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Paracelse

Paracelse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paracelse Portrait présumé du médecin Paracelse (1493-1541), copie anonyme du XVIIe siècle d'un portrait présumé de Paracelse, d'après un original perdu de Quentin Metsys[1], huile sur bois, musée du Louvre, Paris. Paracelse, né Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim en 1493 ou en 1494 à Einsiedeln (en Suisse centrale ) et mort le à Salzbourg (en Autriche) est un alchimiste, astrologue et médecin suisse, d’expression allemande (dialecte alémanique). « Certains n'hésitent pas à faire de Paracelse le précurseur de toute science de la médecine du travail et de l'homéopathie et le rénovateur de la médecine (et de la chirurgie[2], de la toxicologie et de la psychothérapie), tandis que d'autres voient en lui, les uns un médiocre imitateur des anciens, les autres un fou ignorant et prétentieux. — Marc Haven , [3]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et études[modifier | modifier le code] Selon Daniel-P. * (en) [18].

Myrrha Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Myrrha, mère d'Adonis ?[modifier | modifier le code] D'autres généalogies existent pour Adonis mais Myrrha en est absente. Le Pseudo-Apollodore, auteur tardif (Ier siècle-IIe siècle), donne plusieurs versions de la généalogie d'Adonis : Bibliothèque, III, 14, §3 (traduction Clavier, 1805) : Cinyre et Métharné (fille de Pygmalion, roi de Chypre) ont deux fils (Oxyporus et Adonis) et trois filles (Orsédice, Laogora, Braesia). La myrrhe[modifier | modifier le code] Les larmes de Myrrha, métamorphosée en arbre, seraient à l'origine de la myrrhe[réf. nécessaire]. La myrrhe était précieuse dans l'Antiquité ; elle servait pour les embaumements. Le mot français « myrrhe » dérive du latin myrrha, lui-même dérivé du grec ancien μύρρα, múrra signifiant « parfum ». Développements ultérieurs[modifier | modifier le code] Peinture[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Myrrha, sur Wikimedia Commons

Laocoon Dans la mythologie grecque, Laocoon (pr. : \la.o.ko.ɔ̃\), du grec ancien Λαοκόων / Laokóôn, « celui qui comprend le peuple », de λαός laos « peuple » et κοέω koêô « entendre, comprendre », est l'un des protagonistes de l'épisode du cheval de Troie. Mythe[modifier | modifier le code] Les Troyens se divisent sur le sort du cheval : certains veulent le faire entrer dans la ville, en signe de victoire, d'autres sont d'avis de le brûler. Comme pour appuyer son récit, deux serpents arrivent de la haute mer alors que Laocoon sacrifie un bœuf à Poséidon. Lycophron, qui place la scène de l’attaque des serpents dans le temple d’Apollon, donne à ceux-ci les noms de Charibée et Porcé (ou Porcès). Les deux enfants de Laocoon sont les Laocoontides, Éthron et Mélanthos, qu’on nomme aussi Antiphas et Thymbrée. Dans l'Énéide[modifier | modifier le code] Cette scène est décrite avec force détails dans le chant II de l’Énéide de Virgile, l'un des plus célèbres passages de toute l'épopée.

Holopherne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Judith décapitant Holopherne, peint par Artemisia Gentileschi. Holopherne est un personnage du livre de Judith[1], qui fait partie des livres deutérocanoniques de l'Ancien Testament. C'est un général envoyé en campagne par Nabuchodonosor II[2]. Nabuchodonosor II, qui désigne ailleurs dans la Bible un roi des Chaldéens régnant sur Babylone de 605 à 562 av. J. Le récit biblique[modifier | modifier le code] Nabuchodonosor II a envoyé Holopherne, un de ses généraux, châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad (cf. Un thème pictural[modifier | modifier le code] Un thème littéraire[modifier | modifier le code] Un thème musical[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Ressource relative à la bande dessinée : (en) Comic Vine Ressource relative aux beaux-arts : (de + en + la) Sandrart.net

Albrecht von Wallenstein Albrecht von Wallenstein Armoiries des seigneurs de Wallenstein[1] Biographie[modifier | modifier le code] Années de formation[modifier | modifier le code] Albert-Venceslas Eusèbe dit « Wallenstein » est né le 24 septembre 1583 à Hermanitz sur l’Elbe. Il était issu de la vieille lignée tchèque des comtes de Valdštejn. Georg, cinquième fils de sa fratrie, n'avait fait qu'un modeste héritage ; sa femme, la baronne Margaretha von Smiřický (de) était d'une noblesse aussi ancienne que celle de Wallenstein. La mère de Wallenstein mourut le 22 juillet 1593, son père le 25 février 1595, les deux furent inhumés à Hermanitz[4]. À l'automne 1597, Henri von Schlum envoya son pupille poursuivre son éducation à l’école de latin de Goldberg-en-Silésie puis, au milieu de l'été 1599, à l’Université protestante d’Altdorf ; mais Wallenstein dut s'enfuir de cette ville dès le mois d'avril 1600, après avoir été mêlé à plusieurs exactions et, dans un accès de fureur, avoir laissé pour mort son serviteur[6].

Énigme de Samson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Énigme de Samson est un passage de l'Ancien Testament qui figure dans le Livre des Juges. Il aborde le sujet de la transformation intérieure grâce aux Écritures telles que la Bible et leurs mises en pratique. Samson et le lion, fontaine à Saint-Petersbourg Texte[modifier | modifier le code] Livre des Juges, chapitre 14, versets 4 à 20: « Son père et sa mère ne savaient pas que cela venait de l'Éternel: car Samson cherchait une occasion de dispute de la part des Philistins. Traduction d'après la Bible Louis Segond. Assiette creuse russe où est dessiné Samson Références[modifier | modifier le code] Portail de la Bible

Pauline Bonaparte Pauline Bonaparte (née Paolina de Buonaparte), princesse française, est la deuxième fille de Charles-Marie Bonaparte et de Maria Letizia Ramolino, et sœur de Napoléon Bonaparte. Elle est née le 20 octobre 1780 à Ajaccio, dans la maison familiale, et meurt le 9 juin 1825 à Florence. Elle était la sœur préférée de Napoléon. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Pour couper court à ces idylles, Bonaparte fait venir Pauline au château de Mombello, près de Milan, où il règne déjà comme un proconsul. Mariage[modifier | modifier le code] Napoléon francise son prénom en Pauline et lui fait épouser en 1797 Charles Victoire Emmanuel Leclerc, l'un des meilleurs généraux de la République, après avoir refusé sa main à Duphot, celui qui trouva la mort à Rome en 1797 lors d'une émeute (les jeunes sœurs de Charles Leclerc épouseront, l'une, le futur maréchal Davout et l'autre, le général de division Louis Friant). Le mariage est célébré à Milan le 14 juin 1797.

Robert-François Damiens Portrait de Damiens. Robert François Damiens, né le 9 janvier 1715 à La Thieuloye, près d'Arras (Pas-de-Calais) et exécuté le 28 mars 1757 à Paris, condamné par la Justice pour avoir tenté d'assassiner le roi Louis XV, fut la dernière personne, en France, à subir l'écartèlement, supplice réservé au régicide sous l'Ancien Régime[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Robert François Damiens est originaire d'une famille nombreuse de l'Artois, le huitième de dix enfants. Damiens est grand, mince et brun. En juillet 1756, il se réfugie chez sa famille à Arras après avoir volé 240 louis à son dernier maître[2]. L'attentat[modifier | modifier le code] L'arme du crime est un canif à deux lames rétractables acheté chez une marchande de quincaillerie, trouvé dans la poche de Damiens. Damiens, alors que les gardes lui tenaillent les pieds avec des pincettes rougies au feu, s'écrie : « Qu'on prenne garde à M. le Dauphin ! L'instruction[modifier | modifier le code] À Paris, l'agitation est grande.

Édith au Col de cygne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Édith retrouvant le corps de Harold après la bataille d'Hastings par Horace Vernet (1828). Édith au Col de cygne (Edith Swanneck en anglais) est une Anglaise du XIe siècle. Elle est la première conjointe d'Harold Godwinson, dernier roi anglo-saxon d'Angleterre. Bien qu'ils ne se soient jamais mariés, leur union durable donne naissance à six enfants au moins. D'après la légende, c'est elle qui aurait identifié le corps de son amant sur le champ de bataille d'Hastings, en 1066. Biographie[modifier | modifier le code] La relation entre Harold et Édith semble avoir débuté dans les années 1040, alors qu'il est comte d'Est-Anglie. D'après la tradition de l'abbaye de Waltham, deux moines, Osgod Cnoppe et Æthelric Childemaister, auraient persuadé Guillaume le Conquérant de les laisser récupérer le corps du roi Harold après la bataille d'Hastings, le 14 octobre 1066. Descendance[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

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