Blitzkrieg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Opération Barbarossa : les principes de mobilité et d'effet de surprise, qui caractérisaient jusqu'ici les engagements stratégiques de la Wehrmacht sous le terme de Blitzkrieg, semblent encore prévaloir pendant l'été et l'automne 1941. L'armée allemande apparaît encore invaincue ; le cours des choses va se corser pour elle dès l'hiver devant Moscou. Le Blitzkrieg (signifiant en allemand « guerre éclair ») est une stratégie offensive visant à emporter une victoire décisive par l'engagement localisé et limité dans le temps d'un puissant ensemble de forces mécanisées, terrestres et aériennes dans l'optique de frapper en profondeur la capacité militaire, économique ou politique de l'ennemi. Définitions historiques[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code] Perspective allemande[modifier | modifier le code] Avant même que la rupture soit complètement obtenue, la phase d'exploitation est engagée.
Normandie Mémoire - Espace historique de la bataille de Normandie La bataille de Normandie dura près de trois mois, c’est à dire beaucoup plus longtemps que ne l’avaient prévu les stratèges alliés. Si la bataille pour l’extension de la tête de pont est gagnée en une dizaine de jours, et le port de Cherbourg conquis de haute lutte fin juin, les difficultés commencent ensuite. Juillet est le mois le plus noir pour les Alliés. Britanniques et Canadiens sont tenus en respect devant Caen par les divisions blindées allemandes. La ville n’est entièrement libérée que le 19. Pendant ce temps, les Américains piétinent dans le Cotentin, pris au piège de la guerre des haies et éprouvent les pires difficultés pour enlever Saint-Lô le 18 juillet. Tout change fin juillet avec le succès de l’opération Cobra qui permet aux Américains d’enfoncer sans rémission les défenses ennemies et de déferler en direction de la Bretagne et de la Loire.
Les sites de mémoire en Normandie – La Seconde Guerre mondiale | Site officiel du tourisme en France En 2014, nous commémorerons le 70ème anniversaire de la Bataille de Normandie. De mars à août, des cérémonies et commémorations seront célébrées à travers la Normandie. Le 6 juin, date du Débarquement des Alliés, sera, bien évidemment, le point d’orgue de l’année. Aujourd’hui, il ne reste de cette période que les musées que l’on visite, les tombes sur lesquelles on se recueille, les livres qui nous renseigne, les films qui nous montre et les témoignages qui nous raconte. Et tout cela participe au devoir de mémoire. Pour ces hommes et femmes morts au nom de la liberté, il est de notre devoir de se souvenir, de ne pas oublier que notre monde n’a été, un jour, que désolation et désespoir. Juno Beach et son centre Horaires :Avril à fin septembre : de 9h30 à 19h Mars et octobre : de 10h à 18hFévrier, novembre et décembre : de 10h à 17hFermé le 25 décembreFermeture annuelle en janvierFermé le 5 et 6 juin 2014 PrixÀ partir de 7 euros À savoir Le mémorial du 19 août 1942 à Dieppe À savoir PrixGratuit
Bataille d'Angleterre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En ce qu'elle mit un terme à la série de victoires éclairs et éclatantes des Allemands, la bataille d'Angleterre (en anglais : Battle of Britain, juillet 1940-mai 1941) a marqué une étape décisive dans le cours de la Seconde Guerre mondiale[1]. Elle opposa les armées de l'Air du Royaume-Uni et de l'Allemagne, soutenue par l'Italie, dans une campagne aérienne marquée par les bombardements de Coventry et de Londres, souvent désignée par l'expression « le Blitz ». Le contexte historique[modifier | modifier le code] Le corps expéditionnaire britannique en France réussit pour une bonne part à échapper à l'anéantissement au cours de la bataille de Dunkerque (fin mai-début juin). Les forces en présence[modifier | modifier le code] La Royal Air Force et la Luftwaffe[modifier | modifier le code] Au début, environ 600 Hurricane et Spitfire font face à 2 500 avions allemands et en particulier à environ 1 200 Me 109 et Me 110.
Comité du Débarquement de Normandie Fondé le 22 mai 1945 par M. Raymond Triboulet, 1er Sous-Préfet de la France libérée, le Comité du Débarquement, siégeant à Bayeux, est une association régie par la loi de 1901 depuis le 11 janvier 1947. Dés sa création, le Comité s’est donné pour rôle "la commémoration, par tous les moyens, du débarquement de juin 1944" sur les plages normandes, notamment en développant le tourisme dans cette zone. Le Comité fut ainsi l’initiateur de l’organisation du tourisme de mémoire en Normandie. Elu député en novembre 1946, M.
ALBERT CAMUS Editorial de "Combat" (Texte) Le monde est ce qu'il est, c'est-à-dire peu de chose. C'est ce que chacun sait depuis hier grâce au formidable concert que la radio, les journaux et les agences d'information viennent de déclencher au sujet de la bombe atomique. On nous apprend, en effet, au milieu d'une foule de commentaires enthousiastes que n'importe quelle ville d'importance moyenne peut être totalement rasée par une bombe de la grosseur d'un ballon de football. En attendant, il est permis de penser qu'il y a quelque indécence à célébrer ainsi une découverte, qui se met d'abord au service de la plus formidable rage de destruction dont l'homme ait fait preuve depuis des siècles. Les découvertes doivent être enregistrées, commentées selon ce qu'elles sont, annoncées au monde pour que l'homme ait une juste idée de son destin. Déjà, on ne respirait pas facilement dans un monde torturé. Au reste, il est d'autres raisons d'accueillir avec réserve le roman d'anticipation que les journaux nous proposent.
Plages du débarquement du Jour J : histoire et infos pratiques Actes de capitulation du Japon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rappel des évènements amenant la reddition[modifier | modifier le code] La cérémonie officielle[modifier | modifier le code] Le général Douglas MacArthur signe les actes de capitulation au nom des Puissances Alliées. Le ministre japonais des affaires étrangères Mamoru Shigemitsu signe les actes de capitulation au nom du gouvernement japonais. Le 15 août 1945, le Japon capitule. La signature des accords dura 23 minutes et fut diffusée à travers le monde. En tant que témoins, le lieutenant-général américain Jonathan Mayhew Wainwright IV, qui avait capitulé aux Philippines, et le lieutenant-général britannique Arthur Percival, qui avait capitulé à Singapour, reçurent deux des six stylos utilisés lors de la cérémonie. Après la signature de MacArthur en tant que commandant suprême, les représentants suivants signèrent les actes de capitulation au nom de chacune des Puissances Alliées : Drapeaux à la cérémonie[modifier | modifier le code]
La Démocratie en guerre : Les journaux canadiens et la Seconde Guerre mondiale Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le personnel du journal centenaire The Hamilton Spectator a tenu des archives monumentales sur la guerre. Cette collection de plus de 144 000 articles de journaux, découpés à la main, datés, puis classés par thèmes, regroupe des articles et des éditoriaux de journaux, la plupart canadiens, documentant tous les aspects de la guerre. Nous vous invitons à explorer la base de données à l'aide de la fonction de recherche de base ou de recherche détaillée, qui inclut une fonction de recherche par date. De brefs articles historiques sur les thèmes importants de la période 1939-1945, ainsi que des exemples de coupures de la collection complètent cette ressource impressionnante de nouvelles croquées "sur le vif." Un glossaire propose une définition aux termes techniques et des abréviations mis en évidence en rouge dans les articles historiques. Environ cinquante millions de personnes, combattants et civils, y ont laissé leur vie.
Conférence de Yalta Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt). Elle s'est tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia, situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta en Crimée. Elle a été préparée par la conférence de Malte du 31 janvier au 3 février, où les alliés se sont concertés pour présenter un front uni à Staline sur la planification de la campagne finale contre les troupes allemandes et japonaises et sur la limitation de la progression de l'Armée rouge en Europe centrale. adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale ;régler le sort de l’Europe après la défaite du Troisième Reich ;garantir la stabilité du nouvel ordre du monde après la victoire. Rapport des forces[modifier | modifier le code] Les accords[modifier | modifier le code]