Jardin potager bio, fiches jardinage et recettes avec des légumes : Jardin à manger Bien marier les légumes entre eux Comme les êtres humains, les légumes ont des sympathies et des antipathies. Certaines familles se stimulent ou se protègent. D’autres s’épuisent et se fragilisent. La mise en place des légumes au potager ne se fait pas comme ça et certaines règles s’imposent pour ne pas associer des légumes qui pourraient se gêner. Au contraire, certains légumes ont l’art de se stimuler. À lire aussi : Les grandes familles de légumes Au potager, il existe plusieurs familles de légumes, les principales étant : les solanacées : aubergine, piment, poivron, tomate, pomme de terre, etc, les ombellifères : carotte, céleri, cerfeuil, fenouil, persil, etc, les crucifères : chou, cresson, navet, radis, raifort, etc, les légumineuses : fève, haricot, lentille, pois, etc) et les liliacées : ail, asperge, échalote, oignon, poireau, etc. Certaines familles cohabitent sans problème tandis que d’autres ne se supportent pas. Les familles qui s’entendent bien : les ombellifères, les crucifères et les légumineuses.
Ripe Green Ideas (faisons mûrir les idées vertes) Comment faire un jardin en permaculture ? Avant de parler de jardin en permaculture, rappelons que la permaculture est bien plus qu’une nouvelle approche du jardinage, c’est une philosophie de vie où animaux, insectes, êtres humains, plantes et micro-organismes vivent en harmonie dans un environnement sain et auto-suffisant. Le mot « permaculture » en lui-même est la contraction de « (agri)culture permanente ». Il fut inventé par Bill Mollison et David Holmgren dans les années 1970. Il regroupe des principes et des techniques d’aménagement et de culture, à la fois ancestraux et novateurs, dans un concept global, le design. Il vise à faire de son lieu de vie un écosystème harmonieux, productif, autonome, naturellement régénéré et respectueux de la nature et de TOUS ses habitants ! Créer un jardin en permaculture permet de répondre à nos besoins humains tout en améliorant notre environnement (développement de la biodiversité, création d’habitats pour la faune et les insectes utiles, enrichissement de la terre…).
Associer légumes, plantes et fleurs contre les maladies et les parasites Accueil > Articles > Fleurs > Associer légumes, plantes et fleurs contre les maladies et les parasites Fleurs | 06/03/2014 Légumes, fleurs et aromatiques se rendent service. Ils éloignent des parasites ou semblent favoriser la production de leurs voisins. En les regroupant, vous profiterez de leur bonne entente et limiterez les traitements. F. Certaines plantes et légumes émettent des répulsifs, piègent les insectes, ou au contraire les attirent, les détournant des autres plantes et légumes… Profitons de leurs bienfaits en les associant dans le potager pour une récolte de qualité produite au naturel. Rustica vous propose quelques associations pour prévenir maladies et parasites : Asperge L’odeur des feuillages des tomates, de la tanaisie, de la rue et de la sauge repoussent la mouche de l’asperge. Betterave Légume à associer avec les capucines naines qui attirent les pucerons. Céleri Le raifort a une action efficace contre la rouille du céleri. Par Thérèse TREDOULAT
Eco-consommation Récolter soi-même ses semences, c’est réaliser des économies dans le budget jardinage, mais aussi, au-delà de la satisfaction personnelle, un acte éthique : une façon de participer à la préservation de la biodiversité. Partager cet article Et si pour une fois on regardait le monde de façon positive ? Une auditrice s’inquiète concernant la présence de limonène et de linalol dans des produits cosmétique ou de nettoyage écologiques. Voici une raison de nous réjouir de ce mois de mai quasi hivernal : il est encore temps de planter des pommes de terre! Des magasins collaboratifs, des supermarchés coopératifs et des grandes surfaces dédiées aux produits locaux ouvrent leurs portes. Alors que le locavorisme et le bio ont le vent en poupe, de nouvelles questions se posent aux consommateurs… Vaut-il mieux consommer des produits bio importés de loin que des produits locaux obtenus parfois à grands renforts de chauffage de serre ou d’engrais et autres substances phyto-sanitaires chimiques ?