Une éruption volcanique à Théra (Santorin) En 1646 av. J.-C., une immense éruption volcanique, possiblement une des plus grandes que l'être humain ait jamais connues, a lieu à Théra (actuellement Santorin), une île de la mer Égée située près de la Crète. L'explosion, qu'on estime équivalente à environ 40 bombes atomiques, soit environ 100 fois plus forte que l'éruption qui a détruit Pompéi, fait sauter l'intérieur de l'île, transformant à jamais la topographie. Pendant plus de 3500 ans, cette ville ancienne de l'âge du bronze reste cachée — un des nombreux secrets du passé que détient la Grèce. Le site révèle des choses surprenantes. On n'a pas trouvé de vastes quantités d'or, d'argent ou de bronze à Akrotiri, au moins pas les quantités qu'on s'attendrait à trouver si les habitants avaient été pris au dépourvu. Les historiens essaient depuis des années de préciser la date de l'éruption majeure à Théra. La plupart des historiens avaient situé l'éruption un siècle plus tard.
L'Atlantide - L'hypothèse Santorin Au fil des siècles, l’Espagne, le Sahara, la Perse, le Nigéria, la Tunisie, le Brésil… Tout y est passé. Les ruines de l’Atlantide ont même été recherchées au fond d’un lac en République dominicaine et aux abords de l’Île de Pâques où le continent englouti prend le nom de « Mu ». D’autres chercheurs enfin ont choisi de chasser le continent perdu plus près de la Grèce, d’autant qu’il existe au moins une île dans la mer Égée dont la civilisation florissante a disparu du jour au lendemain suite à une catastrophe spectaculaire. Cette île, c’est Santorin, également appelée Théra, détruite par une éruption volcanique en 1640 avant notre ère. Les fouilles archéologiques de l’île ont permis la découverte en 1978 de l’étonnant palais de Cnossos, en réalité un vaste complexe de plus de 1000 pièces imbriquées servant à la fois de centre administratif et religieux et doté d’un système de chauffage central, de bains et même du tout-à-l'égout. La théorie va s’enrichir dans les années 60.
Platon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Platon (Πλάτων) Grèce Antiquité Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn, né à Athènes en 428/427 av. Il est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon comme l’inventeur de la philosophie[3], au point que Whitehead ait pu dire : « la philosophie occidentale n'est qu’une suite de notes de bas de page aux dialogues de Platon »[4]. Biographie[modifier | modifier le code] À part quelques données certifiées, dont la chronologie est d'ailleurs incertaine, la vie de Platon est mal connue[7]. Jeunesse[modifier | modifier le code] Platon est l’élève de Théodore de Cyrène[16], précepteur de Socrate, de Théétète qui lui enseigne les mathématiques, et de l’historien Timée de Tauroménion, selon Cicéron. Platon et sa famille Buste de Platon. Malade, il n'assista pas à la mort de Socrate[p. 20] en -399.
Santorin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite de l'île de Santorin. Pour l'archipel dans son ensemble voir Archipel de Santorin. Santorin, en grec Σαντορίνη / Santoríni, aussi appelée Théra ou Thíra, Θήρα / Thíra, est une île de Grèce située en mer Égée. Elle est l'île la plus grande et la plus peuplée d'un petit archipel volcanique comprenant quatre autres îles, auquel on donne parfois son nom (voir archipel de Santorin). Toponymie[modifier | modifier le code] Le nom de Santorin est donné à l'île par les Vénitiens au XIIIe siècle en référence à Sainte Irène, la Aghia Irini que les marins étrangers appellent Santa Irini. Après le rattachement de l'archipel à la Grèce en 1840, celui-ci reprend officiellement le nom antique de Théra mais le nom de Santorin est toujours largement utilisé. Géographie[modifier | modifier le code] Vue de Oia (au fond à gauche) et Fira (à droite) Administration[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Archipel de Santorin
Atlantide Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte fantaisiste de l'Atlantide (1665) de : Athanasius Kircher, Mundus Subterraneus (le nord est en bas). Récit du Timée[modifier | modifier le code] Selon Critias, son arrière-grand-père Dropidès[1] s'est vu confier par le législateur Solon (VIe siècle av. Aux dires du prêtre, « En ce temps-là, on pouvait traverser cette mer Atlantique. — trad. Le prêtre entreprend ensuite de narrer la lutte des Hellènes menés par Athènes, puis d'Athènes seule, contre les soldats atlantes venus des îles « du fond de la mer Atlantique », événements qu'il situe 9000 ans avant son époque. « Dans l'espace d'un seul jour et d'une nuit terribles, toute votre armée athénienne fut engloutie d'un seul coup sous la terre et, de même, l'île Atlantide s'abîma dans la mer et disparut. Le Timée donne ensuite une description générale de la civilisation atlante, de son expansion, de la guerre contre Athènes et de la destruction finale de l'Atlantide. C.
Le Mythe d’Atlantide et l’histoire de Santorini Une fascinante théorie "démontrée", localise Atlantide dans la Méditerranée orientale, plus précisément dans l'archipel des Cyclades, dans une zone qui est occupée aujourd'hui par l'île de Santorin. Nous savons depuis longtemps que Santorin ne constitue que les restes d'une île beaucoup plus grande, détruite par une explosion catastrophique: il est bien connu que l'ancienne Thera a éructé 18 km cubes de magma et que son explosion ne laissa qu'un bout de rocher noirci. Seulement dans les années ‘70 la méthode du radiocarbone a permis de dater avec une marge d'erreur réduite un trône qui était enterré dans la cendre volcanique : l'éruption a du se produire aux environs du 1456 av. J.-C. Néanmoins la dynamique de l'éruption à Thera, comme documenté par les fouilles, exclurait la soudaineté du cataclysme transmit par Platon. Il le fut surement de Santorini et de sa civilisation. Nous ne pouvons que concorder avec les paroles d'un célèbre écrivain: "C'est bien qu'Atlantide reste un mystère.
Les secrets du passé - Les Minoens Il est virtuellement impossible d'aborder l'histoire de la Grèce antique sans mentionner les Minoens. Les Minoens n'étaient pas Grecs, et ils ne semblent pas avoir été étroitement apparentés à ces derniers. Ce qui semble clair, cependant, c'est qu'ils ont contribué au développement de la civilisation de la Grèce antique, qu'Homère et d'autres poètes grecs ont immortalisée. Les Minoens ont laissé un legs visuel stupéfiant (peintures, palais sophistiqués et œuvres d'art variées) et de nombreux documents écrits. Malheureusement, contrairement aux écrits des Égyptiens, des Hittites et des Babyloniens, qui nous renseignent notamment sur l'organisation sociale, les croyances religieuses et les évènements historiques, les écrits minoens qui ont été découverts jusqu'ici ne sont que des inventaires, détaillés et abondants, bien sûr, mais pas aussi révélateurs que ce qu'on aurait pu espérer. Le système de gouvernement était une monarchie appuyée par une bureaucratie bien organisée. Vers 1450 av.
le volcan Santorin Santorinet le mythe de l'Atlantide (Grèce) Latitude : 36, 40 °NordLongitude : 25, 40 °EstAltitude : 564 m Le volcan Santorin, composé aujourd'hui de cinq îles distinctes, se situe dans l'archipel des Cyclades au sud-est de la Grèce, il appartient à l'arc insulaire de la mer Égée, au même titre que les îles volcaniques de Methana, Milos, Kos et Nysiros. Véritable port naturel, le site de Théra, autre nom de Santorin, a une forme circulaire, qui correspond à la partie centrale effondrée d'un volcan (une caldeira), qui explosa vers 1490 ± 50 ans av. J.-C. Platon et le mythe de l'Atlantide Platon philosophe grec, du quatrième siècle av. « Or dans cette île, l'Atlantide, s'était constituée un empire vaste et merveilleux que gouvernait des rois dont le pouvoir s'étendait non seulement sur cette île toute entière, mais aussi sur beaucoup d'autres îles et sur les parties du continent. Akrotiri, une ville antique ensevelie L'éruption minoenne Vers av. Santorin toujours actif 197 av J. 1707-1711.
Carte d'Oronce Fine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Oronce Fine, Mappemonde en forme de cœur montrant la Terre australe La mappemonde d’Oronce Fine est une représentation cartographique de la sphère terrestre réalisée selon une projection cordiforme (en forme de cœur) en 1536[1]. Outre cette projection insolite, elle présente aussi l'originalité de représenter avec une apparence de grande précision les terres australes. La conception de terres australes apparaît avec la naissance de la représentation de l'œkoumène dans l'Antiquité grecque et s'est transmise tout au long du Moyen Âge[2]. Les voyages d'explorations ont relancé à la Renaissance l'intérêt pour ces spéculations géographiques, ainsi en 1529 Franciscus Monachus faisait figurer des terres australes dans sa représentation du monde[3]. Analyses[modifier | modifier le code] À la suite de Charles Hapgood[5] on a parfois considéré que la mappemonde d'Oronce Fine représente avec précision les côtes rocheuses de l'Antarctique.
Les Atlantes L’Atlantide est certainement le best-seller des mystères de l’archéologie. Environ 25.000 ouvrages seraient consacrés à ce sujet. Outre les scientifiques, le sujet a tenté d’autres sphères : ainsi la littérature. Chacun connaît « L’Atlantide » de Pierre Benoit. Nous nous limiterons ici aux 4 hypothèses actuellement à la mode chez les atlantologues sérieux, c’est-à-dire celles qui se basent sur des arguments archéologiques et, d’une manière générale, font appel aux méthodes et connaissances scientifiques. Ceux qui en ont parlé La première vraie description — et finalement la seule —, nous la devons à Platon (429-347 AC). L’île Atlantide était composée pour moitié d’une vaste plaine située au sud et, pour moitié, de montagnes. Cette histoire, extraordinaire mais vraie affirme le philosophe à plusieurs reprises, avait été recueillie par l’Athénien Solon, alors qu’il effectuait un voyage en Egypte, vers 570 avant J. Les hypothèses
Carte de Piri Reis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La carte de Piri Reis. La carte de Piri Reis restaurée. La carte de Piri Reis est une carte ancienne, découverte en 1929 lors de la restauration du Palais de Topkapı à Istanbul. Principales caractéristiques de la carte[modifier | modifier le code] La carte de Piri Reis n'est que le fragment d'une carte plus grande représentant le monde connu à l'époque où elle a été réalisée, et dont le reste est aujourd'hui perdu. L'une des caractéristiques de cette carte est la figuration détaillée d'une côte connectée à la zone australe de l'Amérique du Sud, dont certains disent qu'elle ressemble à la côte de l'Antarctique, continent qui n'a été découvert officiellement qu'en 1818. Interprétations pseudo-scientifiques[modifier | modifier le code] Aucune de ces thèses n'est réellement cautionnée par la communauté scientifique ; toutefois, le fait que Albert Einstein ait préfacé le premier livre de C. Suite au succès de ses ouvrages, C.
Santorin, île fascinante Akrotiri, la "Pompeï de l'âge du Bronze" On doit la découverte des premiers vestiges d'Akrotiri à l'ouverture d'une carrière à l'occasion des travaux du canal de Suez, en 1860. En effet, les pierres ponces de l'île avaient été choisies par les ingénieurs de Ferdinand de Lesseps pour réaliser les parois du canal. Différentes poteries furent alors exhumées au fur et à mesure de la progression de l'exploitation. Ce n'est qu'en 1967 que débutèrent les fouilles systématiques du site sous la direction du Service Archéologique d'Athènes et d'un archéologue grec Spyridon Marinatos. Il fallut alors dégager, sur plusieurs mètres d'épaisseur, le manteau blanc de pierre ponce résultant de l'éruption du Santorin de l'époque minoenne. Les fouilles se poursuivent et moins d'un cinquième du site a été fouillé. Les maisons étaient de solides constructions à plusieurs étages aux fenêtres ouvertes sur les voies de circulation. Le Musée Préhistorique de Thira Platon et l'Atlantide La Bible
Olmèques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Olmèques sont un ancien peuple précolombien de Mésoamérique s'étant épanoui de 1200 av. J.-C. jusqu'à 500 av. Historiographie[modifier | modifier le code] « […] Ce qui m'a le plus étonné, c'est le type éthiopien qu'elle représente. « […] Nous inclinons à attribuer ces ruines à la civilisation maya. »[2] L'olmécologie n'était donc pas encore née. À la fin des années 1930 et au début des années 1940, l'archéologue Matthew Stirling mena sur les sites de Tres Zapotes, La Venta, San Lorenzo des fouilles spectaculaires financées par la National Geographic Society et publia dans le National Geographic une série d'articles qui firent connaître largement la culture olmèque au grand public. En 1942, à la IIe Mesa Redonda de la Sociedad Mexicana de Antropología, «Mayas y Olmecas», qui se tint à Tuxtla Gutiérrez au Mexique, les américanistes firent un premier point de la question. Histoire[modifier | modifier le code] Quelques sites olmèques.