Construction identitaire | Identit'Ados Et hop, un peu de psychologie ! L’adolescence reste encore une période de la vie relativement floue et sur laquelle les opinions divergent. En effet, les tenants et les aboutissements de la construction identitaire de l’individu sont encore mal définis par les scientifiques qui envisagent l’évolution de l’identité personnelle sous plusieurs aspects et principes d’étude différents. le processus d’exploration est une période durant laquelle l’ado expérimente de nombreuses alternatives différentes. Sur la base de ces deux processus, un psychologue américain du nom de Marcia, à construit un modèle en quatre configurations identitaires possibles qui différencie les adolescents par leur faible ou haut degré d’exploration et d’engagement. le statut de la Réalisation identitaire (ou accomplissement identitaire) se fait lorsque l’adolescent a exploré différents domaines de vie puis s’est engagé à travers des choix qui lui sont propres. Sources : Barbot, Baptiste.
Construction identitaire Le présent article traite du concept de construction identitaire tel que communément entériné par le milieu de l’éducation de langue française du Canada, particulièrement depuis 2006. Ce consensus autour du concept de la construction identitaire en milieu éducatif de langue française découle en grande partie d’un travail réalisé par l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) qui, en février 2006, a publié une définition et un modèle inédits de la construction identitaire[1]. Derrière ce travail s’inscrivait notamment l’objectif de faciliter les discussions dans le milieu, au sein duquel le défi de la construction identitaire occupait une place de plus en plus grande : « Le concept de la construction identitaire occupe, depuis quelques années, un espace grandissant au sein des discussions des intervenantes et des intervenants en éducation. Définition et modèle[modifier | modifier le code] Modèle de la construction identitaire [8] Voir aussi[modifier | modifier le code]
La mauvaise influence des réseaux sociaux sur les jeunes SENENEWS.COM- L’accès facile aux portables, smart phone, Android, iPhone mais aussi à la connexion avec les wifi et les forfaits internet a vraiment révolutionné le monde et changé le comportement des individus surtout les jeunes. Sélectionné pour vous : Traitée de « dévergondée » après ses photos sexy, Queen Biz sort du silence (photos) Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’on appelle les enfants de la net-génération. Ils ont grandi avec l’internet au bout des doigts. Ils maîtrisent quasiment tout sur internet et sont toujours ´´online´´ sur les réseaux sociaux qui se multiplient d’année en année. Twitter, Tumblr, Facebook, instagram, viber, whatsapp sont dans leurs langages. Les influences négatives sont au rendez-vous Néanmoins, il y’a des influences considérables qui sont méconnues ou bien très souvent négligées par les jeunes. Réseaux sociaux ou baisse de niveau intellectuel? Les jeunes d’aujourd’hui préfèrent passer leur temps sur les réseaux sociaux plutôt qu’à étudier.
Réseaux sociaux :: Jeunes et médias Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.
L’influence des réseaux sociaux sur les jeunes Dans l’UE27, 80% des internautes utilisent les réseaux sociaux. Une étude réalisée par l’Eurostat démontre que l’utilisation de l’internet à augmenté depuis 2006 surtout dans les ménages avec enfants. Elle est passée de 49% en 2006 à 89% en 2010 en Belgique 70% des jeunes âgés entre 16 et 24 ans envoient des messages à des forums de discussion, des blogs, des réseaux sociaux tels que Facebook et MySpace. Les réseaux sociaux en bien et en mal En bien Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’ont appelle "Les enfants de la Net-génération ".Ils ont grandi avec internet au bout de leur doigts. En mal. L’utilisation des réseaux sociaux entraine aussi de mauvaises rencontres sur la toile. 3 jeunes sur 10 sont être l’objet de sollicitations par des pédophiles sur le web. En conclusion On a montré qu’il y a réseau social (type site de jeu en ligne,"rencontre") et réseaux sociaux (type MSN fait pour discuter) chez les adolescents et tous deux exercent une influence plus ou moins grande sur celui-ci.
L’adolescent et les réseaux sociaux : quels impacts psychiques ? The Conversation France travaille en partenariat avec l'émission de vulgarisation scientifique quotidienne « La Tête au carré », présentée et produite par Mathieu Vidard sur France Inter. L'auteure de cet article, Angélique Gozlan, a parlé de ses recherches dans l'émission du 20 mai 2016 avec Aline Richard, journaliste science et technologie pour The Conversation France. Réécoutez leur intervention, à 15'30". Il y a quelques jours, une jeune femme de 19 ans se suicidait en direct sur Périscope. Le fait divers de Périscope tend à diaboliser les réseaux sociaux en pointant les effets néfastes de ceux-ci, tant du point de vue de l’acteur que du spectateur. Pour se construire, tout adolescent a besoin de se mettre en image au-devant de soi, de paraître et de se montrer. Expressionnisme adolescent Très souvent, la surface interactive de ces réseaux sera le support à « l’expressionnisme adolescent », pour reprendre Philippe Gutton. Quelle différence avec l’expression adolescente classique ?
Identité numérique : ce miroir déformant Ronan Boussicaud est webmarketeur et Community Manager pour l’agence Useweb. Profondément attaché aux relations humaines, il blogue sur « La Psyché du web social », un site faisant le pont entre la psychologie sociale et le web 2.0. Collaborateur pour le site My Community Manager, il y développe des analyses liées au Community Management et aux médias sociaux. Il partage sa veille qualitative et ses coups de cœur sur son compte Twitter @Rboussicaud. Nous sommes à présent 7 milliards d’êtres humains sur notre chère planète Terre. Nos attentes et besoins restent les mêmes depuis la nuit des temps (comme le démontre la pyramide de Maslow), cependant c’est bien la technologie qui construit des outils faisant évoluer nos usages. « L’homo internetus » que nous sommes devenus a donc une nouvelle identité, un reflet numérique de sa personne qu’il faut entretenir. Comment en est-on arrivé à cette quête de l’image ? L’identité comme miroir Mais l’e-réputation veille au grain… L’homme VS la machine
Ados et réseaux sociaux: C’est quoi le problème avec Snapchat? INTERNET Une photo et une vidéo d’ados dans des positions gênantes (peut-être pire, dans l’un des deux cas) ont été postées sur Snapchat sans leur consentement début janvier... Nicolas Beunaiche Publié le Mis à jour le Le réseau social préféré des ados pourrait bien devenir celui que les parents détestent le plus, si ce n’est déjà fait. En deux affaires, Snapchat s’est en effet rappelé à leur souvenir de la plus mauvaise des manières, en ce début d’année. >> A lire aussi : Photos et vidéos volées : Les réseaux sociaux dépassés par les ados Sur Snapchat, pas de contenus viraux Si les deux affaires ont eu autant de retentissement en France, elles ne le doivent évidemment pas qu’au site lancé par Evan Spiegel en 2011. Seul, Snapchat n’est tout simplement pas capable de propager des contenus viraux. Des « boucs émissaires » ? Paradoxalement, c’est pourtant cette dimension de Snapchat qui a indirectement conduit aux deux affaires de ce début d’année. Déjà épinglé en 2014 Snapchat court toujours
Pratiques des adolescents sur Internet et les médias sociaux L’article de la Revue Française des Sciences de l’Information et de la Communication (RFSIC ) prend appui sur certains des résultats de l’étude JAMES (Jeunes/Activité/Médias/Enquête suisse) menée en 2012, en partenariat avec les Universités de Zürich, de Lugano et de Genève. Les auteurs du présent article s’appuient notamment sur un questionnaire fermé et standardisé, soumis à un échantillon de 1169 élèves âgés de 12 à 19 ans, et fréquentant des écoles (écoles de commerce, collèges) ou établissements professionnels (places d’apprentissage). L’étude relève que les « 15-19 ans » ne sont que 16 % en France à lire la presse (gratuite et payante) tous les jours en 2009. Par comparaison, ils sont en Suisse, en 2012, plus de 50 % (58 % entre 16 et 19 ans) à le faire tous les jours ou plusieurs fois par semaine. Pratiques informationnelles des adolescents Facebook et Instagram sont les deux sites attirant le plus de souscripteurs. Sources et références complémentaires
L’adolescence à l’épreuve du virtuel : entre construction identitaire et excès SLG : Les médias ou les parents expriment encore régulièrement leurs craintes face aux pratiques numériques des jeunes. Les partagez-vous ? MS : Philippe Gutton, spécialiste de l’adolescence, parle de la création comme processus adolescent. Pour valoriser ce phénomène, nous avons créé avec Marie-Rose Moro(5)Marie Rose Moro est psychiatre pour enfants et adolescents, psychanalyste, docteur en médecine et en sciences humaines. De formation philosophique, elle est aussi écrivaine. SLG : Comment expliquez-vous ce rejet du monde « réel » par les no-life ? MS : J’ai reçu pendant 6 ans 200 jeunes de 15 à 25 ans, en majorité des garçons – sauf une fille –, souvent déscolarisés, qui passaient leur temps à incarner un elfe ou un troll dans World of Warcraft et préféraient le combat virtuel à celui, trop coûteux, de la réalité. SLG : Qu’est-ce qui explique l’attachement très fort de ces jeunes aux jeux vidéo ? MS : Le numérique commence à être inclus à l’école et prend de plus en plus d’importance.