Philosophie de la nature et artefact. Philosophie de la nature et artefactLa question du « préindividuel » Jean-Hugues Barthélémy et Vincent Bontems 1Le dialogue qu’a instauré l’œuvre de Bernard Stiegler avec la pensée de Gilbert Simondon se veut une opération de prolongement mais aussi de dépassement, en cela comparable, dans une certaine mesure, au dialogue que Simondon avait lui-même instauré avec Henri Bergson. 2- Rappeler brièvement la spécificité de l’ontogenèse simondonienne en ce qu’elle s’ancre dans des « schèmes physiques » qui informent l’hypothèse d’un état « préindividuel » de l’être, dont procède selon lui toute individuation (physique, vitale ou psychosociale) comprise comme genèse. 3- Exposer les raisons pour lesquelles Stiegler est fondé à reprocher à Simondon de ne pas avoir pleinement pensé, à partir des travaux d’André Leroi-Gourhan, les conditions originellement techniques du dernier des « régimes d’individuation », à savoir le régime psycho-social ou « transindividuel ». 5Vincent Bontems 1.
BIODIVERSITÉ URBAINE Sous le poids d'un désir citadin de plus en plus fort de nature dans la ville et d'un hygiénisme constant, la ville a évolué très rapidement, en un siècle, pour proposer aujourd'hui des parcs plus « naturels » et demain des corridors écologiques. Certaines espèces disparaissent sous les effets de l'urbanisation, d'autres s'adaptent, modifiant leur comportement et leur morphologie, et, enfin, la majorité d'entre elles va simplement coloniser ce milieu de plus en plus végétalisé. Avec près de 8 p. 100 du territoire français, le milieu urbain (dont on retient ici la définition des géographes, c'est-à-dire qui s'applique à des espaces avec, en moyenne, moins de 200 mètres entre les bâtis) n'est plus marginal et doit s'inscrire dans les préoccupations générales de conservation de la nature. La diversité du vivant intègre la richesse en espèces, la variabilité génétique et la diversité des fonctions écologiques et des écosystèmes.
Savoir... oui, mais encore ? Forum - pédagogies, mai 2000, 29-35. / GERARD, F.-M. / 2000 Télécharger la publication Qu'est-ce que (le) savoir ? Qu'est-ce qu'apprendre le savoir ? Nous proposons ici une réflexion dont l'objectif est de structurer différents concepts relatifs au savoir, largement utilisés tant par les théoriciens que par les praticiens du savoir : savoir-faire, savoir-être, capacité, compétence, etc. C'est à dessein que nous utilisons le terme « savoir ». « Le savoir », en tant que nom, écrit au singulier, désigne tout ce qu'un individu sait (note 1), à un moment donné de son existence. On peut dire que « savoir », c'est être capable d'exercer une activité (donner une définition, construire, résumer, citer, ) sur un certain contenu (telle formule, telle démarche de résolution, telle activité pratique, tel comportement, ) qui appartient à un domaine particulier. 1. Il est possible, en élargissant la réflexion notamment de DE KETELE (1986), de distinguer trois types d'activités du savoir. 2. 3. 4. 5.
MEMOIRE ET PAYSAGE Coline PERRIN Pour citer ce texte : Perrin, Coline. « La mémoire et le paysage. Les campagnes périurbaines en Toscane et en Provence, des paysages de la mémoire en danger ? » in La mémoire, outil et objet de connaissance. Paris : Aux forges de Vulcain, 2008. pp. 113-135. La mémoire et le paysage Les campagnes périurbaines en Toscane et en Provence: des paysages de la mémoire en danger ? « Tout paysage est mental, tout paysage est « paysage de la mémoire » (…). La Provence et la Toscane sont particulièrement évocatrices aux yeux de l’observateur occidental, leurs paysages sont « chargés » de mémoire. 1 - Le paysage, mémoire du territoire ou de l’observateur ? a) Son contenu concret témoigne du passé Le paysage a un contenu physique dont on peut décrire les éléments structurants. Photographie n°1 b) Une construction mentale qui sollicite la mémoire de l’observateur Si le paysage concret peut se lire comme le produit de l’histoire locale, il faut pour cela le regard d’un homme informé des événements passés.
Ville en transition Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce processus a été développé en 2005 par les étudiants du cours de soutenabilité appliquée de l'université de Kinsale (Irlande) sous la direction de Rob Hopkins, formateur et enseignant en permaculture[1]. La première mise en application a été initiée en 2006 dans la ville de Totnes au Royaume-Uni. Les raisons[modifier | modifier le code] Le pic pétrolier[modifier | modifier le code] Courbe théorique du pic de production La notion de pic pétrolier n'exprime pas la fin des réserves de pétrole, mais traduit la fin du pétrole conventionnel bon marché. La « descente énergétique »[modifier | modifier le code] Les initiatives de « transition », qui nécessitent une descente énergétique (energy descent), s'intéressent aux réponses à apporter pour résister aux différentes crises, dont celle du « pic pétrolier ». Conséquences[modifier | modifier le code] Les principes[modifier | modifier le code] Vision positive[modifier | modifier le code]
6 solutions gratuites en ligne pour créer des nuages de mots-clés La création de nuage de mots-clés est une façon simple de cartographier des idées, des champs sémantiques, des concepts, d’évoquer des notions essentielles… Et de mettre en forme via des réglages (couleur, taille des mots, position dans l’espace, jeu de polices de caractère…) un instantané visuel qui offre une forme de représentation synthétique pour l’internaute et la personne. Ce type de mode cartographique peut être utilisé en gestion de projet, pour de la formation, de l’analyse de texte, du remue-méninges (brainstorming)… Voici 6 solutions gratuites en ligne pour créer des nuages de mots-clés : Wordle Il s’agit de l’outil le plus connu de création de nuage de mots-clés. Tagul Pour utiliser Tagul, cela est gratuit, mais sur inscription. Tagxedo L’originalité du format du nuage de mots-clés créé est l’un des points forts de ce service en ligne sur inscription. ToCloud TagCrowd Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France Tags: nuage, outil en ligne
LA BRENNE The landscape image symbolises the identity of a place. A large number of territories are perceived, more or less consciously, through emblematic and iconographic representations, associating one or several landscape elements of a geographic region. These territories build their touristic communication on these landscape representations, expressing their cultural identity. Il est des territoires dont la simple évocation du nom fait écho en nous-mêmes, résonance à un « paysage image », emblème donné à voir comme porteur d'identité du lieu. Présentation du terrain et de la problématique Histoire singulière de la Grande Brenne : de l'ignorance au territoire labellisé Avant la création du Parc, cette région, située au sud du département de l'Indre, a connu des problèmes de développement. Figure 1. Une problématique identitaire abordée par le paysage, le cas du Parc de la Brenne Figure 2. L'outil photographique, porteur d'une narration paysagère La photographie, un « art moyen10 » Figure 3.
Développement durable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diagramme du développement durable : une approche globale à la confluence de trois préoccupations, dites « les trois piliers du développement durable ». Pour atteindre les objectifs du développement soutenable, il faut notamment faire appel à des ressources naturelles, minérales et vivantes qu'on peut selon leur vulnérabilité classer en « pas, peu, difficilement, coûteusement ou lentement renouvelables ». Le développement durable (anglais : sustainable development qui peut aussi être traduit en français par développement soutenable) est une conception du bien commun développée depuis la fin du XXe siècle. Définition[modifier | modifier le code] Pour l'AFNOR en 2012, un état est dit « durable » si « les composantes de l'écosystème et leurs fonctions sont préservées pour les générations présentes et futures »[1]. Le concept de durabilité a été défini quelques années auparavant. Historique[modifier | modifier le code]
L'observatoire du Réel - Bienvenue Corps augmenté : rêve bionique ou cauchemar prométhéen ? Matthew Naggle est un jeune Américain de vingt-six ans qui eut la malchance de recevoir un coup de couteau dans le cou lors d’une vulgaire bagarre de rue. Il resta tétraplégique. Son nom ne demeurera pas dans les annales des innombrables faits divers de ce genre. En revanche, Matthew Naggle est le premier être humain à commander un ordinateur par la pensée. Il est le premier homme à établir une connexion entre neurone et électron. Il ne s’agit pas de télépathie, mais d’une prouesse technologique dévoilée par la revue Nature du 13 juillet dernier. L’intérêt médical d’une telle expérimentation est immense. Cette nouvelle mérite toutefois qu’on dépasse l’euphorie de la découverte scientifique et médicale, et qu’on s’interroge sur la nature étrange de cette hybridation entre technologies et corps humain. L’information numérique, par les langages, était extérieure à l’homme. Le corps, virtualisé, échappe à sa réalité et aux frontières de son organisation biologique.
Carte conceptuelle et carte heuristique Publié par afaucher2001 le novembre 20, 2013 Super article sur HEURISTIQUEMENT qui m’a permit d’y voir plus claire entre les 2 concepts et je me permet de lui voler les 3 cartes de son article mais allez le lire et fouiner dans son blog : une vraie mine ! Sa carte qui marque les différences et similitudes entre carte conceptuelle et carte heuristique est claire et il nous explique ce qu’il a appris de la video de Remi Bachelet sur la carte conceptuelle lors du cours GdP et il utilise une carte heuristique "pour représenter une réflexion sur l’identité numérique" en faisant un parallèle avec le jardinage Il souligne leurs forces communes et nous engage à les utiliser : Moi aussi ;-) Et j’ai une nette tendance pour la carte heuristique qui m’apporte plus de "gaité", de visuel, … Like this: J'aime chargement…