Des bosses et des bulles Grégoire Millet : « Kilian Jornet? Le profil idéal de l’ultra-traileur » Grégoire Millet au Tor des Géants en 2012 En 2012, il se classe deuxième du Tor des Géants après avoir dominé une partie de la course. Au terme de 330 km et 24 000 m de dénivelé positif, il est devancé par Oscar Perez tandis que Christophe Le Saux ne parviendra pas à le suivre. Professeur et directeur de l’Institut des sciences du sport de l’Université de Lausanne et coordinateur de l’équipe suisse de la Recherche scientifique du Tor Des Géants, il a bouclé son parcours en 78h50mn03s. Ancien triathlète professionnel, entraîneur national de l’Equipe de France puis de Grande-Bretagne de triathlon (il en fut le team manager lors des JO de Sydney), il est aujourd’hui physiologiste de l’exercice et spécialisé dans les réponses métaboliques à l’entraînement sportif. En 2010, lorsque son frère Guillaume, chercheur lui aussi et professeur de physiologie de l’exercice et sportif, s’inscrit sur la première édition du Tor des Géants. Kilian Jornet pourra donc être battu ? Sa bibliographie
Summits Of My life - Kilian Jornet Burgada Partie I: le Mont Blanc d’est en ouest à skis 16 juin 2012 Le calendrier indique le 16 mai et la montre précise qu’il est une heure du matin. Nous essaierons aujourd’hui de faire une route qui nous permettra de traverser la cordillère du Mont Blanc d’est en ouest à skis, de Champex jusqu’à Contamines. C’est la première fois que quelqu’un essaie de le faire. Nous sommes arrivés à la cime du Dôme de Miage à 4h30 et nous voyons que la face nord est blanche. Stéphane commence à descendre de l’arête, la neige à l’air bonne. Nous atteignons finalement le refuge de Duri, où commence la partie la plus technique de la traversée. Pendant la montée vers le Dôme du Goûter, un vent fort commence à souffler en provenance d’Italie, nous faisant ainsi oublier les températures élevées et fait place au froid qui rattrape nos corps. Après seulement quelques instants d’arrêt, nous entamons la descente vers le Mont Maudit. Au Col du Midi, nous ressentons vivement la chaleur. 17 juin 2012
Mizuno dessine sur une page blanche ses nouvelles chaussures de Trail … | Track & News Hier matin dans les sous-bois de Meudon, Mizuno avait rassemblé la presse spécialisée running pour dévoiler ses nouveaux modèles Trail … Le bouleversement est total : on oublie complètement les Cabrakan, Ascend et autre Harrier … pour découvrir ce matin 4 nouveaux modèles complètement pensés pour le Trail Running … C’est vraiment très fort et personnellement je n’ai jamais vu une marque oser ainsi repartir d’une page blanche pour revisiter toute une gamme. Cela voudrait-il dire que les anciens modèles étaient vraiment mauvais ? Nous avons donc ce matin découvert les nouveaux concepts embarqués dans ces nouveaux produits. Les concepts … Donc « Révolution » et pas « Évolution » … fini le « wave » issu de la route et modifié à la sauce Trail … Voici les 3 évolutions majeures … Midfoot Groove : il permet une meilleure adaptation au terrain et ceci sur toutes surfaces. Ensuite pour parachever cette avalanche de nouveautés d’autres innovations de la marque sont intégrées à ces nouveaux modèles :
U-trail MIZUNO reprend le trail à zéro Il est rare qu’une marque fasse soudainement table rase du passé pour lancer une nouvelle gamme complète. C’est pourtant ce que s’apprête à faire Mizuno avec ses modèles trails. Un pari risqué qui a le mérite de l’audace… Si vous, trailer patenté, aimiez l’ASCEND, l’HARRIER ou la CABRAKAN de MIZUNO, un conseil : dépêchez-vous d’aller acheter les dernières paires qui restent en magasin car début juillet, ces trois modèles disparaîtront du catalogue de la marque familiale japonaise pour faire place nette à quatre (pour le moment) petits nouveaux constituant l’amorce d’une gamme entièrement repensée et reconçue. > Le trail, vu du Japon… L’explosion du marché du trail a d’abord été, cocorico, une spécificité française avant d’être partie-européenne puis américaine. Autre paramètre important à prendre en compte, MIZUNO ne se positionne pas comme spécialiste du trail de montagne à l’instar d’un Salomon ou d’un La Sportiva, mais plutôt comme un généraliste pointu de l’outdoor performant.
XT4 et RACE : Kalenji au top (ou presque) du Trail Deux excellentes chaussures de trail à moins de 80 Euros : c’est chez KALENJI (évidemment) que ça se passe ! XT4 et Race ont brillamment passé le test de Runners.fr. Preuve que la qualité ne rime pas forcément avec des prix sans cesse corrigés à la hausse… Un jour, quelqu’un chez KALENJI a eu une idée qui s’est avérée géniale : faire appel à Thierry Breuil, triple champion de France de trail, pour aider la marque à concevoir ses nouvelles gammes de chaussures. Un nom et un palmarès associés à une marque, ce n’est pas une nouveauté et c’est souvent plus une sorte de vague caution sportive vis-à-vis du public qu’autre chose, sauf que dans le cas qui nous intéresse, il y a une véritable implication technique du sportif en question à tous les stades du processus de conception. > Kalenji Kapteren XT4 Deux profils de testeurs différents pour cette XT4 Neutral (Yann , coureur « lourd » et talonneur, moi-même, coureur léger et médio-pied) pour un avis peu ou prou identique.
Mizuno Wave Rider 17 : toujours au top Star incontestée de la gamme Mizuno, la Wave Rider a toutes les qualités – si l’on en croit l’équipementier japonais – que doit posséder une chaussure de running performante. Et si c’était vrai ? Mizuno est, certes, en train de bouleverser en profondeur sa gamme avec l’introduction de nouvelles chaussures telles que la Sayonara ou la prochaine Hitogami, mais s’il est un modèle historique qui ne craint rien quant à son avenir, c’est bien la Wave Rider. En témoigne cette 17e version que nous venons de tester. Référence de la gamme de l’équipementier japonais, la Wave Rider se présente comme une chaussure polyvalente à usage intensif destinée tant à l’entraînement qu’à la compétition du 5 km au marathon. Une polyvalence que nous avions pu apprécier lors de notre essai de la version 16, « l’équilibre idéal » écrivions-nous en conclusion. Profil du testeur : 76 kg, 2 à 4 entraînements par semaine, route et trail. > Sobre et confortable « Une chaussure … blanche ! > Souplesse et dynamisme
Polar M400 : Dans la course ! Quelques mois seulement après une mise sur le marché très réussie du modèle Multisport V800 (voir notre test), Polar nous livre une nouvelle montre GPS, baptisée M400 et destinée plus particulièrement aux coureurs… pour l’instant. La M400 bénéficie des mêmes interfaces que sa grandeur soeur, que ce soit sur la montre, sur le site internet Polar Flow ( ou sur l’application mobile (à jour uniquement pour iPhone ou iPad, Android prévu début 2015). Toutes les fonctionnalités de transfert, les facilités de réglage et de configuration des entraînements sont présentes. Découverte du produit Dans la boîte d’emballage La montre M400, une ceinture cardio avec l’émetteur de fréquence cardiaque Polar H7, un connecteur USB et un guide démarrage rapide (en anglais). Fonctionnalités, capacité et autonomie Les fonctionnalités essentielles de la montre : Prise en main Les dimensions de la M400 rappellent celles de la V800, le poids est toutefois revu à la baisse (56g contre 80g).
Mizuno Wave Kazan | Trail Session Pour son premier test, notre rédacteur Mathieu Willers s’est évadé quelques instants dans son terrain de jeu normand afin de tester pour vous la nouvelle Mizuno Wave Kazan ! La marque Japonaise, continue à nous offrir de belles surprises avec sa nouvelle gamme Trail 2014 : La MIZUNO Wave Kazan qui au côté de la Wave Mujin et de la Wave Hayate, est la digne remplaçante de la Wave Ascend. Un nom et un look qui ne passent pas inaperçus. KAZAN signifie éruption volcanique en Japonais. jaune et orange, ce qui rappelle bien la lave volcanique.bleu et gris anthracite, pour symboliser la roche volcanique. Confort : En la chaussant pour la 1ère fois, on est tout de suite surpris par le confort du chausson . Test : C’est parti pour le test de la WaveKazan sur un parcours de 3H et une distance de 50km environ en Suisse normande avec un temps « boudillou, nom de d’là ! A la 1ère foulée, son confort et sa légèreté nous font pousser des ailes mais ne nous emballons pas, ce n’est que le début. e.
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