Contes à rebours (20') Ponctuée d'extraits de son spectacle "Contes à Rebours", cette vidéo vous invite à mettre "à l'endroit" les contes de fées avec Typhaine D (metteuse en scène, comédienne, autrice). Elle nous parle ici de sa réécriture égalitaire des contes. Vous ne verrez plus jamais pareil le Petit Poucet, Blanche neige, La Belle au bois dormant, Peau-d'âne, le petit Chaperon rouge, Cendrillon, etc...La vidéo c'est bien, mais dans ce cas, le spectacle vivant c'est mieux :Si vous voulez organiser une représentation près de chez vous, accompagné ou non d'échanges avec les élèves ou les équipes pédagogiques, ou d'ateliers, contacter Typhaine D : info@typhaine-d.comPour en savoir plus sur cette artiste : www.typhaine-d.com Vous trouverez ci-dessous dans la section "Vidéos associées" des capsules vidéos avec Typhaine D à l'adresse des enfants de primaire
«L'humour et les injures sexistes bénéficient d'une grande tolérance sociale» C’est un mal sournois, qui semble solidement implanté, sans que l’on sache précisément dans quelle mesure. Dès lors, comment l’endiguer ? Jusqu’à ce jeudi, il était difficile de mesurer l’ampleur du sexisme en France. Voilà qui est désormais réparé : le Haut Conseil à l’égalité (HCE) vient de rendre public le premier état des lieux de ce fléau. Non qu’il vienne tout juste de débouler dans l’Hexagone (loin de là), mais aussi surprenant que cela puisse paraître, aucune disposition législative ne contraignait à pareil examen, jusqu’à la loi relative à l’égalité et la citoyenneté du 27 janvier 2017. LIRE AUSSI:Le pouvoir a-t-il un sexe? «Entre-soi masculin» Tout au long du mois de novembre, la très sérieuse institution a passé au crible près de 70 contenus humoristiques diffusés dans des matinales radio, des vidéos YouTube, ou sur Internet. Autre pandémie sexiste : l’injure. A lire aussi Inventaire à la pervers des insultes de rue A lire aussiComment faire la peau du sexisme au boulot
Colin Stokes: Colin Stokes : Comment les films nous enseignent la virilité Sexisme à l'école, silence dans les rangs Une ado de 15 ans plaquée contre le mur des toilettes du lycée professionnel Gallieni de Toulouse et victime d'attouchements de la part de trois agresseurs. Des élèves de terminale du lycée Camille Pissarro de Pontoise (Val d'Oise) qui, parce qu'elles seraient trop court-vêtues, doivent affronter des camarades masculins hilares, mimant des actes pornos et les injuriant sans retenue - "sale pute", "gros cul", "t'es bonne"... La vidéo d'une toute jeune fille ayant des rapports sexuels avec deux garçons qui circule de téléphone en téléphone, sans le consentement bien sûr de l'intéressée, auprès de ses pairs du lycée d'Alembert, dans le XIXe arrondissement parisien. Ce "tu suces ?" jeté au visage d'une élève du lycée Jacques-Prévert, à Savenay, près de Nantes, pour avoir eu l'"audace", encore une fois, de porter une jupe avec des chaussettes hautes et des souliers à talons. LIRE AUSSI >> N'abandonnons pas les filles Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Si les parents savaient..."
"Viril" ou la catharsis féministe de Virginie Despentes, Béatrice Dalle et Casey Lumières aveuglantes, guitare électrique et musique qui martèle comme pour nous plonger en transe... Dès les premières minutes, le public est sous tension. On n'est pas là pour s'amuser, on va en prendre plein la figure. Et c'est le but. Béatrice Dalle ouvre le bal. Casey enchaîne et garde le rythme - normal pour une rappeuse. Virginie Despentes entre en scène, avec sa voix grave et saccadée, un peu à la Sagan. L'illustration sonore, un post-rock hypnotique, nous maintient en apnée, face aux coups de poings que nous assènent les trois artistes, l'une après l'autre. C'est une lettre d'amour, et de souffrance, qui vient clôre la performance sur une note de fausse douceur : la colère, désormais, appartient au passé. La salle était comble. Ce spectacle légitimise la colère diffuse que l'on a en nous et donne de la force pour la suite. "Cela fait du bien de prendre cela en pleine face. Vos moments préférés, les plus marquants ? Je trouve qu'un espace non inclusif, c'est super important.
Palmarès-Buzzons-8: Palmarès Saison 8 (2018-2019) Notre nouveau record, cette saison nous avons reçu 186 vidéos (dont 55 en Occitanie) de 12 régions en France (61 départements+ 4 DOM TOM) et la participation de 15 autres pays (Allemagne, Bulgarie, Cambodge, Danemark, Égypte, Espagne, Grande-Bretagne, Ile Maurice, Maroc, Népal, Portugal, Roumanie, El Salvador, Suisse, , Turquie, Soit autour de 3000 participant.e.sLe choix du jury a été difficile, les vidéos sont réalisées dans des cadres très divers comme des établissements scolaires généraux, professionnels, des lycées agricoles, des centres de préventions, des centres de loisirs, ou des vidéos autonomes..Certaines équipes sont accompagnées d'intervenant-es vidéo, d'autres non, le matériel est parfois très modeste, parfois plus sophistiqué...Mais toutes les équipes ont fourni un travail remarquable d'engagement et de créativité, BRAVO à tout.e.s et merci au jury et à nos partenaires.Vous trouverez les liens vers les palmarès des saisons précédentes tout en bas de cette page 3e PRIX
“Haut les filles” : documentaire-rock empathique et féministe - Profession Spectacle le Mag' Haut les filles est un documentaire sympathique sur le rock au féminin, un film sans prétention et qui donne une pêche d’enfer. Ou comment joindre empathie et féminisme !. Haut les filles est un documentaire sur soixante ans de présence des femmes sur la scène musicale en France. D’une part parce qu’il met habilement en perspective plus d’un demi-siècle de présence des femmes sur la scène du rock’n’roll et de la pop musique, et d’autre part parce que la musique entendue donne envie de bouger et d’adhérer aux discours des intervenantes. Le réalisateur François Armanet donne la parole à dix femmes : Jeanne Added, Jehnny Beth, Lou Doillon, Brigitte Fontaine, Charlotte Gainsbourg, Françoise Hardy, Imany, Camelia Jordana, Elli Medeiros, Vanessa Paradis, laissant ces artistes témoigner de l’intersection entre leur carrière et leur féminité, la voix-off d’Elisabeth Quin permettant de relier agréablement ces images et ces sons. Laurent SCHÉRER François Armanet, Haut les filles, France, 2019, 79mn
Qui va garder les enfants ? - Programmation - Théâtre de Belleville “Nicolas Bonneau est seul en scène, dans un décor qui lui permet de bouger, de passer d’une voix à une autre, de se glisser de la narration à la saynète savoureuse. Lumières, musiques, costumes, son, tout ici est au service d’une parole offerte sans candeur, mais sans férocité non plus. Son talent, la délicatesse de son intelligence et de sa personne servent un propos qui met en lumière les femmes.” LE FIGARO - Armelle Héliot "Venez rencontrer Simone Veil, Olympe de Gouges, Christiane Taubira, Yvette Roudy etc., car nous avons passé un excellent moment avec ces femmes qui n’ont rien à envier aux hommes." "Le public est convié à rêver de l’avenir de la femme en politique sous l’œil étonné et transi de Nicolas Bonneau qui lui déclare sa flamme !" "C'est très joli, c'est très simple, très fin et c'est jusqu'au 31 mars au Théâtre de Belleville." "Un hommage réussi qui bouscule son statut de « mâle dominant »". "Un excellent conteur dont on boit les paroles pendant 1h20."
Vidéos : Petit guide d'utilisation La plupart des vidéos ont été réalisées par Télédebout, certaines ont été trouvées sur Internet, d'autres nous ont été « offertes ».Le texte d'accompagnement sur chaque page vous permet de trouver les principales informations sur les vidéos et leurs auteures, et des liens éventuels vers d'autres documents pouvant compléter cette vidéo. Vous avez un mode plein écran en bas à droite, sur la barre de navigation du lecteur vidéo. Certaines vidéos sont très courtes, ludiques et/ou effleurent seulement les sujets, d'autres sont plus longues, en plusieurs parties, et permettent une vraie plongée au cœur de la thématique. Vous passez d'une partie à l'autre en cliquant sur les flèches de la barre de navigation. La durée des vidéos est indiquée dans la légende placée sous l'icône qui les symbolise dans les mosaïques d'images de chaque espace. Si vous placez votre curseur sur les icônes dans les mosaiques (sans cliquer), vous lirez une ligne un peu plus détaillée sur le thème de la vidéo.
Palmarès 2018 - CLEMI Le CLEMI est fier de dévoiler le palmarès de la 6ème édition du Concours #ZéroCliché. Cette année, les participations ont battu les records avec 603 productions reçues pour un total de 3 979 élèves impliqués. Le CLEMI remercie les élèves et les enseignants ainsi que le jury du concours. Articles Collège George Sand (Châtellerault) La vie en rose ? Jeanne Paindavoine & Marion Missy Du Lycée Saint-Paul (Lille) Dessins/Affiches Lycée René Cassin (Oslo) Vidéos Audio/Radio Collège Bourgchevreuil (Cesson Sévigné) Rap sur le Sexisme Prix Spécial du Jury Lycée Issec Pigier (Toulouse) Stéréogame Prix du CLEMI Collège Bissy (Chambéry) Mentions spéciales Audio/Radio Lycée Général Jean Monnet (Blanquefort)
Humour: quatre spectacles féministes pour passer l'hiver à Paris Comptines sur l’épisiotomie, conférence sur les règles… quatre stand-uppeuses à suivre dans le sillage de Blanche Gardin, Océanerosemarie et Agnès Hurstel. Laurie Peret Quoi? Où et quand? Klaire fait grr Quoi? Où et quand? Tania Dutel © Christine Coquilleau Quoi? Où et quand? Marina Rollman Quoi? Où et quand? Clémentine Gallot Le bruit de nos silences | France téléspectateurs, tout savoir sur France télévisions Comment briser le silence entretenu autour des questions sexistes, de la domination masculine, du consentement, des violences de genre ? Ce film inédit apporte une réponse, en donnant de l’espace et de la visibilité aux paroles, féminines comme masculines. Originaire des Antilles, D’ de Kabal est un artiste polymorphe (slameur, rappeur, auteur, acteur et metteur en scène) habité par la passion des mots et de l'engagement, qu’il met aujourd’hui au service des femmes, du féminisme, mais aussi... des hommes. Le but, mettre à mal les mécanismes ataviques générés par des siècles de stéréotypes dans les rapports homme/femme. Ce documentaire retrace la quête humaine, personnelle et collective, sociologique et artistique de D’ en Martinique, avec des femmes et des hommes qui s'interrogent sur leurs habitudes et leur fonctionnement, afin de découvrir, ensemble, comment se réinventer et faire communauté.