Décomposition du prix de la baguette traditionnelle • 27/02/2011 à 15h06 • Catégorie: achats La conception de la baguette traditionnelle (mie blanche) obéit à des règles strictes quant à ses dimensions : 65 cm de longueur pour 5 à 6 cm de largeur avec un poids d’environ 250 grammes. 33.000 boulangeries se partagent le marché du pain en France dont la baguette demeure le produit par excellence le plus acheté (32 millions par jour). Le prix de la baguette reflète l’ensemble des matières premières pour la fabriquer mais aussi les charges et frais de personnel nécessaires à son élaboration. Décomposition du prix de la baguette traditionnelle (prix de vente 0,90 € environ) : - matières premières (sauf farine) : 8 % - loyer : 9% - farine : 11 % - dépenses énergétiques : 15 % - taxes et charges (impôts, leasing, assurances, amortissements, provisions…) : 20 % - frais de personnel : 30 % A cela se rajoute, une marge pour le commerçant (revenu) de 6 à 10 % (soit 5 à 8 centimes d’euros par baguette).
Le rôle de l'éco conception dans une démarche d'économie de fonctionnalité - Médiaterre Rhône-Alpes Dans le cadre du Club d'acteurs d'une économie de fonctionnalitéo Le 15 Novembre de 14 h à 18 h : Le rôle de l'éco conception dans une démarche d'économie de fonctionnalité avec la participation du pole Eco conception et Management du Cycle de Vie Depuis le début de l'année 2010 et à notre connaissance pour la première fois en France, le CIRIDD conduit une action collective visant à l'appropriation par les petites et moyennes organisations d'un modèle prometteur pour l'économie et la planète : l' économie de la fonctionnalité. Après une réunion de lancement en janvier et trois ateliers qui ont rassemblé près de 30 organisations, une réunion de synthèse a été organisée le 17 mai à Lyon afin de restituer publiquement le travail mené : cette action collective a permis de collecter de nombreux témoignages (Michelin Fleet Solutions, Elis, Alpes Auto Partage, Cienum, ...), l'éclairage de chercheurs et l'échange de pratiques entre les participants. Quand: 14:00 - 18:00, 15 Nov 2011 S'inscrire
Organiser une veille efficace : 5 outils indispensables - Marketing, Achat & Marketing À moins de surfer des heures chaque jour, le Web représente une telle manne, que traquer l'information dans ses méandres peut se révéler aussi inefficace que chronophage. D'où l'intérêt de cibler et de centraliser ses recherches par la mise en place d'une veille. Elle vous permettra de vous tenir informé en temps réel et de distinguer les informations utiles du flux continu qui circule sur le Internet. Organiser une veille efficace, c'est d'abord sélectionner les sources les plus pertinentes en fonction de vos besoins, de la qualité des contenus proposés et de la fréquence de diffusion. 1/ Pour créer des alertes : Google Alertes ou Mention La création d'alertes reste l'un des moyens les plus pratiques pour automatiser sa veille. Parmi les alternatives à Google Alertes, on trouve Mention. Google Alertes : : 2/ Pour rassembler les contenus : Netvibes 3/ Pour surveiller votre marque : Favebot
Vers une Economie des Usages Depuis le début de l'année 2010 et à notre connaissance pour la première fois en France, le CIRIDD conduit, avec le soutien du Conseil Général de la Loire, une action collective visant à l'appropriation par les petites et moyennes organisations d'un modèle prometteur pour l'économie et la planète : l' économie de la fonctionnalité. Après une réunion de lancement en janvier et trois ateliers qui ont rassemblé près de 30 organisations, une réunion de synthèse a été organisée le 17 mai à Lyon afin de restituer publiquement le travail mené : cette action collective a permis de collecter de nombreux témoignages (Michelin Fleet Solutions, Elis, Alpes Auto Partage, Cienum, ...), l'éclairage de chercheurs et l'échange de pratiques entre les participants. Il en ressort de nombreux enseignements et des pistes concrètes de solutions permettant de faire intégrer aux petites et moyennes entreprises et organisations les intérêts du passage progressif à une économie de fonctionnalité.
Vendre moins : la stratégie de survie de Patagonia ! Patagonia, la marque de sportwear, encourage désormais ses clients à réduire le nombre de leurs vêtements, à les réparer, ou à les recycler plutôt qu'à en acheter de nouveaux, rapporte le magazine américain Fast Company. Une initiative pour le moins surprenante. C'est un peu comme si les dirigeants de Patagonia disaient à leurs clients : achetez moins nos produits! On imagine aisément les prochains comités de direction de la société californienne. Son N+1 (chef, NDLR): "Well done, George, n'oubliez pas la petite prime pour vos équipes. On n'en est évidemment pas là et on a tort de se moquer car si Patagonia lance ce genre d'initiative, c'est surtout pour le bien de la planète, le fonds de commerce de cette entreprise connue pour ses initiatives en faveur de l'environnement. " Ca a l'air bizarre mais notre objectif n'est pas tant de fidéliser nos clients que d'apporter une réponse à la surconsommation. De fait, plus de planète, plus de consommateurs, et plus de croissance possible...
Partager l’usage des objets et produire moins de déchets Partager sa voiture, sa perceuse, ses vêtements, ses petits plats, son bureau ou son canapé : les sites internet communautaires [1] apparus ces dernières années pour favoriser les échanges entre particuliers connaissent un succès grandissant. Les pratiques en elles-mêmes ne sont pas nouvelles, mais alors qu’elles étaient habituellement cantonnées à l’entourage, elles sont désormais applicables à plus grande échelle puisque les outils technologiques permettent d’entrer en contact avec des inconnus. Un changement du rapport à l’objet Ces nouveaux services de partage mettent en œuvre le principe d’économie de fonctionnalité, qui consiste à proposer la vente d’un service (l’usage d’un bien) plutôt que la vente du bien matériel lui-même. Optimiser l’utilisation, pour économiser les ressources Vers une demande de produits plus durables Les principes de l’économie de fonctionnalité favorisent une conception des produits aux antipodes des stratégies d’obsolescence programmée. Contact :
Les Groupes Freecycle en France Changing Models of Ownership: Part I Claro Partners' project Changing Models of Ownership and Value Exchange sought to understand how the concept of ownership and its transfer have changed – and are changing – in recent years. This is one of three short articles which Shareable will publish this month, featuring content from Claro's latest work. From cars to CDs, houses to handbags, people are no longer aspiring to own. Through global research conducted as part of an investigation into the concept of ownership, Claro Partners was able to draw some conclusions about why it’s more appealing to have a car only when you need to move from A to B. Ownership becomes a burden In societies saturated by hyper-consumption, the joy of acquiring, of holding the new object in your hands and knowing with satisfaction that it’s yours, is familiar. Equally, this environment encourages new systems to grow organically from the bottom up, naturally streamlined and designed to be resilient from the start. Is digital ownership an oxymoron?
Économie de fonctionnalité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’économie de fonctionnalité est une forme d’économie collaborative qui vise à substituer à la vente d’un bien la vente d’un service ou d’une solution intégrée remplissant les mêmes fonctions que le bien, voire des fonctions élargies, tout en consommant moins de ressources et d’énergie et en créant des externalités environnementales et sociales positives. Sous certaines conditions, il s'agit donc d'une modalité d'échange revisitée permettant d'intégrer de manière bien plus satisfaisante les enjeux du développement durable à l'activité économique (production et consommation) C’est la recherche normative de gains environnementaux et/ou sociaux qui distingue l’économie de la fonctionnalité de la servicisation (économie des services) classique[1]. Les trajectoires d'évolution vers l'économie de la fonctionnalité[modifier | modifier le code] Elles semblent répondre à deux tendances ; le « modèle serviciel », et la « solution intégrée » ;
Economie de fonctionnalité: concilier les inconciliables La crise écologique est de plus en plus prise en charge par la pensée économique, mais également par les entreprises elles-mêmes. Cette prise de conscience s’est intensifiée en gagnant en visibilité avec des événements tels que le Grenelle de l’Environnement. Différentes approches émergent pour tenter de diminuer les impacts environnementaux de la production et de la consommation de biens manufacturés. Le développement des technologies vertes est la solution avancée le plus souvent pour limiter l’empreinte énergétique laissée par les sociétés industrielles. D’autres approches cherchent à intégrer les problématiques économiques, sociales, et environnementales. Autre approche, l’économie collaborative, ou économie du partage, promeut une vision distribuée, en peer-to-peer, de l’économie. Dans une perspective proche, l’économie de fonctionnalité consiste à vendre l’accès aux fonctions d’un bien, plutôt que le bien lui-même. Une station Autolib à Paris Le modèle Xerox