Un potager sur le toit - 26 novembre 2013 Imaginez un potager, situé sur le toit d'un gymnase, entouré de buildings d'une dizaine d'étages et offrant une vue panoramique sur toute la ville. Non, vous n'êtes pas dans une des méga-fermes qui poussent au sommet des tours de Brooklyn ou Montréal, mais sur le toit d'un gymnase du 20e arrondissement de Paris, dans le premier jardin sur toit de la ville. Oubliez aussi les retraités en mal d'occupations. Ce matin, c'est une population variée faite d'étudiants, de mères de famille et barbus lookés comme dans un catalogue d'Urban Outfitters qui sont venus en découdre avec les mauvaises herbes. « Pendant la belle saison, les gens viennent jardiner mais aussi lire, prendre le soleil, partager un repas ou bavarder avec leurs voisins. Il y a des enfants partout, c'est très sympa », précise Nadine Lahoud, l'une des habituées de ce lieu de 600 m2, qui vient de repiquer épinards et betteraves. A l'ère des graines tueuses, des oeufs à la dioxine et des lasagnes au cheval, rien de très étonnant.
Les abeilles au cœur de la biodiversité urbaine | Nature en ville © A. Balaraman / Shutterstock Plantation de prairies mellifères, installation de ruchers et d'hôtels à insectes, abandon des pesticides... la ville devient un refuge pour les insectes pollinisateurs (abeilles, coléoptères, mouches et papillons). La grande majorité des espèces végétales dans le monde compte sur les insectes pour se reproduire. Des infections parasitaires et virales, l'utilisation de pesticides, la destruction des habitats, le changement climatique... menacent cette richesse écologique et alimentaire. Il est grand temps de prendre conscience du rôle primordial que jouent les abeilles et autres insectes pollinisateurs (coléoptères, mouches et papillons) dans notre écosystème. Cela s'est traduit de façon très visible par le retour de la nature en ville. La Communauté urbaine de Strasbourg a souhaité valoriser le travail fait par la commune de Fegersheim. Vous aussi vous pouvez faire un geste pour les abeilles et autres insectes pollinisateurs : Le saviez-vous ?
Eco(lo) | Chroniques pour une économie sociale et durable Géo trouve tout » écoquartier Source : La documentation française. Problèmes politiques et sociaux. « Écoquartiers et urbanisme durable. » N° 981 février 2011. Vers un « modèle français » ? Dans son article, Franck Faucheux, chef de projet Écoquartiers au Meedem, présente les mesures prises par le gouvernement français pour encourager et encadrer les recherches et initiatives concernant les écoquartiers. Les « clubs écoquartiers » : enseignements et limites d’une politique publique. Le ministre d’État a demandé en 2008 à son administration de mettre en place une politique de soutien et de développement des écoquartiers pour répondre à l’engagement 49 du Grenelle de l’environnement, qui a demandé la création d’un référentiel écoquartier. 4 thématiques ont été adoptées pour 2010 : - le pilotage d’un projet d’écoquartier. - les citoyens et les entreprises comme moteur du projet écoquartier. Écoquartier : quel contenu ?
Volume 10 numéro 2 | septembre 2010 L’agriculture urbaine : un outil multidimensionnel pour le développement des villes et des communautés Sous la direction de Eric Duchemin (VertigO - La revue électronique en sciences de l’environnement) (Institut des sciences de l’environnement, Université du Québec à Montréal) (Université du Québec à Montréal), Luc Mougeot (CRDI, Canada) et Joe Nasr (Collège Ryerson, Canada) Depuis maintenant plus d’une décennie - selon la plus récente estimation disponible – ils sont mondialement environ 800 millions à pratiquer l’agriculture urbaine (AU). 200 millions d’entre eux réalisent de la production de marché et 150 millions le font à plein temps. Ces gens produisent environ 15% de la production mondiale de nourriture. Selon les prédictions, ce pourcentage pourrait doubler dans la prochaine génération. Depuis 1996, les chiffres disponibles pour certaines villes ont démontré une augmentation du nombre de producteurs, de production et de valeur dans cette activité urbaine.
Nature(s) en ville La nature, élément du bien-être des citadins La nature « sauvage », qui peut se définir comme l’ensemble des éléments (végétaux et animaux) qui n’ont pas été transformés par l’Homme et qui sont préexistants à lui, a été un espace hostile qu’il s’agissait de dompter. Elle n’est jamais « parue si belle que lorsque la machine a fait son intrusion dans le paysage » (Baridon 1998). La nature symbolise alors dans l’imaginaire des hommes la liberté et la beauté. Elle s’oppose, à ce moment de l’histoire humaine, non seulement à l’industrialisation et à l’urbanisation (Stallybrass et White 1986) mais à la ville elle-même qui apparaît plus que jamais comme l’empreinte de la puissance de l’Homme et de son pouvoir de transformation de son milieu. Un parc au cœur de Manhattan (New York, novembre 2007) © L. Le verdissement de la société On assiste au verdissement de la société. Les urbains plébiscitent les villes vertes, respectueuses de l’environnement. La satisfaction du désir de nature aujourd’hui
ecologie-pratique.org - Construire, restaurer, aménager, cultiver et vivre écologiquement L’implication des habitants dans les projets d’écoquartiers en France : quelles pratiques, quelles perspectives ? Umr CNRS & ENSA - 2012 Dans le cadre de la recherche intitulée « La concertation citoyenne dans les projets d’écoquartiers en France : évaluation constructive et mise en perspective européenne », liée au programme Concertation Décision Environnement du MEEDTL (Appel à projet 2009-2012) a été publiée en septembre 2012 : “L’implication des habitants dans les projets d’éco quartiers en France : quelles pratiques, quelles perspectives ? MONOGRAPHIES DES ÉCOQUARTIERS ET CONTRIBUTIONS DES INTERVENANTS" Les chercheurs (Jodelle Zetlaoui-léger (resp. scientifique), Camille Gardesse, Isabelle Grudet, Michael Fenker, Laure Héland, Bendicht Weber) ont travaillé dans le cadre d’un groupement de recherche :
Sites utiles La ville durable française dans la compétition mondiale 1/3 04/11/2014 - Paul-Antoine LECUYER Missionné en début d’année par le premier ministre pour définir les contours d’un « Institut pour la Ville Durable », le conseiller d’Etat Roland Peylet a remis son rapport le 30 octobre 2014. Le document fait le bilan une dizaine d’années d’ambition affichée pour un aménagement durable des territoires. Il dresse un constat... Rencontre avec Cécile DUFLOT 2/2 le 1er espace de débat en ligne sur les éco-quartiers et la ville durable La Commission a décerné le titre de Capitale verte de l'Europe à Vitoria-Gasteiz, qui succède ainsi à Hambourg. M. Janez Potocnik, membre de la Commission européenne chargé de l'environnement, Mme Mercedes Bresso, présidente du Comité des régions, M. Holger Lange, conseiller d'État au ministère du développement urbain et de l'environnement de la ville de Hambourg et M. Le commissaire Potocnik a déclaré à cette occasion: «Hambourg a été une Capitale verte de l'Europe exemplaire, notamment avec son impressionnant «Train des idées», qui a diffusé un message important sur le développement urbain durable dans 18 villes européennes. Mme Bresso s'est quant à elle exprimée en ces termes: «Les citoyens veulent que l'Europe améliore concrètement leur vie quotidienne. Le prix de la Capitale verte de l'Europe reconnaît et récompense les villes à l'avant-garde d'un mode de vie urbain respectueux de l'environnement et pouvant faire office de modèles pour d'autres villes.
Pierre Rabhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Rabhi Pierre Rabhi en 2009. Pierre Rabhi, né en 1938 à Kenadsa, en Algérie[1], Rabah Rabhi de son vrai nom (en arabe رابح رابحي le vainqueur)[2],[3], est un essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français, d'origine algérienne, inventeur du concept « Oasis en tous lieux ». Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides[4]. Il est le père de l'ingénieur Vianney Rabhi[5] (l'inventeur du procédé du moteur MCE-5, un dispositif permettant de rendre le taux de compression variable dans les moteurs à pistons) et de Sophie Rabhi-Bouquet (présidente de l'écovillage du Hameau des Buis[6]). Jeunesse algérienne[modifier | modifier le code] Pierre quitte Kenadsa pour Oran avec sa famille d'adoption et y suit deux années d'études secondaires.