Enquête sur les modes d'existence (AIME) Gradhiva Qu'est-ce que le virtuel? Pierre Lévy Table des matières Retour Un mouvement général de virtualisation affecte aujourd'hui non seulement l'information et la communication mais aussi bien les corps, le fonctionnement économique, les cadres collectifs de la sensibilité ou l'exercice de l'intelligence. Faut-il craindre une déréalisation générale ? Jamais, sans doute, le changement des techniques, de l'économie et des moeurs n'ont été si rapides et déstabilisants. Comme on le verra tout au long de ce livre, le virtuel, rigoureusement défini, n'a que peu d'affinité avec le faux, l'illusoire ou l'imaginaire. Nombre de philosophes - et non des moindres - ont déjà travaillé sur la notion de virtuel, y compris certains penseurs français contemporains comme Gilles Deleuze ou Michel Serres. Dans le premier chapitre, "Qu'est-ce que la virtualisation ?" Les trois chapitres suivants concernent la virtualisation du corps, du texte et de l'économie. Retour table des matières
Ethnographiques Accueil Ethnologie française Caractéristiques ISSN : 0046-2616 Directeur : Martine Segalen Suivi éditorial et secrétariat de rédaction : Sophie Gudin Périodicité : trimestrielle Prix au numéro : 22 € Année de création : 1971 Fondateur : Jean Cuisenier Présentation Fondée par Jean Cuisenier en 1971, Ethnologie française est depuis ses débuts le porte-parole de la recherche en train de se faire, comme le témoin des débats contemporains de l'anthropologie de la France, des pays francophones et depuis une quinzaine d'années de l'Europe. Elle dialogue avec les disciplines voisines, histoire, sociologie. Si en ses débuts, inscrite dans le courant de l’ethnographie de la France, elle étudiait surtout le monde rural, elle a pris à bras le corps dès les années 1980, de nouveaux objets qui la conduisent à s’intéresser désormais à tous les aspects des sociétés dans la modernité. L’élaboration de chaque numéro est confiée à un « rédacteur invité ». Numéros disponibles Adresse de la rédaction Conseil scientifique 1. 2. 3. 4. 5.
Arbre de connaissances Exemple d'intégration des arbres de connaissances dans un outil décisionnel spécifique aux ressources humaines. Un arbre de connaissances est une représentation des connaissances ; c'est par exemple une représentation imagée et structurée de la somme des richesses que chaque membre apporte à une communauté, selon diverses réalités (connaissances, compétences, opinions, événements, projets, besoins etc.) vécues par un groupe de personnes. Histoire[modifier | modifier le code] Édith Cresson, Premier ministre français à partir de mai 1991, s'intéresse aux causes d'exclusion liées au savoir, et interroge Michel Serres[1]. Ce dernier constitue une équipe et la première réunion a lieu le 20 novembre 1991[2]. Trois postulats fondamentaux énoncés par Michel Serres sous-tendent le dispositif. Les arbres de connaissances constituent une nouvelle approche du repérage des connaissances et des compétences dans une communauté de personnes. Description[modifier | modifier le code]
Volume ! Cause commune: l'information entre bien commun et propriété - Philippe Aigrain