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ONZUS.fr - Observatoire National de la Politique de la Ville

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Urban Mobs L’observatoire de la traduction Daniel Toudic, le Directeur du CFTTR de l’Université de Rennes 2 m’a fait l’amitié de m’inviter à donner une conférence aux étudiants de LEA en octobre dernier. Le sujet ? Vingt ans de traduction. Je reproduis plus bas le texte de cette conférence, très inspiré de mon expérience professionnelle. Rennes, octobre 2013 Je suis très heureux de venir vous voir aujourd’hui pour vous parler de mon métier. Et c’est vrai que je peux me poser cette question, puisque j’exerce ou j’ai exercé les métiers de journaliste, auteur, éditeur, rédacteur en chef, traducteur, réviseur, réviseur technique, maquettiste, chef de projets, consultant, chef d’entreprise, enseignant et même psychothérapeute ! Tous ces métiers sont des métiers tournés vers les autres. Quand j’ai commencé à traduire des livres, des manuels et des communiqués de presse d’entreprises informatiques, je considérais que mon point fort était de formuler avec clarté et style des informations techniquement justes.

CIV : Politique de la Ville L'"empowerment", nouvel horizon de la politique de la ville Le ministre François Lamy s'est emparé de ce concept venu des Etats-Unis qui vise à redonner aux habitants des cités populaires une capacité à agir. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvia Zappi C'est le nouveau mot à la mode dans les cercles de la politique de la ville. Empowerment. Conscient que sa concertation sur la réforme de la géographie prioritaire ou l'installation de nouveaux contrats de ville ne suffiraient pas à redonner du souffle à une politique de la ville en bout de course, le ministre a décidé d'intégrer ce nouvel outil et ainsi d'afficher une politique de gauche qui ne coûte pas très cher. L'empowerment semble devenu le nouvel horizon de la politique dans les quartiers. L' empowerment n'a pas de traduction adéquate - sinon le néologisme québécois "capacitation". Quant aux associations, voilà des années qu'elles travaillent chacune dans leur coin et aspirent à faire entendre autrement la voix des habitants. Les expériences hexagonales sont encore peu nombreuses.

De la Charte d’Athènes à la Charte d’Aalborg : un renversement de perspectives Au-delà d’une remise en question générale, la vision de la ville durable retourne comme un gant les principes fondamentaux de la Charte d’Athènes. Bien que la profession des urbanistes ne soit pas entièrement acquise à cette façon de voir, la réflexion est en bonne voie. On peut citer à cet égard plusieurs initiatives européennes qui se réclament d’un développement urbain durable en se distanciant symétriquement des préceptes corbuséens : la charte de la Société des Urbanistes Européens (1), ou le Livre Blanc du Conseil des Architectes d’Europe (2). Le guide pour le développement durable publié récemment par le Conseil Européen des Urbanistes (3), qui a intégré un certain nombre de retours d’expérience, exprime aussi clairement ce changement d’optique. Une soixantaine d’années séparent l’élaboration de la Charte d’Aalborg et celle de la Charte d’Athènes. Annexe Les principaux points de la Charte d’Aalborg (extraits commentés) Texte intégral : www.sustainable-cities.org

Observatoire Vieillissement & Société Portail de l'Aménagement du Territoire | Repenser la politique de la ville, par Jacques Donzelot Relancée avec force, en 2003, sous l'impulsion de Jean-Louis Borloo, la politique de la ville a fait récemment l'objet d'évaluations qui montrent des résultats plutôt décevants au regard des objectifs qui lui avaient alors été fixés. Cette déception relative semble conduire le gouvernement à préparer une révision à la baisse de la politique en question au lieu d'une réévaluation de ses présupposés pour en redéployer autrement les moyens. La déception concerne surtout l'un des programmes, celui des zones urbaines sensibles (ZUS). Il consiste en un classement des zones urbaines plus ou moins défavorisées grâce à un index qui apprécie leur écart par rapport à la moyenne nationale et les fait bénéficier de mesures proportionnées à la gravité de celui-ci. Renforcé en 2003, ce programme reçoit alors pour mission de ramener les zones en question à la normale dans un délai de cinq ans. Pourquoi mettre ainsi l'accent sur le mouvement, sur la "connectivité", plutôt que sur les lieux ?

Biennale 2010 / Expositions / La Ville mobile Comment les nouveaux enjeux liées au développement durable influent-ils sur notre façon de nous déplacer ? Dans un monde en mouvement perpétuel, quels sont les lieux où l’on peut encore prendre le temps de le perdre ? Comment les applications de la révolution numérique façonnent-elles les nouveaux comportements urbains ? L’exposition La Ville mobile nous propose un voyage au sein des métropoles contemporaines, cités en extension dans lesquelles les impératifs et les exigences liés à la mobilité engendrent une vision inédite de notre environnement. La ville, un espace palpitant, collectif, partagé Lieu de rassemblement de millions d’individus, qui y vivent, y travaillent, s’y déplacent chaque jour, la ville n’est pas un simple cadre de vie mais également un espace à s’approprier de manière collective, lors de grandes manifestations ou de rendez-vous réguliers, autour d’événements emblématiques. Retrouver l’essence de l’espace public, un lieu de partage, de rencontres et de gratuité.

Socio-informatique et argumentation Ministère Ecologie DD NosVilles – La revue de presse de l'urbaniste observatoire des sondages Formes de villes Formes de villes en Europe et aux États-Unis Les villes d’Europe et des États-Unis ont fait l’objet de nombreuses approches comparatives, qui soulignent les contrastes de densités (faibles aux États-Unis, plus fortes en Europe), de formes des trames viaires (plutôt orthogonales aux États-Unis, radioconcentriques en Europe), de paysages urbains (passage brutal de la verticalité des centres à l’horizontalité des périphéries aux États-Unis, gradient plus régulier en Europe). L’objet de notre recherche est de voir s’il est possible de résumer une partie de ces différences à travers l’élaboration d’une forme type pour chacun des continents, qui servirait non pas d’aboutissement mais au contraire de point de départ pour des travaux de modélisation urbaine. C’est en effet à l’occasion d’une thèse [1] utilisant un modèle multi-agent pour simuler l’évolution de la répartition des activités urbaines en Europe et aux États-Unis que nous avons débuté ce travail. Bibliographie DELISLE F. (2008).

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