Lutte contre la résistance aux antibiotiques - Sciences de la vie et de la Terre - Éduscol
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Louis Pasteur
Pour les articles homonymes, voir Pasteur. Signature Biographie Jeunesse Louis Pasteur est né en 1822 dans la maison familiale de Dole, troisième enfant de Jean-Joseph Pasteur et de Jeanne-Étienne Roqui[2],[3]. Il est baptisé dans la Collégiale Notre-Dame de Dole le 15 janvier 1823.
La mémoire immunitaire - Corpus - réseau Canopé
L'immunité adaptative permet de lutter contre les antigènes en mobilisant les lymphocytes immunocompétents. Lors de la mise en place de la réponse immune, une partie des lymphocytes sélectionnés et activés ne se différencie pas en cellules lutteuses mais forme un réservoir de cellules mémoires dont la durée de vie est importante. Ces cellules gardent en mémoire le premier contact établi avec l'antigène. Ces lymphocytes B et T mémoires, spécifiques d'un antigène, peuvent être mobilisés lors d'un contact ultérieur avec le même antigène ou son peptide antigénique.
Mary Mallon
Mary Mallon à l'hôpital Mary Mallon (née le 23 septembre 1869, morte le 11 novembre 1938), également connue sous le surnom de Mary Typhoïde (Typhoid Mary), fut la première personne aux États-Unis identifiée comme porteur sain de la fièvre typhoïde. Comme cuisinière, elle causa l'infection de 51 personnes, et trois en sont mortes[1],[2]. Sa notoriété a été renforcée par son déni véhément de sa propre responsabilité dans la transmission de la maladie, ainsi que par son refus de cesser son travail de cuisinière. Elle fut mise deux fois en quarantaine sur l'île North Brother Island par les autorités de santé publique : entre 1906 et 1910 et de 1915 jusqu'à la fin de sa vie, puisqu'elle y mourut d'une pneumonie à l'âge de 69 ans. Ses emplois de cuisinière[modifier | modifier le code]
Serimedis : la banque d'images de l'Inserm
54813 Prise en charge des antigènes vaccinaux par les neutrophiles dans la peau Microscopie à fluorescence sur coupe immunohistologique de peau (noyaux des cellules cutanées marqués en bleu) montrant l'infiltrat de neutrophiles (en rose) dans le derme après injection intradermique de vaccin (en vert). Montage d'images de microscopie confocale montrant les neutrophiles (en rose) ayant pris en charge l'antigène vaccinal (en vert). Inserm/Combadière, Behazine Inserm/Combadière, Behazine 55777 C'est quoi un vaccin ? Qu'est-ce qu'un vaccin ?
Le sida : le corps - Corpus - réseau Canopé
La contamination par le VIH peut s’opérer de différentes manières : par voie sexuelle, sanguine et/ou par voie materno-fœtale. Après contamination, le virus, parasite cellulaire obligatoire, infecte rapidement ses cellules hôtes, notamment les cellules CD4+, pièces maîtresse du système immunitaire. Dans ces cellules, le VIH peut, en détournant la machinerie cellulaire, se répliquer et faire bourgeonner de très nombreuses copies virales. Cette dernière phase coïncide avec l’effondrement des défenses immunitaires caractérisant l’état d’immunodéficience.Ce stade clinique est celui où les agents infectieux opportunistes peuvent coloniser l’organisme affaibli, favorisant l’apparition et le développement de maladies dites opportunistes, telles que la tuberculose ou la toxoplasmose.
Un vaccin, qu'est-ce que c'est ? - Vidéo
Manuel Rosa-Calatrava du Laboratoire de virologie et pathologie humaine (Equipe Vir-Cell, Inserm, Lyon), explique en quoi consiste la vaccination. La vaccination consiste à inoculer un microbe inactivé (par la chaleur, des molécules chimiques...) ou bien un morceau de microbe, ce qui n'induit pas une maladie mais par contre prépare et stimule le système immunitaire de la personne vaccinée, ce qui fait que son système immunitaire sera prêt et pourra répondre très vite lorsque cette personne sera confrontée au vrai pathogène dans sa vie future. Cela permettra d'atténuer la maladie ou même d'empêcher qu'elle se développe. Il y a une limite, en particulier dans le cas de la grippe : un anticorps va reconnaître un antigène bien particulier, donc si celui-ci a petit peu muté entre temps, l'anticorps ne va pas bien fonctionner et le vaccin ne sera pas efficace à 100%. © science frontières production / Inserm Réalisateur : Jean-Marc Gresta, Céline Knidler, Julien Monteaux
1882, Metchnikoff et la phagocytose - Corpus - réseau Canopé
Dans les dernières années du XIXe siècle, un débat virulent oppose les tenants de l’immunité cellulaire (France) et ceux de l’immunité humorale (Allemagne). Pour se défendre des agressions extérieures, un organisme ferait intervenir soit des cellules spécialisées, soit des substances solubles dans le sang. C’est le zoologiste russe Elie Metchnikoff (1845-1916) qui tranche, temporairement en 1882, la controverse en découvrant la phagocytose. Sa découverte est reconnue par la communauté scientifique, du moins celle des cellularistes.Quelques années plus tard, au sein de l’institut Koch à Berlin, les scientifiques s’intéressent à la genèse de certaines maladies infectieuses (diphtérie, tétanos, tuberculose) et à la façon dont le corps s’en défend. Ils découvrent que le sang contient des substances, les antitoxines, qui inactivent spécifiquement certaines toxines produites lors de ces infections. Des substances solubles dans le sang assurent donc aussi l’immunité.
Ces microbes qui nous gouvernent
Médecine. La richesse et la diversité des bactéries qui peuplent notre intestin nous protègent en partie des effets délétères de l'inflammation liée au diabète et à l'obésité. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Florence Rosier Nous sommes, à notre insu, le terreau fertile d'une bien étrange "forêt tropicale" : les cent mille milliards de bactéries qui prospèrent en silence dans nos entrailles. Cette jungle intestine, les scientifiques la nomment "flore microbienne" ou "microbiote intestinal".
L'immunité adaptative - Corpus - réseau Canopé
L’immunité innée constitue une première ligne de défense naturelle contre des éléments menaçant l’intégrité de l’organisme. Cette immunité peut être complétée, chez les vertébrés, par l’immunité adaptative dont l’assise repose sur la mobilisation spécifique de cellules immunocompétentes : les lymphocytes T et les lymphocytes B. La lutte contre un antigène endocellulaire (virus de la grippe par exemple) recrute ainsi des lymphocytes particuliers : les lymphocytes T8 et les lymphocytes cytotoxiques. Ces derniers sont capables, après avoir été activés, de reconnaître puis lyser spécifiquement une cellule infectée affichant à sa surface un peptide antigénique.
Epidémie de rougeole : plus de 1.500 cas déclarés en 2018 par manque de vaccination
Le nombre de cas de rougeole déclarés en France en 2018 a dépassé 1.500, ont annoncé mercredi 11 avril 2018 les autorités sanitaires, tandis que se poursuit l'épidémie en Nouvelle-Aquitaine, région de loin la plus touchée. Santé publique France a fait état de 1.527 cas depuis le début de l'année, et 1.605 depuis le 6 novembre 2017, date après laquelle la maladie a connu une "recrudescence" qui n'a pas été enrayée depuis. En mars 2018, c'était 915 cas qui avaient été enregistrés depuis le 6 novembre 2017.
La phagocytose est l’un des processus biologiques les plus importants de notre organisme. On pourrait la définir comme étant la capacité d’une cellule à « absorber » ou à ingérer d’autres éléments d’une taille supérieure ou égale à 0,5 μm. La phagocytose est une fonction spécialisée, que seuls quelques types de cellules peuvent réaliser : il s’agit principalement des monocytes, des macrophages, des cellules dendritiques et des neutrophiles, que l’on regroupe sous le nom de phagocytes professionnels. D’autres cellules comme les cellules endothéliales possèdent également cette fonction, mais elle est beaucoup moins importante que chez les types de cellules précédemment cités.