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La grande bouffe - pousse michel !

La grande bouffe - pousse michel !

Nino Rota - Amarcord Ecotaxe : je suis allé à Quimper, j’ai cru que c’était la Manif pour tous - Rue89 Manifestation contrel l’écotaxe à Quimper, le 2 novembre 2013 (JEAN-SEBASTIEN EVRARD/AFP) Depuis ce samedi matin, cela tourne en boucle. C’est le match attendu. La Bretagne contre la France, les paysans contre les autres, etc. Making of Malgré la suspension de l’écotaxe annoncée mardi, ses opposants manifestaient ce samedi en Bretagne pour réclamer sa suppression. Nous avons demandé à Valerian P., assistant parlementaire d’un élu PS, qui nous avait fait part de son malaise face à ce mouvement des « bonnets rouges », de nous raconter la manifestation de Quimper. Je travaille pour un élu PS. Je suis littéralement abattu lorsque j’entends parler de licenciements. Et quoi qu’il arrive, les enfants vont devoir affronter la vie avec cet handicap majeur. Des 4x4 alignés Je suis allé à Quimper parce que je voulais écrire sur le sujet. Les gens descendaient de voitures, arborant fièrement leurs bonnets Armor Lux, se prenant en photos avec leur iPhone et leurs écharpes. Qui est derrière ?

Réalisations de monuments funéraires, référencement naturel, grand choix de stèle, plaque... J'TE BAISE Chronique subjective des «Doux moments» de Depardon [au Grand Palais] Aimer Depardon, c’est comme avouer que l’on goûte la 40ème de Mozart. C’est risquer la moquerie à peine gentille des élites. Pour éviter le regard réprobateur, je suis donc allé au Grand Palais en douce. J’y trouve une exposition bien foutraque. On est loin de la belle cohérence de sa «France» ou de «Voyages»… et puis on oublie le discours pour se concentrer sur l’essentiel, les photographies. Progressivement, au fur et à mesure que l’on chemine dans l’exposition, la cohérence se révèle. Édith Piaf, Paris 1959 © Raymond Depardon Autoportrait, Villefranche-sur-Saône, Ferme du Garet 1960 Sur la route entre Chasquitambo et Cajacay, Pérou 1970 Parral, Chili, 1971 Santiago, Chili, 1971 Van-Tao, Vietnam 1972 Beyrouth, Liban 1978 Glasgow, Écosse 1980 Santiago, Chili 2007 Abra Pampa, Argentine 2012 Comarapa, route n°7, Bolivie 2013 Tarabuco, Bolivie 2013 Raymond Depardon se fond dans le décor. Le spectaculaire est toujours évacué et l’évènement souvent traité de façon elliptique.

Ras-le-bolus papam ! « Je ne sais rien, mais je dirai tout Commencent sérieusement à nous gonfler les coucougnettes avec le pape. Ah ! il est argentin ! Oh ! Ben non, pas envie de m’incliner, mais plutôt de lui pisser à la raie, et de condamner tous les médias qui nous bassinent avec ça au régime ostie-pain sec pendant mille ans. On va me dire, les papes soulagent les masses miséreuses qui n’ont plus que les vieillards en soutane à qui se raccrocher en ce bas et cruel monde. Mais comme je le disais au début, les médias, et notamment les télés et radios, m’ont plus énervé que le pape et ses fidèles abrutis massés place Saint-Pierre. Bon, soyons tolérant.

LAMBCHOP Dans le premier album de Lambchop, sorti en 1994, se trouve une chanson qui s’intitule Cowboy on the Moon. A elle seule, cette ballade doucement surréaliste pourrait condenser le propos et le parcours de la troupe de Kurt Wagner : voilà des Américains profonds et légers, à la fois enracinés dans leurs terroirs musicaux (country, rock, folk, soul…) et tendus vers les horizons sans limites de l’imaginaire. Son plus grand acte de cow-boy lunaire, Wagner l’a accompli en créant à Nashville, capitale de la country orthodoxe, ce collectif à géométrie variable fâché avec les étiquettes et les dogmes. Fondé par le peintre Kurt Wagner, qui restera plusieurs années charpentier de métier, Lambchop a incarné au début des années 90 la nouvelle vague du rock indépendant américain, aux côtés de Will Oldham (Palace), Bill Callahan (Smog), Mark Linkous (Sparklehorse) ou encore Vic Chesnutt. Kurt Wagner, Tony Crow, Alex McManus, Scott Martin, Ryan Norris, Matt Swanson, William Tyler

Vie privée et Facebook: pourquoi je ne poste rien de mes enfants sur le web Je ne poste jamais rien sur ma fille sur Facebook. Absolument rien. C’est le seul moyen de la défendre contre la reconnaissance faciale et autres prospections à but commercial. Je me souviens très bien de ce post Facebook. On y voyait «Kate» (un pseudonyme), 5 ans, la fille d’une de mes amies, debout devant sa maison en bikini jaune vif, le panneau indiquant la rue clairement visible derrière elle sur la porte d’entrée. La photo avait été téléchargée sur un album Facebook, où il y avait 114 clichés rien que de Kate: toute propre et emmaillotée le jour de sa naissance, en train d’embrasser son Labradoodle, de faire de la balançoire. Je comprends parfaitement le désir de ses parents de capturer chaque minute de la vie quotidienne de Kate; la petite enfance est tellement éphémère. Fin août, Facebook a de nouveau mis à jour sa politique d’utilisation des données. Le problème, c’est que Facebook n’est qu’un site parmi d’autres. Tous ses comptes sont actifs mais privés. Amy Webb

Le nouvel album de Stromae reporté pour cause de plagiat Coup de théâtre sur la scène musicale belge. Selon Annie Cordy, Stromae aurait « honteusement copié » son titre phare Tata Yoyo pour créer son propre morceau intitulé Papaoutai. Exclusivité. Prononcer quatre syllabes comme refrain relève-t-il du plagiat ? La toujours très énergique et normalement aimable Annie Cordy l’affirme du haut de ses 60 ans de carrière. Sur son site officiel, l’artiste belge aux 10 disques d’or dénonce le plagiat auquel « s’est abaissé » Stromae sur son nouvel album, Racine carrée (NDLA, en hommage au mathématicien grec Héron d’Alexandrie) dont la parution était jusqu’ici prévue pour le 19 août prochain. Sur ce deuxième opus, le talentueux chanteur bruxellois y interprète Papaoutai, l’histoire d’un enfant dont le père a quitté le foyer. « Faux ! « On ne me la fait pas, je viens de Laeken ! Calmer le jeu De son côté, Paul Van Haver désire à tout prix éviter le choc des cultures musicales. Le report tombe bien pour Annie Cordy. Pour le VifEXpresse, Jaëlle Balader.

Pourquoi les amateurs de rock indé sont-ils snobs ? L'élitisme C’est un fait, l’amateur d’indie rock aime à humilier le fan de groupe tel que Coldplay ou Muse. Sa phrase culte est "le premier album s’écoute, après c’est vraiment de la merde". Il s'interdit rarement de ne pas rajouter une bonne condescendance vis-à-vis de son interlocuteur qui lui indique qu’il a vu U2 au Stade de France. Hé oui, l’indie, plus que les autres, a la fâcheuse manie de croire que ce qu’il écoute est ce qu’il faut écouter. L’indie préfèrera aussi écouter sa musique sur une platine vinyle. L’indie aime aussi faire des listes. Evidemment l’indie est un spectateur difficile, prenez un groupe de six indies dans un festival indie, ce sera dur de trouver six indies d’accord. Une adolescence difficile A l’adolescence, l’indie se cherche, il ne sait pas encore s’il sera indie ou metaleux ou hip hopeux. Une personnalité complexe L’indie aime aussi souvent le foot. Car l’indie aime l’authenticité et pas trop l’argent. - Ah dis donc, oui, oui, c’était un grand groupe.

plein d'infos... Information : Vous pouvez visiter également le forum Technique qui comprend des pas à pas, discussions et essais, ainsi que les tables de développement, associées aux notices. Queens Of The Stone Age à la Halle Tony Garnier (Lyon) – 12/11/2013 | Analogic J’ai toujours aimé Queens Of The Stone Age, même si de nouvel album en nouvel album je dois l’avouer je déprécie un peu QOTSA alors qu’autour de moi j’ai l’impression que tout le monde n’a jamais autant aimé ce groupe qu’aujourd’hui. Pourtant, je ne me suis pas fait violence pour retourner les voir à Lyon, deux ans après un concert vraiment puissant au Main Square. La puissance, justement… Entre une set list assommée par des ballades à répétitions d’une part et violée de toute part par le son horriblement saturé de la Halle Tony Garnier , on était loin des grands messes précédentes… Pour autant, à en lire d’autres chroniques celle ci par exemple, ailleurs c’était mieux. La chance. Setlist : Partagez cet article, Choisissez votre Plateforme!

La "quenelle", un coup de mou pour nos luttes Faire le geste de la quenelle n’engage à rien: ni promesse ni action. Elle fait croire à celles et ceux qui la font, qu’elle est subversive en soi et qu’elle prouve l’existence d’une unité entre les soi-disant "anti-système". Il n’y a de concret que la répétition du geste de scène d’un artiste qui a joué sciemment la carte d’une carrière indépendante et l’engagement politique au sein de l’extrême droite. Si des personnes issues de l’immigration peuvent la faire aux côtés de personnes comme Bruno Gollnisch qui est ouvertement anti-musulman, ou de Jean Marie Le Pen qui croit en l’inégalité des races : c’est que ce geste ne signifie rien comme engagement. On peut très bien imaginer la BAC faire ce signe à des jeunes durant un contrôle musclé. La notion qui assimile la pénétration à la domination est un cliché misogyne et homophobe que partagent Dieudonné, Alain Soral et Eric Zemmour. Bras mou comme une quenelle ou poing de panthère, il faut choisir. Like this: J'aime chargement…

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