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Manager l’attention : un challenge pour l’entreprise de demain

Manager l’attention : un challenge pour l’entreprise de demain
Cela faisait longtemps que j’avais prévu d’aborder le sujet et la présentation de Julien Le Nestour au dernier Enterprise 2.0 forum n’a fait que conforter mon intention. Face à la déferlante d’information et au temps qu’il nous faut lui consacrer pour en prendre connaissance, la traiter, la générer, le temps est une variable clé. (D’ailleurs même ignorer l’information prend du temps…). Cette question de priorisation et de hiérarchisation se pose d’autant plus fortement dans le cadre d’une unification des contextes qui se traduit concrêtement par ce que l’on appelle la “home page unique personnalisée” ou “l’activity stream unique” qui est aujourd’hui une demande forte des utilisateurs et des entreprises et que les éditeurs de logiciels vont devoir inévitablement adresser dans les temps à venir. Reste à identifier les critères objectifs de la priorisation. J’ajouterai qu’un dernier niveau de complexité s’offre à nous sur le sujet. Google+

Les réseaux sociaux d’entreprise, le nouveau Far-West des Ressources Humaines Avec l’entrée en bourse de Facebook pour un montant considérable de 100 milliards de Dollar, le Web 2.0 vient d’acquérir ses lettres de noblesse comme outil de développement de l’entreprise. Le Web 2.0 se positionne comme l’enfant de l’union du Web 1.0 composé de pages non interactives et de la messagerie de courriel composée de courriers asynchrones. Le Web 2.0 nait véritablement avec la messagerie instantanée, dont MSN-Messager est l’emblème. Pouvoir communiquer directement instantanément ou en différé avec une ou plusieurs personnes selon son choix est le vrai début de l’interactivité, point central du Web 2.0. Pourquoi ? C’est oublier bien vite que la démocratie navigue entre deux écueils : la dictature et l’anarchie. Si, une fois de plus, le DRH se trouve au centre de toutes les contradictions et ambigüités, c’est que sa fonction est faite pour çà, relier le rationnel de l’entreprise organisationnelle avec l’irrationnel de l’entreprise humaine. Facile à dire, reste à le faire…

Pédagogie connexionniste et usages des TICE Pédagogie connexionniste et usages des TICE Julien Llanas Les élèves naviguent à travers internet en passant de site en site et en s'arrêtant plus ou moins longtemps sur chacune des pages qui capte leur attention. Ils parcourent ainsi de longues distances en suivant des champs sémantiques ou des champs audiovisuels, en cliquant sur un mot, en cherchant un mot, en cliquant sur une image ou une vidéo, en cherchant une image ou une vidéo. Il n'est plus question de s'attarder de longues heures sur un livre pour en faire une lecture suivie. Ce parcours est particulier. Le chemin parcouru par l'élève prend donc la forme d'une arborescence et c'est cette arborescence qui constituera le fondement de la connaissance ou de l'opinion qu'il aura sur le sujet en question. Trois facteurs sont importants pour la constitution de l'arborescence de surf chez l'élève. Par conséquent ces trois points sont primordiaux pour le développement d'une pédagogie connexionniste adaptée à l'usage d'internet.

Théorie de la connaissance et modèle pédagogique ? Nathalie Bulle, sociologue de l’éducation, auteur récemment de L’École et son double, essai sur l’évolution pédagogique en France, Paris, Hermann, 2009 (rééd. 2010) était l’invitée de cette séance. L’objectif de son exposé a été de montrer qu’il existe une étroite relation entre les théories de la connaissance (l’épistémologie) et l’apprentissage scolaire. Dans un premier temps, elle a souhaité mettre en évidence les deux grandes théories de la connaissance qui sous-tendent ces deux conceptions pédagogiques : Transmettre Apprendre.La pensée occidentale s’est construite sur une opposition entre une pensée empirique, où la connaissance est essentiellement un mode d’expérience, et une pensée théorique où la connaissance se construit à partir de modèles. Pour l’Occident, la pensée platonicienne de la connaissance et de l’éducation a été particulièrement influente. L’éducation vise le développement intellectuel qui ouvre l’accès à la connaissance du bien. inShare0

Pédagogie Freinet et Twitter Comment Twitter peut-il donner envie d’écrire ? Comment marier pédagogie Freinet et Twitter ? Une piste, montrer aux enfants une photo un peu spéciale, avec un objet pas trop facile à identifier, un gros plan sur un élément, une devinette en somme. 4, 3, 2, 1… c’est parti ! Les premières propositions sont intuitives et ont le mérite d’obliger @dawoud68 à répondre et à orienter la suite des recherches. Et lorsque « ça » gagne, lorsque l’un de nous trouve, chacun des autres a l’impression d’avoir un peu contribué à la solution. Plaisir, construction collective, émulation, apparition progressive d’une solution et d’une réussite, groupe qui s’appuie sur les contributions de tous pour comprendre et résoudre, c’est pas du Freinet, ça ? Autoévaluer ses habiletés TIC grâce à InukTIC. Recommander cette page à un(e) ami(e) Savoir utiliser les technologies de l'information et de la communication (TIC) est devenue indispensable et ceci, dès les premiers stades du cursus scolaire. L'acquisition de ces compétences mais aussi de leur correcte évaluation contribue largement à la bonne réussite de ses études et de sa vie professionnelle. Un parfait outil d'autoévaluation Utiliser InukTIC c'est avant tout améliorer son autonomie grâce à un accès gratuit à des "ensembles de formations" pour développer ses connaissances basiques en TIC. InukTIC s'avère être ainsi un parfait outil d'autoévaluation. Être mieux préparé à l'enseignement supérieur Les avantages d'une telle initiative sont nombreux et à plusieurs niveaux. Ce dernier avantage l'est aussi pour les enseignants qui, par ce biais, trouve un accompagnement efficace à leur programme de formation et d'étude. Un outil comme InukTIC prouve toute l'importance de l'autoévaluation dans le processus d'apprentissage. Le site InukTIC

Edup@reils | Le blog des p@reils et autres réflexions pédagogiques Eh oui, c’est bien la question que soulèvent certaines évolutions constatées lors de ce salon Educatice 2013, notamment du côté des tablettes numériques. L’école, voire la société (car ce n’est pas seulement de l’école qu’il s’agit, les enseignants sont aussi soumis à une très forte pression « sociétale » exercée notamment par des médias souvent peu enclins à comprendre ce qui ne vient pas de leur monde) va-t’elle enfin comprendre et se saisir des opportunités que nous apporte le numérique pour changer sa vision de l’éducation et de l’école, et en réformer le système ? Pas certain que beaucoup soient sur cette voie si l’on en juge par certains indices qui ont émergé lors de ce salon. Il y a seulement quelques années, le numérique à l’école, balbutiant était la passion de quelques enseignants, fait essentiellement de bricolages, détournements, et « bidouilleries ». Il reste évidemment le sacro-saint argument de l’individualisation ! « Bien sur que si ! Vous en voulez une belle preuve?

L'école en quête d'efficacité | Alternatives Economiques C’est devenu un rituel des lamentations. En 2016 comme en 2013, les résultats de l’enquête Pisa sur les compétences des élèves de 15 ans ont mis en évidence, sans changement notoire, deux traits majeurs du système scolaire français quand il est comparé à d’autres. D’une part, des performances globalement moyennes en sciences, mathématiques et français. D’autre part, une très forte corrélation entre ces performances et le milieu socio-économique des élèves, encore aggravée quand ils sont issus de l’immigration. Dans un contexte de crispation scolaire, ce constat récurrent vient alimenter la vision souvent noire que l’on a d’une école française percluse d’inégalités de tous ordres. Le bilan qu’en dresse le Conseil national d’évaluation du système scolaire (Cnesco) dans un rapport rendu en septembre dernier est particulièrement accablant : inefficacité de l’éducation prioritaire, défaillance des services d’orientation, rendements inégaux des diplômes selon l’origine sociale...

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