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Expérience de Rutherford L'expérience de Rutherford, également connue sous le nom d’expérience de la feuille d'or, menée en 1909 par Hans Geiger et Ernest Marsden sous la direction d'Ernest Rutherford, montra que la partie chargée positivement de la matière est concentrée en un espace de petit volume (maintenant appelé noyau atomique). Antérieurement à cette expérience, la matière était vue comme constituée d'atomes eux-mêmes faits de deux parties chargées électriquement de façons opposées, la partie chargée négativement pouvant être arrachée à l'atome (rayons cathodiques). Ainsi, l'atome était représenté comme un « pudding aux prunes » plum pudding : une « pâte » positive avec des inclusions négatives (modèle de Thomson). L'expérience de Rutherford montra qu'en réalité le noyau chargé positivement est de taille très petite devant le nuage électronique qui l'entoure, chargé négativement. L'expérience est réalisée sous vide. où la masse réduite. Il est alors possible d'en déduire (en) H.
Dans votre manuel : Le tableau de Mendeleïev Intégrer ce média sur votre site Modèle atomique de Thomson Le modèle atomique de Thomson (dit aussi le modèle du plum pudding) fut proposé par Joseph John Thomson, qui découvrit l'électron en 1897. Il fut proposé en 1904 avant la découverte du noyau simplifié. Dans ce modèle, l'atome est composé d'électrons plongés dans une « soupe » de charge positive pour équilibrer la charge négative des électrons, comme des prunes (en anglais : plum) dans un pudding. À cette époque, Joseph John Thomson continuait à appeler « corpuscules », bien que George Stoney eut proposé la dénomination d'électrons en 1894. Les électrons, comme nous les connaissons aujourd'hui, étaient considérés comme dispersés au sein de l'atome, mais avec de multiples structures possibles pour leurs positionnements, comme en particulier des anneaux tournants d'électrons (voir ci-après). Le modèle de Thomson fut comparé (mais pas par son auteur) au plat britannique appelé plum pudding, d'où son nom.