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Michel Foucault

Michel Foucault
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Foucault. Michel Foucault Philosophe occidental Époque contemporaine Paul-Michel Foucault, né le à Poitiers et mort le à Paris, est un philosophe français dont le travail porte sur les rapports entre pouvoir et savoir. Puisant dans Nietzsche et Kant, l'ensemble de l'œuvre foucaldienne est une critique des normes sociales et des mécanismes de pouvoir qui s'exercent au travers d'institutions en apparence neutres (la médecine, la justice, les rapports familiaux ou sexuels…) et problématise, à partir de l'étude d'identités individuelles et collectives en mouvement, les processus toujours reconduits de « subjectivation » (libération et création de soi). Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] Paul-Michel Foucault naît le à Poitiers[2], dans une famille de notables « »de province[3]. À l'École normale supérieure[modifier | modifier le code] En 1951, il est reçu troisième.

Friedrich Hayek Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hayek. Friedrich Hayek Philosophe occidentalÉconomiste autrichien XXe siècle Portrait de Friedrich Hayek. Friedrich Hayek s'est intéressé à de nombreux champs de la connaissance humaine, comme l'économie, le droit, la psychologie, la philosophie ou la science politique. Hayek a vécu en Autriche, au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Allemagne, et a été naturalisé britannique en 1938. Biographie[modifier | modifier le code] De 1923 à 1924, Hayek est l'assistant du professeur Jeremiah W. Il jouit alors d'une certaine notoriété, qui lui permet d'être invité en 1931 pour une série de quatre conférences à la London School of Economics (LSE) par l'économiste Lionel Robbins. Refusant de rejoindre l'Autriche annexée par les Allemands, il acquiert en 1938 la nationalité britannique. En 1944 paraît son ouvrage le plus lu, La Route de la servitude. En 1950, il quitte la LSE pour l'université de Chicago.

Sociologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie peut être définie comme la branche des sciences humaines qui cherche à comprendre et à expliquer l'impact de la dimension sociale sur les représentations (façons de penser) et les comportements (façons d'agir) humains. Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la fois au travail, à la famille, aux médias, aux relations, aux réseaux sociaux, aux rapports de genre (hommes/femmes), aux statuts et fonctions, aux religions, ou encore aux formes de cultures et d'ethnicités...C'est elle qui pousse l'humain à réagir en société de façon à modifier ou préserver son statut social. Les diverses théories sociologiques (les paradigmes) rendent compte des phénomènes sociaux humains sous plusieurs angles : Certaines mettent plutôt l'accent sur l'étude de l'impact sur un phénomène donné des relations sociales et interactions entre individus. Origine du terme[modifier | modifier le code]

Anarcho-capitalisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Drapeau de l´anarcho-capitalisme[1]. Il se sépare du libéralisme classique, lequel reconnait la nécessité d’un État et ne vise qu’à limiter de façon stricte son domaine et ses modes d’intervention. Il se distingue aussi des courants historiques traditionnels (socialistes, fédéralistes, individualiste) de l’anarchisme par son acceptation sans limite de la propriété privée, et accessoirement, son appartenance aux libertariens, son absence de critique de la religion entre autres. La sociologie (universitaires, classes supérieures) des théoriciens de l'anarcho-capitalisme les oppose aux racines socialement modestes de l'anarchisme politique (Proudhon, Stirner…). Peu d'anarchistes l'incluent dans l'anarchisme, en dépit de son rejet de l'État, du fait qu'il ne partage pas avec l'anarchisme historique son « souci de l'égalité économique et [de] la justice sociale ». Anarcho-capitalisme et libéralisme[modifier | modifier le code]

Guerre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cologne totalement détruit par plus de deux cents bombardements sans perte de moral des Allemands. Sur les autres projets Wikimedia : guerre, sur le WiktionnaireGuerre, sur WikisourceGuerre, sur Wikiquote Une guerre est un conflit armé entre États précédé généralement d'une déclaration de guerre ou un conflit armé entre populations opposées. Le droit international humanitaire classe les conflits armés en deux catégories : Le conflit armé international qui se caractérise par des opérations de guerre entre deux ou plusieurs États souverains (implicitement cela signifie qu'il existe une frontière a priori définie entre ces États) ;Le conflit armé non international qui survient lorsque des groupes opposés s'affrontent à l'intérieur du territoire d'un même pays. La guerre est une forme ritualisée de violence létale. Étymologie[modifier | modifier le code] Aspects Historiques[modifier | modifier le code] La guerre féodale revêt plusieurs aspects.

Jacques Ellul Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Ellul dans sa maison à Pessac, en 1990. Jacques Ellul (né le à Bordeaux et mort le à Pessac) est un professeur d'histoire du droit, sociologue, théologien protestant et libertaire[1] français. Surtout connu comme penseur de la technique et de l'aliénation au XXe siècle, il est l’auteur d’une soixantaine de livres (la plupart traduits à l’étranger, notamment aux États-Unis et en Corée du Sud) et de plusieurs centaines d’articles. Ayant adopté comme devise « exister, c’est résister »[4], il disait lui-même de son œuvre qu'elle est entièrement centrée sur la notion de liberté[5] : « plus le pouvoir de l'État et de la bureaucratie augmente, plus l'affirmation de l'anarchie est nécessaire, seule et dernière défense de l'individu, c'est-à-dire de l'homme »[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il réussit le concours d’agrégation de droit romain et d’histoire du droit en 1943.

Georg Wilhelm Friedrich Hegel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. G. W. F. Hegel Penseur allemand Époque Moderne Portrait de Hegel par Schlesinger (1831). Georg Wilhelm Friedrich Hegel, né le 27 août 1770 à Stuttgart et mort le 14 novembre 1831 à Berlin, est un philosophe allemand. Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale de Hegel à Stuttgart (Eberhardstrasse 53) en 2006 Stuttgart 1770-1787[modifier | modifier le code] Georg Wilhelm Friedrich Hegel naît à Stuttgart le 27 août 1770 dans une famille protestante. Wilhelm fait ses études au Gymnasium de sa ville natale, où il est un écolier modèle. Tübingen 1788-1793[modifier | modifier le code] Vue de Tübingen et du Stift, le séminaire de théologie évangélique de l'université où étudia Hegel (2007) Hegel se destine à la théologie et entre à l'âge de dix-huit ans au séminaire de Tübingen (appelé Stift) pour entreprendre ses études universitaires. Puis, il s'inscrit à la faculté de théologie. Berne 1793-1797[modifier | modifier le code]

Emmanuel Kant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emmanuel Kant Philosophe occidental Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste : son père, d'origine écossaise, est sellier, et sa mère, décrite par Kant comme une femme très intelligente, est foncièrement piétiste. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c’est-à-dire les mathématiques et la physique)[2]. En 1746, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour donner des cours : il est engagé comme précepteur par des familles aisées et il accomplit cette tâche durant neuf ans. En 1755, il obtient une promotion universitaire et une habilitation grâce à une dissertation sur les principes premiers de la connaissance métaphysique. En 1781 paraît la première édition de la Critique de la raison pure.

Mircea Eliade Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Eliade. Mircea Eliade Œuvres principales Mircea Eliade (13 mars 1907 à Bucarest - 22 avril 1986 à Chicago) est un historien des religions, mythologue, philosophe et romancier roumain. Mircea Eliade est considéré comme l'un des fondateurs de l'histoire moderne des religions. Sa formation d'historien et philosophe l'a amené à étudier les mythes, les rêves, les visions, le mysticisme et l'extase. Auteur prolifique, il cherche à trouver une synthèse dans les thèmes qu'il aborde (excepté dans son Histoire des religions, qui reste purement analytique). Vers la fin du XXe siècle, quelques textes d'Eliade nourrissent la vision gnoséologique de mouvements religieux, apparus avec la contre-culture des années 1960. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Mircea Eliade a grandi dans une famille chrétienne orthodoxe[1]. Études et engagements politiques[modifier | modifier le code]

Historia En la mitología griega, Clío era la musa o diosa protectora de la Historia, además de la poesía épica. Aquí aparece observando antes de anotar en su libro, desde un carro alado cuya rueda es la esfera de un reloj. Busto de Heródoto, el llamado Padre de la Historia. La historia es la ciencia que tiene como objeto de estudio el pasado de la humanidad y como método el propio de las ciencias sociales.[1] Se denomina también "historia" al periodo histórico que transcurre desde la aparición de la escritura hasta la actualidad. Más allá de las acepciones propias de la ciencia histórica, "historia", en el lenguaje usual, es la narración de cualquier suceso, incluso de sucesos imaginarios y de mentiras;[2] [3] sea su propósito el engaño, el placer estético o cualquier otro (ficción histórica). En medicina se utiliza el concepto de historia clínica para el registro de datos sanitarios significativos de un paciente, que se remontan hasta su nacimiento o incluso a su herencia genética.

Quentin Skinner Quentin Robert Duthie Skinner (Oldham, 1940), es un historiador británico, caracterizado por el contextualismo y el republicanismo. Ocupa la cátedra Barber Beaumont de ciencias humanas en la Queen Mary, University of London.[1] Anteriormente ocupó la cátedra Regius de historia moderna en la Universidad de Cambridge.[1] Con J.G.A. En 1978, Skinner publicó su primera gran obra: The Foundations of Modern Political Thought. Contextualismo y republicanismo[editar] El contextualismo de Skinner le aleja de la interpretación whig de la historia[2] (Duncan Forbes y Peter Laslett), y responde genéricamente, al declive de la influencia del anglicanismo y la disolución del Imperio británico. El republicanismo de Skinner, que desarrolla a partir de los años ochenta, con Margaret Thatcher en el poder, responde igualmente al estado en que queda Inglaterra tras el fin del Imperio y el fin de la influencia social de la Iglesia anglicana. Críticas[editar] Publicaciones[editar] Como editor: Entrevistas:

Gustave Le Bon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gustave Le Bon « L’âge où nous entrons sera véritablement l’ère des foules. […] Aujourd'hui ce sont les traditions politiques, les tendances individuelles des souverains, leurs rivalités qui ne comptent plus, et, au contraire, la voix des foules qui est devenue prépondérante. » Biographie[modifier | modifier le code] Né en 1841 à Nogent-le-Rotrou, où son père était conservateur des hypothèques, il fit ses études au lycée de Tours, puis à la faculté de médecine de Paris, où il obtient le titre de docteur en médecine[6] en 1866[7]. Il parcourut l’Europe, l'Asie et l'Afrique du Nord entre les années 1860 et 1880[6]. En 1879, il fit une entrée remarquée au sein de la Société d'anthropologie de Paris qui lui décerna l’année suivante le prix Godard pour son mémoire Recherches anatomiques et mathématiques sur les lois de variation du volume du cerveau et sur leur relation avec l’intelligence[8]. Influence[modifier | modifier le code]

Mao Zedong Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mao. Mao Zedong, plus connu en français sous la transcription de Mao Tsé-toung, également retranscrit en Mao Tsé-Tung ou Mao Tsö-Tong[1], est un homme d’État et chef militaire chinois, fondateur et dirigeant de la République populaire de Chine. Fils de paysans aisés, il est né à Shaoshan[2] dans la province du Hunan[3] le , et mort à Pékin le des suites d'une sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot). Sa politique internationale des années 1970 marque un rapprochement avec l’Occident, qui permit la réintégration de la Chine dans le concert mondial (entrée à l’ONU, 1971). Les écrits théoriques de Mao et sa pratique politique ont donné naissance au courant marxiste-léniniste connu sous le nom de maoïsme. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et enfance[modifier | modifier le code] En 1907, son père, Mao Xunsheng (1870-1920), le marie à une cousine, Luo Yixiu, de quatre ans son aînée.

Robert Nozick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Nozick est un philosophe américain professeur à Harvard, né le à Brooklyn (New York) et mort le . Penseur libertarien proche du courant minarchiste, il s’est fait connaître à la fin des années soixante par des articles consacrés à des questions de philosophie morale, en particulier celle de la coercition puis sur ses réflexions sur la liberté. Mais c’est surtout le livre Anarchie, État et utopie (1974) qui va faire de Nozick l’un des auteurs américains les plus influents. Biographie[modifier | modifier le code] Il fit ses études à Columbia au Sidney Morgenbesser, à Princeton (Ph.D. 1963), puis Oxford dans le Fulbright Scholar. Enseignant à l'université Harvard, ses articles sur la philosophie morale, en particulier celui sur la coercition, le rendent célèbre dès la fin des années soixante. Il devient renommé pour son ouvrage Anarchie, État et utopie[1], où il prend notamment la défense d'un État minimal.

Karl Popper Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Popper. Karl R. Popper Philosophe occidental XXe siècle Biographie[modifier | modifier le code] Karl Popper est né de parents juifs convertis au protestantisme. Puis il étudie à l'Université de Vienne. En 1936, il donna des conférences en Grande-Bretagne, où il rencontra ses compatriotes Hayek et Gombrich. Début 1946, il revint s'installer à Londres. Il était membre de la British Academy. Il prit sa retraite d'enseignant en 1969 et mourut le 17 septembre 1994, sans avoir eu le temps de rédiger la préface de son dernier recueil de conférences Toute vie est résolution de problèmes. Sa pensée[modifier | modifier le code] Philosophie des sciences[modifier | modifier le code] Le problème de la démarcation[modifier | modifier le code] Cette critique de l'induction conduit Popper à remettre en cause l'idée (que l'on attribue un peu rapidement à tous les positivistes) de vérification.

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