Hello ! Je suis ton ERP et je te parle ! | Bloc-Notes de Bertran Je voudrais vous parler ici de ce que pourrait être notre environnement de travail dans un avenir relativement proche si ce que j’identifie comme étant deux tendances majeures venaient à arriver à maturité. La première est l’ »ambient awareness », terme que je préfère à microblogging qui n’est que son incarnation du moment en termes d’outils. Il s’agit tout simplement de la capacité de capter en permanence des signaux faibles émanant de son environnement de travail, afin d’avoir de quoi se comporter non plus comme un acteur isolé mais comme un acteur au sein d’un écosystème, permettant de mettre en cohérence les actions et décisions de l’un et de l’autre. La seconde est constituée des « activity-specific social application » ou encore social software 2.0. Avant tout je vais partir d’un présupposé : on recherche (et on recherchera toujours) à automatiser tout ce qui est automatisable. Un des terrains d’expression favoris de ces pratiques nouvelles est la « bouteille à la mer ». ou encore…
Chipwrapper Blog Intérêt du Personnal Knowledge Management en organisation Résumé : Un grand mérite de la Gestion Personnelle des Connaissances* (PKM) est de remettre l’utilisateur au centre du dispositif KM. Certes ses enjeux en organisation paraissent modestes relativement à d'autres leviers d'action KM. Mais, peu coûteux en moyens, le PKM permet d'obtenir des résultats rapides auprès des opérationnels. Idéal pour le Knowledge Manager qui doit d'abord faire ses preuves. I. Les promoteurs du PKM n'hésitent pas à s'opposer aux approches centrées sur la codification ou sur l'échange de connaissances. La surabondance d’informations est l'obstacle majeur rencontré par un grand nombre de collaborateurs. Le PKM se distingue en apportant des outils et des méthodes applicablespar l'opérationnel, pour l'opérationnel, à son niveau individuel. II. Le PKM optimise donc le travail de consommation des informations et des connaissances. III. Le PKM est donc une corde parmi d'autres à l'arc du Knowledge Manager.
La diffusion d’une innovation D’après les théories relatives à l’innovation, une innovation se diffuse dans la société en suivant un processus qui touche différentes catégorie de consommateurs, des plus enthousiastes jusqu’aux plus réticents face à la technologie. E.M. Rogers a modélisé ce processus par une courbe de diffusion (dite courbe en S ou courbe en cloche) en y associant les différents profils de consommateurs correspondant aux différentes phases du processus d’adoption. Le challenge étant d’arriver à passer d’une diffusion confidentielle (innovators et early adopters) à une diffusion de masse (majorité avancée et retardée) qui représente plus de 60 % du marché potentiel. Ainsi, plusieurs facteurs conditionnent la rapidité d’adoption par les consommateurs et de diffusion de l’innovation dans la société. Ces facteurs peuvent être de deux natures différentes : Le modèle de diffusion d’une innovation Les facteurs endogènes qui facilitent l’adoption Les facteurs exogènes qui créent un contexte favorable Everett M.
Réseaux sociaux, messagerie instantanée, messagerie unifiée : tous ces nouveaux usages, parfois regroupés sous l'étiquette commode du 2.0, peinent à faire leur trou dans les entreprises françaises. A l'inverse, les utilisateurs (le panel choisi par Jemm pour son étude sponsorisée par IBM se composait à 50-50 d'utilisateurs métiers et d'informaticiens) continuent à plébisciter les outils traditionnels, notamment l'e-mail . "Sa suprématie n'est absolument pas remise en cause, observe Christophe Toulemonde, directeur du cabinet. Il y a un consensus autour des outils traditionnels et la méconnaissance des outils modernes ne plaide pas pour le remplacement d'Office ou du mail". Si le constat est brutal, il masque tout de même la lente progression des outils 2.0 dans les organisations... ou, à défaut, leur usage via des terminaux mobiles (qualifiée "d'informatique souterraine" par Jemm). "La DSI impose ses choix" Un état de fait que les utilisateurs ne remettent pas vraiment en cause.
CHIC&FATAL Innovation: 10 trucs pour faire germer les idées créatives - str Formation de Philippe Meunier sur la créativité - Source: Jeune chambre de commerce de Montréal «La créativité est essentielle en affaires. Lorsqu’une entreprise, peu importe son domaine d’activités, perd le désir d’aller dans des zones d’inconfort et cesse d’explorer de nouvelles dimensions, elle perd toute son intelligence et sa vitalité», soutient Philippe Meunier, chef de la création et associé principal chez Sid Lee, une agence de marketing, design, communication et publicité. PLUS: La clé du leadership en affaires: la créativité Dans le cadre du volet «Prendre sa place, laisser sa marque!» Aux comptables, ingénieurs, conseillers en gestion et autres professionnels présents, le cofondateur de Sid Lee a affirmé que chacun d’eux a un côté créatif. «Tout le monde est créatif, mais certains ont la chance d’arriver plus facilement dans l’inconnu», a-t-il lancé. Dix mots, dix trucs pour faire place à la création, selon Philippe Meunier : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Post Mortem – 3 ans à l’incubateur HEC Il y a 3 ans jour pour jour, le 1er septembre 2008, je débarquais sur le campus HEC avec pour mission de monter l’incubateur HEC. Nous sommes aujourd’hui le 1er septembre 2011, et j’entame une nouvelle aventure, avec (enfin) le retour à ce que je préfère, le lancement de startup. Ce combo « date anniversaire + page qui se tourne » m’a donné envie, autant pour moi que pour le partage, de faire un bilan de ces 3 années… Beaucoup d’apprentissage(s)… Si je fais le bilan de mon passage à la tête de l’incubateur HEC, je retiens d’abord l’incroyable chance en termes de formation pour moi : passer trois ans à décortiquer les clés du succès des entrepreneurs, à apprendre de leurs erreurs, à vivre aux côtés de plus de 80 startups, à rencontrer des entrepreneurs qui ont réussi et fait grandir de belles pousses… forcément qu’il en reste quelque chose ! Nous avons enfin un écosystème de startups : la machine est en marche ! Si vous passez de temps en temps par ici, c’est un thème que j’aborde souvent.
Management 2.0 : l’intra Vendredi dernier Marc de Fouchecour m’a invité (encore merci) aux Arts & Métiers Paristech pour échanger avec Tarik Lebtahi le maître d’oeuvre de l’intranet 2.0 de Dassault Systemes (entreprise dont j’ai déjà parlé ici ). Vous retrouverez les échanges sur twitter autour de cette conférence avec #sysico14 . Cela a été un moment très riche, tant par l’enthousiasme dont Tarik a fait preuve, que par la diversité des supports qu’il nous a présenté et l’intérêt des échanges. Ce billet fait suite en quelque sorte au retour d’expérience sur SFR, dont j’avais parlé ici . Là encore plus que l’intranet en tant que tel, c’est bien aux usages que je vais m’intéresser. D’ailleurs, nos échanges avec Tarik ont beaucoup plus porté sur ce sujet, que sur les différents briques (entièrement développées en interne) qui composent cet intranet (3D, forum, blog, wiki, video…). Le maître mot étant « usage ». En effet, cela permet de capitaliser de manière rapide. Travail collaboratif en entreprise
enFemenino.com : Moda, Tendencias, Belleza, Astro, Adelgazar, Te Information, surinformation, mésinformation Quand la surabondance crée la redondance La surabondance crée la redondance. Plus nous avons de moyens d’information à notre disposition, plus nous avons tendance à ressasser les mêmes nouvelles. Il y a donc une rançon à payer pour la facilité (apparente) de documentation et le « tout disponible, tout de suite de partout » que représente le Net. Tandis que le journal tend à devenir le journal unique, traitant les mêmes sujets dans le même ordre et dans la même optique, À la télévision, le contraste est frappant entre le nombre d’images théoriquement disponibles (chaque événement est couvert par un grand nombre de télévisions, et celles-ci sont de plus en plus accessibles sur le câble) et le fait que nous voyons partout les mêmes images répétitives à peu près montées de la même façon. Tout professeur sait désormais lorsqu’il lit un texte de ses étudiants qu’il a de fortes chances de retrouver des textes dont ils ne sont pas les auteurs sans guillemets, souvent fautes de frappe comprise.
The Client Consultant Innovating Dilemma In the UK there has been an excellent study looking specifically at the client and consulting relationships through the provision of innovation services. It was published in October 2011 entitled “Management innovation in the UK consulting industry”, by Dr. Joe O’Mahoney, a Fellow at the Advanced Institute of Management and a Lecturer at Cardiff University and commissioned with the Institute of Consulting. The aim of the report is to stimulate consultancies to be more innovative and therefore add more value to their clients. For me, this is an objective I really welcome looking around at all the ‘safety first’ approaches going on in this area by many consultants, big and small, when it comes to exploring innovation and not pushing innovations ‘edges’ more. The report can be viewed here: I’m sure many points are equally applicable to innovation consulting globally as many interviewed have global practices. Some key finding emerging from the study