background preloader

Liste de médias de l'altermondialisme

Liste de médias de l'altermondialisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article sur les médias de l'altermondialisme recense les médias alternatifs altermondialistes ou principalement consacrés à l'altermondialisme et contient également des références de documents, dossiers, textes, vidéos, audios utiles pour l'analyse du mouvement altermondialiste ou de l'altermondialisation. Elle complète la bibliographie de l'altermondialisation qui elle ne reprend que les livres publiés. Rôle des médias[modifier | modifier le code] Le rôle des médias est très important dans l'histoire du mouvement altermondialiste : en France, c'est en décembre 1997 Le Monde diplomatique dans lequel son directeur, Ignacio Ramonet, publie un éditorial intitulé Désarmer les marchés[1], qui suscite des milliers de réponses de lecteurs qui permettront la création de l'organisation Attac. Médias de l'altermondialisme[modifier | modifier le code] Presse écrite altermondialiste[modifier | modifier le code] Radio[modifier | modifier le code]

Chronologie de l'altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article établit une chronologie de l'altermondialisme, de ses origines à aujourd'hui. Les oppositions à la mondialisation telle qu'elle se présente aujourd'hui semblent démarrer dans les années 1980 dans les pays du Sud avec la lutte contre la dette du Tiers-monde, et dans les pays du Nord, avec la recherche de nouvelles alternatives à la croissance et à la consommation énergivores. Dans les années 1990, commencent à se faire jour des mobilisations internationales, qui ne commenceront à être connues et médiatisées qu'à partir de la mobilisation contre l'OMC à Seattle. Pour les mouvements sociaux, il y a vraiment un avant et un après Seattle. Ensuite dans les années 2000, avec notamment les forums sociaux mondiaux, l'altermondialisme entre dans une phase d'organisation de rencontres permettant aux associations altermondialistes de constituer des réseaux, de débattre, de penser à des propositions alternatives.

La guérilla des altermondialistes contre l'info En lutte contre le système médiatique, les altermondialistes se sont lancés dans une croisade contre la tyrannie silencieuse de la presse. Et tentent de solder tout un bric-à-brac d’idées d’un autre âge. Et si l’autre monde médiatique dont ils rêvent n’était que le retour d’un cauchemar trop connu ? Il aura donc fallu attendre novembre 2003, la polémique entre Libération et l’association phare des altermondialistes, à propos d’une enquête sur la « normalisation d’Attac » parue sous la plume de Didier Hassoux, pour que certains s’avisent enfin de ce que Le Monde décrira comme « le climat de suspicion qui règne dans les milieux altermondialistes à l’égard des médias ». Antoine de Gaudemar, le directeur de la rédaction de Libération, quotidien qui ne ménage pourtant pas ses efforts pour séduire nos nouveaux contestataires, lâchera, plus sévère encore : « (...) ce communiqué illustre le climat de paranoïa régnant à la direction d’Attac, qui se croit victime de complots de toutes sortes.

Alter-globalization Alter-globalization slogans during the protests in Le Havre against the 37th G8 summit in Deauville, France Alter-globalization (also known as alternative globalization, alter-mundialization—from the French "alter-mondialisation"—or the global justice movement) is the name of a social movement whose proponents support global cooperation and interaction, but oppose what they describe as the negative effects of economic globalization, feeling that it often works to the detriment of, or does not adequately promote, human values such as environmental and climate protection, economic justice, labor protection, protection of indigenous cultures, peace and civil liberties. Etymology[edit] The term was coined against accusations of nationalism by neoliberal proponents of globalization, meaning a support of both humanism and universal values but a rejection of the Washington consensus and similar neoliberal policies. History[edit] The period of European colonialism[edit] Groups[edit] See also[edit]

Jean-Yves Le Gallou lance un Acrimed d’extrême droite (version actualisée) Samedi 13 octobre, la fondation Polémia organise sa cinquième journée de la réinformation. Son directeur, Jean-Yves Le Gallou estime que le moment est venu de lancer "un grand bond offensif" contre " la tyrannie médiatique". "Il est temps d'attaquer les médias de l'oligarchie" indique-t-il. M. Le Gallou, ancien dirigeant du FN puis du Mouvement national républicain (MNR) mégrétiste, est un personnage-clé de l'extrême droite française, une sorte "d'intellectuel organique" qui appartient à sa mouvance identitaire et "ethno-différencialiste" (axée sur la défense de la race blanche). C'est ce haut-fonctionnaire qui théorisa la préférence nationale pour le FN. La réunion de samedi est surtout l'occasion de donner un peu de visibilité à l'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique, annoncé par M. Leurs ambitions sont hautes. Outre Jean-Yves Le Gallou et Claude Chollet, un autre pilier de la Nouvelle Droite figure au programme.

Altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Slogans altermondialistes lors de la manifestation au Havre contre le sommet du G8 2011 à Deauville. Les mouvements altermondialistes regroupent divers acteurs qui, opposés à ce qu'ils appellent le « mondialisme néolibéral », jugé injuste et dangereux, revendiquent la mise en place d'une autre mondialisation. Leur diversité incite à parler davantage de mouvance que de mouvement au singulier. Hétérogène[1], le mouvement oscille entre un réformisme (par exemple à travers la revendication d'une Taxe Tobin[2] proposée par Attac) et un radicalisme[3], mais se rassemble autour du slogan « Un autre monde est possible » ou plus récemment, « D'autres mondes sont possibles »[4]. Néanmoins, on distingue des prises de position et des revendications communes à de nombreuses organisations concernant : Historique et structure[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code] Orientations[modifier | modifier le code]

Gérard de la télévision Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gérard. Les Gérard de la télévision est une cérémonie satirique qui récompense les plus mauvais programmes et animateurs de la télévision française. Le créateur[modifier | modifier le code] Le créateur des Gérard de la télévision est le journaliste Frédéric Royer[1]. Après le succès des premiers Gérard du cinéma, il décide de créer les Gérard de la télévision en novembre 2006. Frédéric Royer a au fil des ans fait appel à plusieurs personnes pour l’entourer à l’animation, à l’écriture ou à la production de la cérémonie : Stéphane Rose depuis 2006, Arnaud Demanche de 2006 à 2012, Juliette Arnaud depuis 2013, David Koubbi depuis 2007, Alexandre Pesle, de 2007 à 2009. Le Big Gérard’s Band, composé de Benjamin Fau, Manu Chehab et Nicolas Monhardt, était durant les premières années le groupe musical accompagnant les animateurs sur scène. Récompense[modifier | modifier le code] Catégories[modifier | modifier le code]

Forum social mondial Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSM. Le Forum social mondial (ou FSM) est un forum international ayant pour but de faire se rencontrer des organisations citoyennes du monde entier sensibles à la cause altermondialiste (« Un autre monde est possible »). Traitant des principaux sujets de préoccupation de la société civile en rapport avec la mondialisation, cet événement se présente comme une alternative sociale au Forum économique mondial qui se déroule chaque année en janvier à Davos en Suisse. La première édition du FSM s'est tenue en 2001 à Porto Alegre au Brésil. Depuis les réunions de 2002 et 2003, les forums sociaux à toutes les échelles sont régis par la Charte des principes du Forum social mondial, dont les principes les plus importants sont : Les forums sociaux ne délivrent pas de déclaration finale, mais sont des espaces ouverts de débat d'idées et d'élaboration de projets. Historique[modifier | modifier le code]

La véritable pensée unique Culture > Médias > La véritable pensée unique Les journalistes ont l’habitude de commenter les sondages. Pour la première fois, ce sont eux-mêmes qui ont dû répondre aux questions de l’Institut SCP [ 1 ] auquel nous avions confié cette enquête. Compte tenu de l’étendue de la corporation (31 000 journalistes professionnels), nous avons volontairement restreint le champ de l’étude aux journalistes qui travaillent dans les secteurs de l’actualité générale (France, étranger, culture, économie, société), ceux qui, tous les jours, aident les citoyens à se forger leurs opinions. Nous savons bien que cette initiative sera contestée par le « milieu ». Cet article, paru initialement sur Catallaxia en juin 2001, est repris ici tant il est édifiant et plus encore instructif, sur l’état d’esprit très particulier qui règne au sein des rédactions, qu’elles soient issues de la presse écrite ou audiovisuelle. Copeau Formation CFPJ ou école de journalisme Institut d’études politiques Grande école Université top

World Social Forum The World Social Forum (WSF, Portuguese: Fórum Social Mundial [ˈfɔɾũ soˈsjaw mũdʒiˈaw]) is an annual meeting of civil society organizations, first held in Brazil, which offers a self-conscious effort to develop an alternative future through the championing of counter-hegemonic globalization. Some[who?] consider the World Social Forum to be a physical manifestation of global civil society, as it brings together non governmental organizations, advocacy campaigns as well as formal and informal social movements seeking international solidarity. Charter of Principles[edit] This Charter was approved and adopted in São Paulo, Brazil on April 9, 2001, by the organizations that make up the World Social Forum Organizing Committee, and approved with modifications by the World Social Forum International Council on June 10, 2001.[3] 2) The World Social Forum at Porto Alegre was an event localised in time and place. 3) The World Social Forum is a world process. History[edit]

Les stars TV soumises à l'impôt Hollande ? La révélation des rémunérations des animateurs producteurs de l'audiovisuel public avait déclenché, en 1996, un scandale qui provoqua l'éviction de Jean-Pierre Elkabbach de la présidence de France Télévision et déstabilisé Nagui , Jean-Luc Delarue et Arthur . Vendredi 14 octobre, Nicolas Dupont-Aignan , candidat à l'élection présidentielle, a tenté de susciter une nouvelle polémique en demandant, dans le Grand journal de Canal+ à Michel Denisot comme à Jean-Michel Apathie le montant précis de leurs rémunérations. Ni l'un ni l'autre n'ont répondu à cette question protégeant un secret extrêmement difficile à lever. Canal+ n'étant pas une société publique, elle n'est pas soumise au contrôle de la Cour des comptes ou de l'Inspection des finances. Pour en savoir davantage, il faut se livrer au jeu des spéculations et des confidences délivrées par des responsables de chaînes, encore en activité ou pas.

[APP] une autre monnaie est possible : une BD augmentée » Article » OWNI, Digital Journalism L'argent ne fait pas le bonheur... sauf si on le fabrique soi-même! Avec notre BD augmentée, apprenez les principes de la création monétaire et découvrez comment élaborer des monnaies libres auxquelles donner du sens. Philippe Derudder fait partie de ceux qui voient en l’alternative économique une chance à saisir. Ancien entrepreneur qui a tout plaqué en 1992 pour ne plus cautionner un système monétaire qui ne lui convenait pas, il cherche alors des solutions pour concilier monnaie et équilibre écologique. Maintenant animateur au sein d’une association, l’Association Internationale pour le Soutien aux Economies Sociétales ou AISES, il milite pour la création de monnaies complémentaires et offre ses conseils auprès de communautés ou de villages souhaitant franchir le pas. Accompagnant ces communautés, il a notamment participé à la création de l’Abeille à Villeneuve-sur-lot, la Luciole en Ardèche et une troisième devise, à Roman. Existe-il une notion d’héritage ou d’épargne?

Ces économistes qui monopolisent (toujours) les débats Ainsi que nous l’avions déjà développé ici-même, depuis de nombreuses années, les sujets « économiques » inondent les médias. Régulièrement confrontés à la complexité de ces thèmes, les journalistes préfèrent déléguer leurs traitements à des experts (toujours les mêmes), universitaires pour la plupart – mais pas toujours les plus compétents –, dont les engagements extra-scientifiques sont méconnus ou dissimulés. Pour les journalistes, l’expert appelé à la rescousse doit répondre à plusieurs critères : efficacité (il doit être bref et concis), disponibilité (il doit habiter en Île-de-France) et orthodoxie (il doit être partisan de l’économie de marché). Acrimed, et avec elle Le Plan B et quelques autres critiquent depuis longtemps la proximité de certains économistes avec le pouvoir financier, leurs relations incestueuses avec le pouvoir politique, et leur omniprésence médiatique. Las ! À la télévision À la radio En 2012, à la radio, rien ne semble avoir changé.

Related: