Page Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nathalie Arthaud Nathalie Arthaud, en février 2012. Elle est également conseillère municipale chargée de la jeunesse à Vaulx-en-Velin[2], où elle a été élue sur une liste conduite par le Parti communiste français, à laquelle participaient également Initiative citoyenne et Les Alternatifs. Nathalie Arthaud, candidate au nom de Lutte ouvrière, obtient 0,56 % des voix à l'élection présidentielle de 2012. Biographie[modifier | modifier le code] Agrégée d'économie et de gestion[4], elle fut enseignante dans le lycée Albert Camus à Rillieux-la-Pape puis dans la région parisienne[5]. Parcours politique[modifier | modifier le code] Nathalie Arthaud occupe le poste de porte-parole d'Arlette Laguiller lors de l'élection présidentielle française de 2007. Lors de la conférence de presse qui suit le congrès annuel de Lutte ouvrière (LO), le , Nathalie Arthaud est officiellement désignée porte-parole nationale du parti[6]. Nathalie Arthaud, en mars 2012.
Debout La France Lutte ouvrière Le programme présidentiel de François Asselineau pour l'élection de 2017 Donner à la Justice les moyens humains et matériels de recouvrer sa dignité et son efficacité. Lancer un grand plan de rétablissement de la Justice sur cinq ans en deux étapes : - augmenter les effectifs réels des magistrats, greffiers et fonctionnaires des juridictions pour qu’ils correspondent aux effectifs théoriques actuels, par un effort exceptionnel de recrutement ouvert sur la société civile ; - augmenter raisonnablement le nombre de tribunaux d’instance et redéfinir leur champ de compétences pour améliorer les capacités de traitement des affaires de la vie courante. Étoffer et réorganiser en urgence les moyens en escorte judiciaire de l’administration pénitentiaire pour faire cesser les dysfonctionnements qui perturbent le cours de la justice pénale. Séparer le budget judiciaire et le budget pénitentiaire pour plus de transparence dans l’allocation des moyens. Réévaluer l’aide juridictionnelle et atténuer les effets de seuil.
Les acteurs principaux Qui sont les candidats pour la présidentielle 2017 ? Onze candidats ont obtenu les 500 parrainages nécessaires pour entrer dans la course à l’Elysée, a annoncé samedi le Conseil constitutionnel. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Service politique Ils seront donc onze sur la ligne de départ, un de plus qu’en 2012 lors de la précédente élection présidentielle. Les trois derniers candidats à entrer dans la course sont Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste) qui s’était inquiété de sa capacité à obtenir ses parrainages jusqu’aux derniers jours de collecte, Jacques Cheminade (Solidarité et progrès) et Jean Lassalle (Résistons). Lire aussi : Présidentielle : ce que nous apprend la course aux parrainages Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) La candidate de Lutte ouvrière (LO), Nathalie Arthaud, va vivre sa deuxième campagne présidentielle, après celle de 2012. François Asselineau (Union populaire républicaine) En 2007, il a fondé l’Union populaire républicaine (UPR), un mouvement souverainiste militant pour la sortie de l’Union européenne. M.
Nathalie Arthaud a ses 500 signatures, les petits candidats continuent de chercher Tout un symbole. Quasi-absente des médias et toujours inconnue du grand public, Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière, a été la première candidate à déposer ce mercredi midi ses 500 parrainages au Conseil constitutionnel. Une formalité qui, si les paraphes sont validés par les Sages, la qualifie pour le premier tour de l'élection majeure de la Ve République. Créditée pour l'heure de moins de 1% d'intentions de vote, Nathalie Arthaud mène depuis plusieurs mois une intense campagne de terrain, loin des grands médias nationaux. Nathalie Arthaud, candidate lutte ouvrière, au @Conseil_constit pour le dépôt de ses présentations (#parrainages)— Conseil constit (@Conseil_constit) Mars 7, 2012 Comme le veut la tradition du secret à LO, Nathalie Arthaud, professeur de 42 ans qui a la lourde charge de succéder à l'emblématique Arlette Laguiller, n'avait jusqu'alors jamais donné le nombre exact de parrainages dont elle disposait. Pour d'autres, les comptes sont plus difficiles.
Faute d’être invité sur TF1, Dupont-Aignan participe à « Touche pas à mon poste » Le candidat de Debout la France ne fait pas partie des cinq candidats qui vont débattre ce lundi soir. Pas de débat pour Nicolas Dupont-Aignan, mais un « talk-show » populaire. Le candidat de Debout la France (DLF), qui n’a pas été retenu pour participer au débat de TF1, est l’invité, lundi 20 mars, de l’émission « Touche pas à mon poste », sur C8. L’émission, présentée par Cyril Hanouna, enchaîne habituellement les sketches, les jeux et les débats mais ne reçoit pas d’hommes politiques. « Mais attention, on ne parlera pas de politique ! », a assuré l’équipe de l’émission sur son compte Twitter, « c’est juste que tous les malvenus chez les autres sont les bienvenus chez nous ! » Critiquée après des séquences jugées choquantes, humiliantes, sexistes et homophobes, l’émission fait l’objet d’une procédure de sanction par le Conseil supérieur de l’audiovisuel. Lire aussi : « Touche pas à mon poste ! Pas de débat pour lui sur Explicite non plus
Outre-mer : que proposent les onze candidats à la présidentielle ? Les outre-mer font irruption dans la campagne présidentielle. Alors que la grève générale a été lancée en Guyane, lundi 27 mars, tour d’horizon des propositions ultramarines des candidats à la présidentielle. François Fillon : augmenter les moyens François Fillon a consacré un chapitre de son programme à l’outre-mer. Sans entrer dans le détail, le candidat Les Républicains propose notamment d’« augmenter les moyens des forces de sécurité et ceux de l’autorité judiciaire et de construire des places de prison dans le cadre du programme national ». François Fillon veut également mettre en place « un plan massif de lutte contre l’illettrisme » et augmenter « de 50 % le nombre de places du service militaire adapté ». Benoît Hamon : un fonds pour l’égalité réelle Dans les écoles, il promet de limiter à vingt élèves les classes de CP, CE1 et CE2 et d’ouvrir « le droit à la scolarisation » dès l’âge de 2 ans dans les maternelles. Emmanuel Macron : des billets d’avion à prix aidés