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Et tout le monde s'en fout - Le sexisme ordinaire au travail

Et tout le monde s'en fout - Le sexisme ordinaire au travail
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#DreamBigPrincess, la campagne Disney qui défonce les stéréotypes LIBÉÉRÉÉE, DÉLIVRÉÉÉE… Ok j’arrête. La révolution Disney en marche Bien que les personnages féminins Disney aient toutes à leur manière quelque chose de badass ou qui nous a fait rêver lorsque nous étions enfants, elles ont également été pas mal critiquées ces derniers temps. Notamment à cause de l’image de la princesse ayant besoin de son prince charmant. Mais depuis quelques années, Disney renverse la vapeur en mettant en avant des caractères comme Anna dans la Reine des Neiges. Même si les actes d’Elsa partent d’une bonne intention + qu’il fallait une sacrée paire d’ovaires pour tout plaquer dans le but de protéger ses proches, je la trouve maladroite — elle a failli buter sa sœur plusieurs fois quasi volontairement quand même —, un peu lâche et parfois irréfléchie. Il y a également Vaiana l’aventurière et Judy Hopps de Zootopie, qui m’a foutu une sacrée claque doublée d’une bonne leçon de morale genre : #DreamBigPrincess, un hashtag qui fait du bien Parmi elles : Voyez plutôt :

Contes à rebours (20') Ponctuée d'extraits de son spectacle "Contes à Rebours", cette vidéo vous invite à mettre "à l'endroit" les contes de fées avec Typhaine D (metteuse en scène, comédienne, autrice). Elle nous parle ici de sa réécriture égalitaire des contes. Vous ne verrez plus jamais pareil le Petit Poucet, Blanche neige, La Belle au bois dormant, Peau-d'âne, le petit Chaperon rouge, Cendrillon, etc...La vidéo c'est bien, mais dans ce cas, le spectacle vivant c'est mieux :Si vous voulez organiser une représentation près de chez vous, accompagné ou non d'échanges avec les élèves ou les équipes pédagogiques, ou d'ateliers, contacter Typhaine D : info@typhaine-d.comPour en savoir plus sur cette artiste : www.typhaine-d.com Vous trouverez ci-dessous dans la section "Vidéos associées" des capsules vidéos avec Typhaine D à l'adresse des enfants de primaire

Océan: en tant que personne trans, "on vit des croisements de discriminations" Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car : Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner. Vous utilisez un bloqueur de publicité. LGBT+ - “Qu’est-ce qui se passe quand on est un féministe radical comme moi et que, tout d’un coup, on dit ‘monsieur’ dans une boulangerie?” Lorsque que l’on ne connaît pas l’humoriste à qui l’on doit La lesbienne invisible, Chatons violents ou encore Embrasse-moi, les étiquettes “homme”, “blanc”, “hétéro”, voire “bourgeois”, sont faciles à coller à Océan. “Maintenant, t’es passé de l’autre côté, t’appartiens au groupe des hommes”, “tu peux plus dire que t’es féministe”, sont des phrases qu’il a pu entendre à de nombreuses reprises. “J’ai gagné en confort, pas en privilèges” “Je n’ai pas gagné en privilèges, comme beaucoup de personnes le sous-entendent. En revanche, ajoute-t-il: “oui, j’ai gagné en confort. Personne “sexisée”

«L'humour et les injures sexistes bénéficient d'une grande tolérance sociale» C’est un mal sournois, qui semble solidement implanté, sans que l’on sache précisément dans quelle mesure. Dès lors, comment l’endiguer ? Jusqu’à ce jeudi, il était difficile de mesurer l’ampleur du sexisme en France. Voilà qui est désormais réparé : le Haut Conseil à l’égalité (HCE) vient de rendre public le premier état des lieux de ce fléau. Non qu’il vienne tout juste de débouler dans l’Hexagone (loin de là), mais aussi surprenant que cela puisse paraître, aucune disposition législative ne contraignait à pareil examen, jusqu’à la loi relative à l’égalité et la citoyenneté du 27 janvier 2017. LIRE AUSSI:Le pouvoir a-t-il un sexe? «Entre-soi masculin» Tout au long du mois de novembre, la très sérieuse institution a passé au crible près de 70 contenus humoristiques diffusés dans des matinales radio, des vidéos YouTube, ou sur Internet. Autre pandémie sexiste : l’injure. A lire aussi Inventaire à la pervers des insultes de rue A lire aussiComment faire la peau du sexisme au boulot

Street Artist Wants the World to Fight Catcalls, One Poster at a Time It’s been two years since Brooklyn-based illustrator and painter Tatyana Fazlalizadeh launched “Stop Telling Women to Smile,” a series of sketches that turns the spotlight on the problem of gender-based street harassment. Fazlalizadeh put her eye-catching pictures up around New York City, and the images, with captions that address the catcalling women commonly experience when they’re walking down the street, went viral across the Web. Now, as part of International Anti–Street Harassment Week, Fazlalizadeh is spearheading an international night of wheat-pasting her images in public, an art-based effort for people who want to end street harassment. (Photo: 'The Librarian Loves'/'Stop Telling Women to Smile'/Tumblr) “On April 18, walls across the world will bear the faces and words from women protesting street harassment,” said Fazlalizadeh in a statement. The artist’s campaign is the latest in women’s attempts to address the problem of not feeling comfortable in their own neighborhoods.

Colin Stokes: Colin Stokes : Comment les films nous enseignent la virilité Homophobie : le témoignage d'un jeune rejeté par ses proches Cet article date de plus de trois ans. Publié le 21/01/2020 21:41 Mis à jour le 21/01/2020 22:17 Durée de la vidéo : 2 min En France, il est parfois difficile d'assumer ouvertement son homosexualité. Anthony, 21 ans, raconte comment il a été rejeté par ses parents, après leur avoir révélé, il y a quelques mois, qu'il était gay. C'est à Nice, dans les Alpes-Maritimes, qu'Anthony a commencé une nouvelle vie. Le jeune homme poursuit : "Mon frère de 18 ans est descendu avec un grand sourire et il m'a dit : 'J'ai pas envie de dormir avec une tapette, j'ai pas envie que tu me fasses des attouchements.'" Partager : l'article sur les réseaux sociaux L’actu à 18h30 Tous les soirs, recevez l'essentiel de l'actualité France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "L’actu à 18h30".

Sexisme à l'école, silence dans les rangs Une ado de 15 ans plaquée contre le mur des toilettes du lycée professionnel Gallieni de Toulouse et victime d'attouchements de la part de trois agresseurs. Des élèves de terminale du lycée Camille Pissarro de Pontoise (Val d'Oise) qui, parce qu'elles seraient trop court-vêtues, doivent affronter des camarades masculins hilares, mimant des actes pornos et les injuriant sans retenue - "sale pute", "gros cul", "t'es bonne"... La vidéo d'une toute jeune fille ayant des rapports sexuels avec deux garçons qui circule de téléphone en téléphone, sans le consentement bien sûr de l'intéressée, auprès de ses pairs du lycée d'Alembert, dans le XIXe arrondissement parisien. Ce "tu suces ?" jeté au visage d'une élève du lycée Jacques-Prévert, à Savenay, près de Nantes, pour avoir eu l'"audace", encore une fois, de porter une jupe avec des chaussettes hautes et des souliers à talons. LIRE AUSSI >> N'abandonnons pas les filles Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Si les parents savaient..."

Les filles, les garçons et les jouets genrés La sociologue Elizabeth Sweet a analysé plus de 7 300 jouets proposés dans les catalogues de la chaîne américaine de magasins Sears, depuis un siècle. Elle a constaté que les plus anciens jouets genrés renforçaient les rôles traditionnels - tels que « la petite ménagère » ou le « jeune bricoleur ». À la fin du siècle, les personnages étaient plus fantastiques : la ménagère était devenue une princesse ; le charpentier, un super-héros. Cette évolution n'a pas été linéaire. Avec la montée du féminisme dans les années 1970, rappelle Elizabeth Sweet, les jouets genrés ont décliné : dans le catalogue Sears de 1975, seuls 2 % des jouets étaient classés selon le sexe de l'enfant. Mais dans les années 1980, la balance a commencé à pencher dans l'autre sens. Cibler les jouets selon le genre a des conséquences. Par exemple, la gamme Lego Friends, qui vise les filles, se concentrer sur le jeu de rôle, et non sur la construction. Les garçons semblent aussi jouer différemment.

"Viril" ou la catharsis féministe de Virginie Despentes, Béatrice Dalle et Casey Lumières aveuglantes, guitare électrique et musique qui martèle comme pour nous plonger en transe... Dès les premières minutes, le public est sous tension. On n'est pas là pour s'amuser, on va en prendre plein la figure. Et c'est le but. Béatrice Dalle ouvre le bal. Casey enchaîne et garde le rythme - normal pour une rappeuse. Virginie Despentes entre en scène, avec sa voix grave et saccadée, un peu à la Sagan. L'illustration sonore, un post-rock hypnotique, nous maintient en apnée, face aux coups de poings que nous assènent les trois artistes, l'une après l'autre. C'est une lettre d'amour, et de souffrance, qui vient clôre la performance sur une note de fausse douceur : la colère, désormais, appartient au passé. La salle était comble. Ce spectacle légitimise la colère diffuse que l'on a en nous et donne de la force pour la suite. "Cela fait du bien de prendre cela en pleine face. Vos moments préférés, les plus marquants ? Je trouve qu'un espace non inclusif, c'est super important.

H24 - 07H - Signes - Regarder la série Elle a travaillé toute la nuit et s’endort dans le premier bus du matin. Son voisin lui tapote l’épaule pour la réveiller. Sur son portable, il a écrit : "Je peux lécher ta chatte ?" Emprise, revenge porn, féminicide, codes vestimentaires sexistes… : H24 éclaire les diverses formes d’abus dont peuvent souffrir les femmes à chaque heure du jour et de la nuit, à travers une collection de vingt-quatre courts métrages inspirés de faits réels. Palmarès-Buzzons-8: Palmarès Saison 8 (2018-2019) Notre nouveau record, cette saison nous avons reçu 186 vidéos (dont 55 en Occitanie) de 12 régions en France (61 départements+ 4 DOM TOM) et la participation de 15 autres pays (Allemagne, Bulgarie, Cambodge, Danemark, Égypte, Espagne, Grande-Bretagne, Ile Maurice, Maroc, Népal, Portugal, Roumanie, El Salvador, Suisse, , Turquie, Soit autour de 3000 participant.e.sLe choix du jury a été difficile, les vidéos sont réalisées dans des cadres très divers comme des établissements scolaires généraux, professionnels, des lycées agricoles, des centres de préventions, des centres de loisirs, ou des vidéos autonomes..Certaines équipes sont accompagnées d'intervenant-es vidéo, d'autres non, le matériel est parfois très modeste, parfois plus sophistiqué...Mais toutes les équipes ont fourni un travail remarquable d'engagement et de créativité, BRAVO à tout.e.s et merci au jury et à nos partenaires.Vous trouverez les liens vers les palmarès des saisons précédentes tout en bas de cette page 3e PRIX

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