Yinka Shonibare
Elodie Wysocki
C’est l’histoire de la chair, de ce qui reste. Des peaux vidées qui se réveillent sur ce qui hier encore était un champ de bataille. On imagine aisément une mise en scène accompagnée de fumée. C’est qu’Elodie Wysocki observe les ravages que produit la vie. Elle les traduit. « Mon travail pose la question du corps, le nôtre, celui des autres et le corps comme matière. ¹Préface de l’artiste Elodie Wysocki, Diptera, néon sur aluminium, 80 x 80cm, 2011, © ewysocki Elodie Wysocki, Memento Mori #2, paraffine, 2011, © ewysocki Elodie Wysocki, Memento Mori #2, paraffine, détail, 2011, © ewysocki Elodie Wysocki, Memento Mori #1, mousse, tissu, bois, détail, © ewysocki Elodie Wysocki, Memento Mori #1, mousse, tissu, bois, détail, 2011 , © ewysocki Le geste est pointilleux, l’artiste travaille le détail. Elodie Wysocki, Darwin, résine et fourrure, 180 x 80 x 15cm, détail, 2011, © ewysocki Elodie Wysocki, Darwin, résine et fourrure, 180 x 80 x 15cm, 2011, © ewysocki
Lucie Chaumont
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