Conjecture de protection chronologique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La conjecture de protection chronologique est une formulation de Stephen Hawking traduisant l'impossibilité de voyager dans le temps. Comme son nom l'indique, elle signifie que Stephen Hawking pense que le voyage dans le temps est impossible, même si dans l'état actuel des connaissances, la relativité générale montre qu'il existe théoriquement des possibilités de construire des trous de ver permettant de remonter le temps. Stephen Hawking explique qu'une tentative de courbure de l'espace-temps visant à créer un tel passage serait avortée par les fluctuations de champs quantiques. D'autres physiciens reprennent la conjecture de Stephen Hawking avec d'autres arguments. Cette conjecture assure que les paradoxes temporels ne se poseront jamais.
Inflation cosmique
Inflation cosmique (en beige), avant 10-32 seconde. L'inflation cosmique est un modèle cosmologique s'insérant dans le paradigme du Big Bang lors duquel une région de l'Univers comprenant l'Univers observable a connu une phase d'expansion très rapide qui lui aurait permis de grossir d'un facteur considérable : au moins 1026 en un temps extrêmement bref, compris entre 10-36 et 10-33 secondes après le Big Bang. Ce modèle cosmologique offre une solution à la fois au problème de l'horizon et au problème de la platitude. Cette phase d'expansion, nommée « inflation » en 1979 par son premier théoricien, le physicien américain Alan Guth[1], se serait produite très tôt dans l'histoire de l'Univers, à l'issue de l'ère de Planck ou peu après, de l'ordre de 10-35 seconde après le Big Bang. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'explication du fait que l'Univers pût être homogène et isotrope était par contre inconnue. Principe général de l'inflation[modifier | modifier le code]
Multivers
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de multivers désigne l'ensemble de tous les univers possibles, parmi lesquels figure notre univers observable. Approche scientifique[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs théories de multivers. d'Hugh Everett, où l'univers (ainsi que l'observateur lui-même) fourche à chaque observation d'état quantique sans que les lois fondamentales en soient changées. Si plusieurs physiciens, comme David Deutsch, s'emploient à trouver des moyens de confirmer ou d'infirmer cette existence du multivers[3], la littérature de science-fiction y avait très tôt trouvé un vaste thème à exploiter, souvent combiné avec celui du voyage temporel. Dans les œuvres de fiction[modifier | modifier le code] Littérature Dans un registre moins loufoque, Philip K. Multiversum, roman de science-fiction de Leonardo Patrignani, parle d'un multivers grâce auquel Alex et Jenny, deux adolescents, se trouvent. Cinéma et télévision Voir aussi[modifier | modifier le code]
Censure cosmique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En astrophysique, le terme de censure cosmique (cosmic censorship en anglais) désigne une conjecture à propos de la nature des singularités dans l'espace-temps. Selon elle, il n'existe pas de processus physique donnant naissance à une singularité nue, c'est-à-dire une région de l'espace dont le champ gravitationnel prend des valeurs infinies et qu'il n'est de ce fait pas possible de décrire à l'aide de la relativité générale. Le terme de « censure cosmique » est entre autres l'œuvre du mathématicien britannique Roger Penrose. Il a une connotation humoristique, la « censure » visant à « cacher » au reste de l'univers les objets appelés singularités dites « nues ». Introduction et motivations[modifier | modifier le code] La relativité générale décrit les phénomènes gravitationnels dans l'univers. Anecdote[modifier | modifier le code] Expérimentation[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Robert M.
Notre existence a t-elle un sens?
Paradoxe de l'information
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les propriétés étranges d'un trou noir sont à l'origine d'un paradoxe physique important : le paradoxe de l'information En astrophysique, le paradoxe de l'information est un paradoxe mis en évidence par Stephen Hawking en 1976[S 1] opposant les lois de la mécanique quantique à celles de la relativité générale. Ces postulats impliquent que tout état physique est représentée par une fonction d'onde, dont l'évolution dans le temps est gouvernée par l'équation de Schrödinger. Ce problème est considéré comme fondamental et pouvant remettre en question les théories physiques actuelles, de la même manière que la catastrophe ultraviolette a en son temps remis en question la physique classique[P 1]. Le paradoxe[modifier | modifier le code] Selon Hawking, la perte d'information justifiée par les propriétés des trous noirs. et que le trou noir ne possède absolument aucun détail, aucun "poil", aucune structure fine supplémentaire visible de l'extérieur.
Les 20 questions ouvertes de la cosmologie
Les 20 questions ouvertes de la cosmologie Introduction (I) Au seuil d'un nouveau millénaire, il est intéressant de voir le chemin parcouru depuis les prémices des deux théories cadres de la physique, la physique quantique et la relativité, mais surtout de mettre le doigt sur les écueils de ces théories et leurs extensions quand il s'agit de décrire ou de prédire de nouveaux phénomènes. En matière d'astronomie et de cosmologie par exemple, les astrophysiciens d'aujourd'hui sont confrontés à une série d'énigmes scientifiques. Elles touchent en fait bien plus de domaines que leurs disciplines respectives car elles ont des implications dans un grand nombre de théories connexes. Or, depuis plus d'un demi-siècle, nous savons que la physique quantique et la relativité ne peuvent pas tout expliquer. Les questions sont d'autant plus intéressantes qu'elles sont étroitement liées les unes aux autres. 1. La supersymétrie implique une extension du modèle Standard des particules élémentaires 2. 3.
temps imaginaire (temps complexe)
foutaises bogdanov