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Big Data : est-ce que le déluge de données va rendre la méthode scientifique obsolète

Big Data : est-ce que le déluge de données va rendre la méthode scientifique obsolète
Nous voici entré dans l’ère des Big Data des ensembles de données tellement gigantesques qu’ils nécessitent de nouveaux outils techniques et scientifiques pour les comprendre et en tirer du sens. Un déluge de données qui pose des questions profondes sur leur collecte, leur interprétation, leur analyse… Dans ce siècle des réseaux, la science des algorithmes, censée extraire le sens de ces amas d’information doit apprendre à comprendre ce qu’elle analyse. L’enjeu des Big Data nous adresse des questions scientifiques, mais aussi politiques et éthiques. Les Big Data, c’est le dossier de la semaine d’InternetActu qui commence par un retour sur un article fondateur de 2008 qui posait les bases de la révolution à venir. « Il y a soixante ans, les ordinateurs ont rendu l’information lisible. Image : La fin de la théorie scientifique ? Les réactions compilées par les contributeurs experts de la cyberculture de The Edge sont également intéressantes. Hubert Guillaud

THE END OF THEORY By Chris Anderson "All models are wrong, but some are useful." So proclaimed statistician George Box 30 years ago, and he was right. But what choice did we have? Only models, from cosmological equations to theories of human behavior, seemed to be able to consistently, if imperfectly, explain the world around us. Sixty years ago, digital computers made information readable. The Petabyte Age is different because more is different. At the petabyte scale, information is not a matter of simple three- and four-dimensional taxonomy and order but of dimensionally agnostic statistics. Google's founding philosophy is that we don't know why this page is better than that one: If the statistics of incoming links say it is, that's good enough. Speaking at the O'Reilly Emerging Technology Conference this past March, Peter Norvig, Google's research director, offered an update to George Box's maxim: "All models are wrong, and increasingly you can succeed without them." The big target here isn't advertising, though.

Quand l’homme sert de machine à la machine Par Rémi Sussan le 17/11/10 | 4 commentaires | 2,798 lectures | Impression Tout le monde est d’accord pour dire que “l’infobésité” sera probablement l’un des gros problèmes du siècle qui commence. Et ce qui est déjà difficile pour tout un chacun devient une question vitale pour certaines catégories professionnelles, comme les militaires, les agents de renseignements et autres pratiquants d’activités à risque. On sait que l’intelligence artificielle est pour l’instant bien loin de pouvoir les aider. C’est en partant de ce postulat que Paul Sajda, directeur du Laboratoire d’imagerie intelligente et de neuroinformatique de l’université de Columbia, a développé un système permettant de repérer rapidement dans une masse de photographies celles qui correspondent à certains critères prédéfinis. La technique est assez simple. Image : photogramme du film disponible sur IEEE.tv. On s’en doute, ce système de “cognition augmentée” intéresse bigrement les militaires. Via Next Big Future.

Big Data, grande illusion La cause serait entendue : après le cloud computing et l'internet des objets, les "big data" constitueraient la prochaine "révolution" apportée par le numérique. Alan Mitchell, cofondateur et directeur de la stratégie du cabinet britannique Ctrl-Shift, n'est pas d'accord. Pour lui, les Big Data auraient presque un côté contre-révolutionnaire : le chant du cygne d'une informatique productiviste, centralisatrice, centrée sur les grandes organisations. "Les Big Data se fondent entièrement sur la statistique : dégager des schémas et des tendances à partir de grandes collections de données. Image : Couverture du rapport de Ctrl-Shift sur le nouveau paysage des données personnelles. Mitchell ne conteste pas l'utilité des Big Data, il en conteste la nouveauté et le degré de priorité dans les agendas de recherche et d'investissement. Et pourquoi pas ? Prenons l'exemple de quelqu'un qui cherche à changer de voiture. Alan Mitchell n'a pas entièrement raison.

Informatique ubiquitaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la minaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant[1]. L´informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique, qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. La commission Européenne utilise les mots intelligence ambiante pour décrire le milieu créé par les appareils. Caractéristiques[modifier | modifier le code] L'informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique[4], qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. C'est une ère de convergence ou une gamme d'appareils disparates communiquent discrètement à travers un tissu de réseaux hétérogènes. Il existe une grande variété d'expressions utilisées pour décrire cette ère dont beaucoup sont associées à un but précis. Histoire[modifier | modifier le code] Technologie[modifier | modifier le code] Exemples[modifier | modifier le code]

Du rôle prédictif des données à la gouvernementalité algorithmique Sur Place de la Toile, le 12 décembre dernier, Xavier de la Porte recevait Guillaume Main, consultant et statisticien, qui s’occupe du site Statosphère ; Erick Alphonse, maître de conférences au Laboratoire d’Informatique de Paris-Nord (LIPN) et responsable d’Idaaas, une société qui construit des modèles prédictifs, notamment via PredictiveDB, un logiciel prédictif et Antoinette Rouvroy, chercheuse au Fonds national de la Recherche scientifique, qui travaille sur les formes de pouvoir induites par l’usage des données. Réécouter l’émission en ligne, ou parcourez le transcript augmenté de liens. Il y a de multiples formes de données, rappelle en préambule Xavier de la Porte : données sociales, messages, commentaires, celles qu’on publie chez les autres ou que les autres publient sur soi. Il y a bien sûr les données comportementales : celles qui mesurent ce que vous faites sur l’internet, les données géographiques, les données publiques, les données privées. Erick Alphonse : Oui.

Picade: The arcade cabinet kit for your mini computer by Pimoroni Ltd UPDATE: We're now making the Picade work with other systems (esp. Mini-ITX) and turning the controls into a USB HID device. UPDATE #2: We're bundling games with the Picade starting with retro classic from Sheffield's Gremlin Graphics. Don't know what to do with your Raspberry Pi®? The Picade and Picade Mini are high-quality desk top arcade cabinets for your Raspberry Pi®, Mini-ITX, Pandaboard, or other mini PC. The Picade and Picade Mini come in kit form for you to build at home. The only tools you'll need are a screwdriver and a pair of pliers. You then load up your mini computer with whatever games or emulators you want to play, hook it up to the Picade and have a blast! What you'll receive in the Picade kit: Right now we're at the prototype stage. Currently the cabinet panels are laser cut (what else would you expect from the Pibow guys?!) Finally to make it look really awesome we want to commission some custom artwork for decals that you can apply to your Picade. ACHIEVEMENT UNLOCKED!

Le mythe de l'intelligence collective RESUME : Notre époque, qui ne se paye pas de mots, a inventé la notion d’« intelligence collective » pour glorifier ses exploits technologiques et autres "success stories". Mon propos ici est de voir de plus près ce qui, éventuellement, pourrait être escamoté dans ce mythe. Comment se fait-il que, malgré cette impressionnante série d’exploits créatifs, l’homme contemporain fasse preuve en même temps de tels aveuglements (collectifs) ? [1] Ecrivain, de formation ingénieur, 25 ans d'expérience en grande entreprise, spécialiste de l’économie de la connaissance, par ailleurs praticien du théâtre, titulaire d’un master en arts du spectacle, chercheur en études théâtrales Notre époque, qui ne se paye pas de mots, a inventé la notion d’« intelligence collective » pour glorifier ses exploits technologiques et autres "success stories". Il me semble que ce mythe se présente sous deux aspects, mécaniste et organique. « Qui supporterait plus longtemps cette pesanteur ? « Au début on ne voit rien.

Coding Goûter n'est pas un cours, n'est pas une leçon, et n'a pas de professeurs. Mais pourquoi ? La raison d'être du Coding Goûter c'est le plaisir de programmer ensemble À l’occasion des Coding Goûters, je publie une courte série d’article. Retrouvez-les sur ils.sont.la Coding Goûter est un événement mensuel où enfants et parents jouent avec des outils de programmation, des jeux et puzzles algorithmiques, des environnements de développement et une variété de languages. Alors, qu’est-ce que Coding Goûter a de si spécial? Les savoirs vont et viennent dans toutes les directions Au Coding Goûter enfants et adultes découvrent et apprennent ensemble, les uns des autres. C’est aussi une bonne occasion pour les adultes d’essayer de nouveaux outils et de réveiller leurs compétences en code, rouillées ou… inexistantes. Bidouillons donc ce ‘hello world’ ! Coding Goûter se nourrit du désir de décortiquer, de bricoler et de modifier les choses existantes. Choisir, c’est s’impliquer Nous aimons tous apprendre et travailler dur – quand nous choisissons notre propre projet !

How the Legal System Failed Aaron Swartz--and Us Tomorrow is the funeral for Aaron Swartz, the programmer and sometime activist who killed himself last Friday, while facing federal trial. No one knows, or will ever really know, what caused Swartz to take his own life. But his suicide, in the face of possible bankruptcy and serious prison time, has created a moment of clarity. I knew Swartz, although not well. Swartz’s frontier was not geographic like Thoreau’s, but defined by other barriers unique to our times. The act was harmless—not in the sense of hypothetical damages or the circular logic of deterrence theory (that’s lawyerly logic), but in John Stuart Mill’s sense, meaning that there was no actual physical harm, nor actual economic harm. In this sense, Swartz must be compared to two other eccentric geniuses, Steve Jobs and Steve Wozniak, who, in the nineteen-seventies, committed crimes similar to, but more economically damaging than, Swartz’s. That was then. Photograph: Wikimedia Commons

Dennis Rodman Visits Kim Jong-un in North Korea The United States’ new top diplomat made his first official trip overseas last week, becoming the highest-profile American to visit with a young and enigmatic totalitarian dictator since the dictator was installed in power following the death of his father. After his trip, the diplomat, who, years before, had been a talented athlete, and who once wore a wedding dress to a press event promoting his autobiography, returned home and explained the nuances of the leader’s worldview to a high-ranking member of a recent Presidential Administration who now hosts a morning variety show. The diplomat brought good news: the dictator had promised peace, which in translation came out as, “I don’t want to do war. I don’t want to do war.” This is not, of course, an excerpt from the latest satirical novel about a cruelly absurd dystopian future, but, instead, a news item from the dystopian satire that is our real present. Photograph by Jason Mojica/VICE/AP

J’ai écouté de la K-Pop pendant 48 heures Apprendre à poser avec une experte en K-Pop La K-Pop va venir vous chercher. Peut-être pas aujourd’hui, mais c’est aujourd’hui un des genres qui s’évertuent le plus à pénétrer dans les oreilles occidentales. Vous avez vu le nombre de vidéos YouTube de vieilles dames qui dansent sur « Gangnam Style » ? Tout d’abord, il fallait que je sache ce que c’était exactement. Le lendemain matin, je me suis réveillé et j’ai laissé échapper un gros soupir. Parfois, la K-Pop sonne comme un truc de boys band type N*Sync, voire comme les Spice Girls. Je suis allé dans une boutique coréenne en bas de chez moi pour acheter des bungeoppang quand soudain, « Ring Ding Dong » de SHINee a retenti dans mes écouteurs. Parmi tous les groupes que j’ai écoutés, l’un de mes favoris s’appelle Girls Generation. J’avais déjà fait le tour de ma playlist une fois, et la plupart des morceaux étaient faciles à ignorer. Je suis rentré chez moi pour essayer de lire un peu, en vain. Plus de dégénérescence musicale :

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