlève l'intérieur de l'oeil et on ne garde que la sclére), d'énucléation (on enlève l'oeil) ou d'exentération (on enlève tout le contenu de l'orbite), diminue donc. Malgré tout il arrive que des accidents de la vie quotidienne aboutissent à la perte fonctionnelle de l'oeil : celui ne fonctionne plus et a souvent un aspect peu esthétique. Le problème se pose aussi avec certaines maladies (herpès oculaire, uvéite grave, glaucome non traité...) Ce sera alors le rôle de l'oculariste d'équiper le patient avec une prothèse à but esthétique; celle-ci permettra une vie sociale normale et le patient ne sentira plus le regard de l'entourage sur cet oeil blanc et dévié qui ne lui sert plus à rien. et quelques liens... Quelques liens :
Œil bionique : une Canadienne reçoit l’implant Argus II L’ « œil bionique » Argus II fait ses preuves. Le dispositif a été implanté avec succès sur une Canadienne atteinte d'une maladie dégénérative. Il s’agit de la première Québécoise à se faire implanter cette prothèse oculaire, qui lui permet aujourd'hui de recouvrer une partie de sa vision et de voir, pour la première fois, son petit garçon, rapporte Radio Canada. Une centaine de patients dans le monde ont déjà reçu ces implants bioniques, intégralement remboursés par la Sécurité Sociale en France. Le système est relativement complexe. Celle-ci convertit les images vidéo en plusieurs séries de pulsations qui sont transmises sans fil à un faisceau d’électrodes placées à la surface de la rétine. Source : Second Sight Distinguer les contours Sans redonner une vue parfaite, l'« œil bionique » permet donc aux patients de distinguer les contours et de reconnaître les formes. Développé depuis le début des années 2000, Argus II est conçu spécifiquement pour les cas de rétinopathie pigmentaire.
01/12/17 - l'armée a commencé à tester des implants cérébraux Dernièrement, une branche de l’armée américaine a mis au point une micro puce capable d’interagir avec les activités neuronales. Désormais, la technologie est opérationnelle grâce à l’Agence de développement de la recherche avancée de la défense (DARPA). Des essais sur l’homme ont récemment été effectués par les chercheurs de l’université californienne et du MGH (Massachusetts General Hospital). L’efficacité du dispositif a remporté un franc succès. Surnommée la puce de « contrôle de l’esprit », cet appareil est capable de lire et de transmettre des informations qui concernent l’activité du cerveau. Pour la médecine, la technique est une percée sans précédente. Une IA qui contrôle le cerveau La DARPA a conçu un type d’implant électronique doté d’une Intelligence Artificielle. Via un mécanisme appelé « stimulation cérébrale profonde », la puce envoie des micros-décharges sur des zones précises du cerveau. Une fusion entre l’homme et la machine
Un projet de prothèses pas comme les autres Fraîchement diplômé de son école de design, William Root a élaboré un projet qui pourrait révolutionner la fabrication de prothèses de jambes. Selon lui, les prothèses actuelles souffrent de plusieurs défauts : trop lourdes, d'apparence trop mécanique et encore trop chères. Parfois même, certains modèles voulant maladroitement imiter la couleur de la peau provoque un effet de rejet visuel, d'où peut émerger une acceptation difficile du porteur. Les éléments recréés 1 à 1 Dans son projet baptisé Exo Prothestic Leg, le jeune designer industriel apporte une réponse à chacune de ces problématiques. Scan d'une jambe avec la technologie FitSocket développée par le MIT SCAN. Prothèse complète - William Root A l'état de projet Techniquement réalisables, ces prothèses sont pourtant à l'état de projet et pourraient le rester.
De l'homme réparé à l'homme augmenté | Futuremag Une prothèse bionique DIY Suite à un accident, Nicolas Huchet a été amputé de son avant-bras droit. Les prothèses performantes coûtent extrêment cher. Pour surmonter cette difficulté, il a décidé de fabriquer une prothèse tout seul, pièce par pièce et à bas coût. L'aide nécessaire, en plus des communautés sur le web, c'est dans un « Fablab » situé à Rennes qu'il l'a trouvée. Aller plus loin avec notre décryptage : "Prothèses bioniques, vers la fin du handicap ?" Les exosquelettes : lève-toi et (re)marche ! Connaissez-vous les exosquelettes ? Il existe deux types d'exosquelettes : les exosquelettes amplificateurs de force et les exosquelettes d'assistance. Au Japon, un exosquelette amplificateur de force a été développé par la société Active Link. Retrouvez l'ouïe grâce aux implants cochléaires Rendre l'ouïe aux personnes sourdes ne tient plus du miracle. Une rétine artificielle pour les aveugles Le tatouage électronique Le tatouage est à la mode ? Les lunettes connectés, plein les yeux !
Les différents types d’implants | Les yeux bioniques et la cécité L’oeil bionique se présente sous des types variés, mais tous similaires au niveau du fonctionnement: il existe d’un côté l’implant rétinien, c’est-à-dire qu’il est fixe sur la rétine. D’un autre côté il existe l’implant cortical. Ce dernier est fixé sur le cortex visuel et le stimule directement. L’implant épirétinal : Il s’agit d’un faisceau d’électrodes, situé sur la surface interne de la rétine, qui stimule directement les neurones ganglionnaires. Ce faisceau est stabilisé grâce aux punaises d’échelle microscopiques et grâce à la pression interne de l’œil induite par l’humeur aqueuse. L’implant épiretinal nécessite d’une caméra (d’habitude montée sur des lunettes). Electrode sur la rétine, appareil ARGUS II Ce système doit fournir des images en temps réel afin de d’éviter un délai de temps entre ce que perçoit la caméra et ce que reçoit la rétine. Les avancées scientifiques ont permis le développement de ces projets. video : Argus II L’implant cortical
24/11/17 - Des implants permettant de faire bouger a nouveau des muscles paralysés chez les soldats et a améliorer leur vue The stentrode (Photo: University of Melbourne/DARPA) Imagine if a matchstick-sized brain implant could circumvent damaged spinal cords and help paralyzed people become mobile — powered by their own thoughts. The futuristic technology, which involves a tiny device containing a tangle of electrodes, has been shown to successfully record neural activity in sheep. Next up, it will be tested on up to five volunteers possibly as soon as next September, according to Nick Opie, a biomedical engineer at the University of Melbourne and the Australian project’s chief technical officer. The so-called stentrode is designed to relay thoughts wirelessly to an external robotic device, such as an exoskeleton or prosthetic limb, to enable patient-directed brain control over movement and locomotion. (Related: Robotics Veteran Raises Venture Capital to Build Exoskeleton) “Our aim is to return mobility, independence and communication to some of these men and women,” Opie said. Stroke Procedure U.S.