Nino Rota - Amarcord Le Mépris - Jean-Luc Godard - Critique Camille (Brigitte Bardot) dans « Le Mépris » Film de Jean-Luc Godard Année de sortie : 1963 Pays : France, Italie Scénario : Jean-Luc Godard, d’après le roman d’Alberto Moravia Le Mépris Photographie : Raoul Coutard, Alain Levent Montage : Agnès Guillemot Musique : Georges Delerue Avec : Michel Piccoli, Brigitte Bardot, Jack Palance, Fritz Lang, Giorgia Moll. Le cinéma substitue à notre regard un monde qui s’accorde à nos désirs. Le critique Luc Mourlet, cité dans Le Mépris. Le Mépris, de Jean-Luc Godard, est une réflexion sur les difficultés de l’artiste dans le monde moderne et sur la destruction du couple. Synopsis du Mépris Paul Javal (Michel Piccoli), auteur de romans policiers désirant écrire pour le théâtre, est contacté par un producteur américain, Jeremy Prokosch (Jack Palance). Parce qu’il a besoin d’argent pour financer l’appartement dans lequel il vient d’emménager avec sa femme Camille (Brigitte Bardot), Paul accepte le projet. Critique Les thématiques du Mépris La création
Ecotaxe : je suis allé à Quimper, j’ai cru que c’était la Manif pour tous - Rue89 Manifestation contrel l’écotaxe à Quimper, le 2 novembre 2013 (JEAN-SEBASTIEN EVRARD/AFP) Depuis ce samedi matin, cela tourne en boucle. C’est le match attendu. La Bretagne contre la France, les paysans contre les autres, etc. Making of Malgré la suspension de l’écotaxe annoncée mardi, ses opposants manifestaient ce samedi en Bretagne pour réclamer sa suppression. Nous avons demandé à Valerian P., assistant parlementaire d’un élu PS, qui nous avait fait part de son malaise face à ce mouvement des « bonnets rouges », de nous raconter la manifestation de Quimper. Je travaille pour un élu PS. Je suis littéralement abattu lorsque j’entends parler de licenciements. Et quoi qu’il arrive, les enfants vont devoir affronter la vie avec cet handicap majeur. Des 4x4 alignés Je suis allé à Quimper parce que je voulais écrire sur le sujet. Les gens descendaient de voitures, arborant fièrement leurs bonnets Armor Lux, se prenant en photos avec leur iPhone et leurs écharpes. Qui est derrière ?
ANIMATÓGRAFO Conto de Luiz Pacheco (In, Expresso 09-03-1974) Coisas boas em jornais UMAS CALÇAS VERMELHAS, OUTRAS AMARROTADAS. Acordando pela manhã, a luz vagarosa espreitou pelas persianas descosidas e pelo largo palmo aberto a que tinham ficado levantadas. pretas, amontoadas. flexível (por lassa) do arame. do quarto um recolhimento vivaz, uma libertação de ares perfumados, campestres-cabana ao abandono numa distanciada colina solitária, gruta ou tugúrio de namorados furtivos. Podia ser um bom titulo. A luz, agora espertinada. De certeza, isto: o pianista careca que tocava entre a plateia e o écran nessa altura olhava sempre para cima, fazia aquilo sempre; durante o genérico preludiara uma miscelânea de cançonetas em voga mas às primeiras imagens, na sequência das calças atiradas sobre a mesa, atacara as teclas num fortíssimo como a chamar decerto que sim, é o que me convém, também a atenção da assistência para o pormenor logo em grande plano das calças vermelhas a fita era a cores ou não era?
Réalisations de monuments funéraires, référencement naturel, grand choix de stèle, plaque... Chris Marker Chris Marker travaille très jeune comme critique et journaliste. Il fait ses premières armes dans la revue Esprit, qui décrypte les évolutions sociales, culturelles et politiques en France et dans le monde. En y publiant de nombreux articles entre 1946 à 1955, il apparaît déjà comme un témoin engagé dans son époque. Parallèlement, il est très actif au sein de Peuple et Culture, une organisation dédiée à l'éducation populaire, où il rencontre entre autres André Bazin et se lie avec Alain Resnais. Écrivain, photographe, cinéaste et artiste multimédia, Chris Marker est l'auteur d'une oeuvre protéiforme et novatrice, centrée sur les rapports entre image et mémoire, et qui s'interroge sur la substance profonde des civilisations.
J'TE BAISE Règle du Jeu (1939) Jean Renoir - Film complet Chronique subjective des «Doux moments» de Depardon [au Grand Palais] Aimer Depardon, c’est comme avouer que l’on goûte la 40ème de Mozart. C’est risquer la moquerie à peine gentille des élites. Pour éviter le regard réprobateur, je suis donc allé au Grand Palais en douce. J’y trouve une exposition bien foutraque. On est loin de la belle cohérence de sa «France» ou de «Voyages»… et puis on oublie le discours pour se concentrer sur l’essentiel, les photographies. Progressivement, au fur et à mesure que l’on chemine dans l’exposition, la cohérence se révèle. Édith Piaf, Paris 1959 © Raymond Depardon Autoportrait, Villefranche-sur-Saône, Ferme du Garet 1960 Sur la route entre Chasquitambo et Cajacay, Pérou 1970 Parral, Chili, 1971 Santiago, Chili, 1971 Van-Tao, Vietnam 1972 Beyrouth, Liban 1978 Glasgow, Écosse 1980 Santiago, Chili 2007 Abra Pampa, Argentine 2012 Comarapa, route n°7, Bolivie 2013 Tarabuco, Bolivie 2013 Raymond Depardon se fond dans le décor. Le spectaculaire est toujours évacué et l’évènement souvent traité de façon elliptique.
Léos Carax - Quelques oeuvres en ligne An unpredictable French filmmaker whose poetic style earned him a critically sound reputation on the heels of his debut feature, Boy Meets Girl (1984), Leos Carax has since gone on to explore the tortured ramifications of love in the modern world with such features as Lovers on the Bridge (1991) and the controversial Pola X. A native of Suresnes who was born to an American mother and a French father, Alexandre Oscar Dupont (his professional name an anagram of his first and middle names) directed a series of short films and dabbled in cinema criticism before putting his celluloid where his mouth is with his debut feature, Boy Meets Girl. A dramatic exploration of modern love, the film provided undeniable proof of Carax’s already assured, mature visual style and proved the first teaming of the director and his cinematic alter ego, Denis Lavant. Interview with Leos Carax
Ras-le-bolus papam ! « Je ne sais rien, mais je dirai tout Commencent sérieusement à nous gonfler les coucougnettes avec le pape. Ah ! il est argentin ! Oh ! Ben non, pas envie de m’incliner, mais plutôt de lui pisser à la raie, et de condamner tous les médias qui nous bassinent avec ça au régime ostie-pain sec pendant mille ans. On va me dire, les papes soulagent les masses miséreuses qui n’ont plus que les vieillards en soutane à qui se raccrocher en ce bas et cruel monde. Mais comme je le disais au début, les médias, et notamment les télés et radios, m’ont plus énervé que le pape et ses fidèles abrutis massés place Saint-Pierre. Bon, soyons tolérant.
La jetée - El muelle - (1962) Chris Marker (sub español) película completa LAMBCHOP Dans le premier album de Lambchop, sorti en 1994, se trouve une chanson qui s’intitule Cowboy on the Moon. A elle seule, cette ballade doucement surréaliste pourrait condenser le propos et le parcours de la troupe de Kurt Wagner : voilà des Américains profonds et légers, à la fois enracinés dans leurs terroirs musicaux (country, rock, folk, soul…) et tendus vers les horizons sans limites de l’imaginaire. Son plus grand acte de cow-boy lunaire, Wagner l’a accompli en créant à Nashville, capitale de la country orthodoxe, ce collectif à géométrie variable fâché avec les étiquettes et les dogmes. Fondé par le peintre Kurt Wagner, qui restera plusieurs années charpentier de métier, Lambchop a incarné au début des années 90 la nouvelle vague du rock indépendant américain, aux côtés de Will Oldham (Palace), Bill Callahan (Smog), Mark Linkous (Sparklehorse) ou encore Vic Chesnutt. Kurt Wagner, Tony Crow, Alex McManus, Scott Martin, Ryan Norris, Matt Swanson, William Tyler