Quantum Of the Seas : le navire de croisière le plus high-tech au monde Un navire qui va vous donner envie de vacances sur le champ. La compagnie maritime américano-norvégienne Royal Carribbean International, spécialisée dans les bateaux de croisière vient de lancer son tout nouveau paquebot : Quantum of the Seas. On en parle comme un concentré d'innovations technologiques uniques au monde. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Un nouveau bateau de croisière vient d'être lancé par la Royal Caribbean International baptisé Quantum of the Seas. Un terrain de jeux pour petits et grands Parmi les navires les plus en avance sur son temps, Quantum of the Seas totalise 2 090 cabines luxueuses et spacieuses dont 1 570 avec balcons, 147 extérieures, 373 avec balcons virtuels et 34 accessibles aux personnes à mobilité réduite. Ensuite, tout le fonctionnement comprend de nombreux services élaborés pour rendre la vie à bord paradisiaque et pratique. Des nouveautés nulle part ailleurs L'apothéose
Des tablettes Android pour piloter des robots militaires dès 2015 ! Les soldats pourront bientôt piloter des robots à l’aide de tablettes tournant sous Android, simplifiant au passage la maniabilité des machines et réduisant le temps de formation des opérateurs. iRobot est une société assez connue pour avoir créé le Roomba, le robot aspirateur à destination du grand public. Pourtant, la société va plus loin que le gadget visant l’habitation, et fourni également du matériel de défense, reconnaissance et d’intervention aux gouvernements. Un secteur du tech dans laquelle les sociétés savent qu’il est bon de se pencher, expliquant notamment l’achat par Google de Boston Dynamics. Dans une démarche visant à contrôler les robots plus facilement dans un environnement de stress élevé, iRobot a développé le uPoint Multi-Robot Control (MRC) system, permettant aux pilotes de contrôler leurs machines en utilisant simplement une tablette Android. Avec un horizon dégagé, le réseau radio peut s’étendre sur des kilomètres Via
Le robot compagnon Robi prochainement en vente à Hong-Kong Robi ce robot compagnon inspiré de l’humanoïde qui est parti dans l’espace, sera en vente à Hong-Kong à partir de la fin du mois d’octobre. Ce sera donc le 5ème pays à distribuer ce robot familial après le Japon, l’Italie, Taïwan et le Royaume-Uni. Du haut de ses 34 centimètres, Robi sait allumer la TV, danser au rythme de la musique, faire des échanges avec un ballon de football et même nettoyer le sol. Son inventeur Tomotaka Takahashi, chercheur à l’Université de Tokyo, rêvait de créer son propre robot depuis son enfance : « Pour moi, un robot c’est un ami et il doit être animé. » Le créateur a aussi mis au point le premier robot humanoïde à être allé dans l’espace, Kirobo, en collaboration avec Panasonic, Toyota et la Station Spatiale Internationale, pour tenir compagnie à l’astronaute japonais faisant partie de la mission. Robi est un tout autre robot, plus simple. Pour la sortie hong-kongaise, l’éditeur dit avoir déjà reçu 250 pré-commandes. Ces sujets vous intéresseront aussi :
Les personnes amputées peuvent désormais retrouver la sensation du toucher grâce à ces prothèses révolutionnaires Les progrès de la science ne cessent d’impressionner et d’améliorer nos conditions de vie jour après jour. Pour les personnes ayant perdu l’usage d’un bras ou d’une main, des chercheurs ont mis au point des prothèses robotiques capables de reproduire la sensation du toucher. DGS vous en dit plus sur cette innovation qui va changer des vies. Des chercheurs de la Case Western Reserve University ont réussi à développer la prothèse qui se rapproche sans doute le plus des sensations naturelles. Les chercheurs ont également amélioré la perception sensorielle en envoyant des signaux électriques à travers la prothèse. C’est également avec une grande joie que les patients ont vu le retour de sensations familières, parfois perdues depuis très longtemps. Lors d’une autre étude, l’équipe menée par Max Ortiz-Catalan de la Chalmers University of Technology s’est appliquée à recréer la liberté de mouvement d’un bras naturel.
[Expert] Les gens sont compliqués ? Essayons robots et données, par Bertrand Duperrin - FrenchWeb.frFrenchWeb.fr Quiconque s’est déjà frotté à un projet social business vous le confirmera. La puissance du social business c’est les gens, la possibilité de faire levier sur une masse jusque là impensable de talents, d’idées, de compétences, d’informations qu’ils détiennent. Et le principal problème…c’est également les gens. J’écrivais plus tôt cette année que la collaboration est in état fragile et instable des rapports humains et nous pouvons le constater chaque jour. Il faut beaucoup du temps et un dosage très subtil pour qu’une collaboration pleine et parfaite se mette en œuvre. Et je ne reviens même pas sur le paradoxe de ce qui se met en place : à force de sur-connection et de sur -partage, à force de rendre tout et tout le monde accessible on est arrivé à une saturation de messages, d’information et de signaux qu’un individu normalement constitué ne peut plus gérer. L’interaction homme-machine est le futur de la collaboration Vous n’aurez pas manqué de le remarquer. Le blog de @bduperrin ici.
Un nouveau mode de diffusion de la lumière dans de minuscules fibres optiques Les microfibres optiques sont des fibres de verre effilées 50 fois plus fines qu'un cheveu, au diamètre proche voire inférieur au micromètre (un millième de millimètre). Pour produire ces minuscules objets, des chercheurs du Laboratoire Charles Fabry ont chauffé et étiré des fibres optiques utilisées pour les télécommunications et mesurant 125 micromètres de diamètre. La suite de l'étude s'est déroulée à l'institut Femto-ST, à Besançon. En injectant un faisceau laser dans ces fines mèches de verre, des chercheurs du CNRS ont observé, pour la première fois, un nouveau mode de diffusion Brillouin2 de la lumière, impliquant des ondes acoustiques3 de surface. Cette découverte a ensuite été confirmée par une simulation informatique, qui a permis de vérifier le mécanisme physique en jeu. Comme le diamètre des fibres utilisées est inférieur à la longueur d'onde de la lumière utilisée (1,5 micromètre, dans l'infrarouge), celle-ci y est extrêmement confinée. Notes : Références :
Lumière: Des Français découvrent des fibres optiques 50 fois plus petites qu'un cheveu OPTIQUE Cela pourrait servir à développer des capteurs de très haute sensibilité... Dans le monde de l’infiniment petit, on peut difficilement aller plus loin que la dernière découverte de deux chercheurs du CNRS. En étudiant des nanofibres, Jean-Charles Beugnot et Thibaut Sylvestre ont mis en évidence un nouveau mode de diffusion de la lumière dans de minuscules fibres optiques 50 fois plus fines qu’un cheveu soit un millième de millimètre. «On étire les fibres au maximum de telle manière qu’on a des sections de l’ordre du micron, témoigne Thibaut Sylvestre. A l’intérieur (de la fibre), la lumière est guidée car on excite des ondes de surface.» Applications industrielles Pour produire ces minuscules objets, les chercheurs ont chauffé et étiré des fibres optiques classiques. Le reste de l'actualité scientifique en vidéo
Marco est un illusionniste talentueux qui fait des tours de magie avec son compagnon robotique nommé EDI Le célèbre techno-illusionniste Marco Tempest a un nouvel ami : EDI, un « robot multifonctions conçu pour travailler en étroite collaboration avec les humains ». Dans cette vidéo, Marco livre sur scène un véritable plaidoyer pour une coopération plus étroite entre humains et robots. Le duo va même jusqu’à effectuer un petit tour de magie en équipe pour appuyer les dires de l’illusionniste! C’est accompagné d’un nouvel ami que le célèbre illusionniste suisse Marco Tempest a effectué son retour sur scène. EDI (ndlr : Electronic Deceptive Intelligence, soit Intelligence électronique illusionniste, se prononce « Eddie ») sera le nouveau compagnon de Marco lors de ses futures prestations scéniques. C’est un robot de type Baxter, qui appartient donc à la famille des robots collaboratifs, qui ne nécessite pas de programmation complexe, conçu pour faciliter l’interaction entre humains et robots. « Nous sommes tous intrigués par la possibilité de créer une version mécanique de nous-mêmes.
Ces oiseaux robotisés sont les épouvantails modernes À l'Opéra de Sydney, les mouettes font encore plus de nuisances qu'un ténor enroué. La direction est désespérée par ces rats volants. Solution ? Engager un oiseau de proie robotique, sorte d’épouvantail moderne. Le joujou a d’ailleurs intérêt à être efficace puisqu’il coûte tout de même 6 500$. Une somme qui paraît bien importante pour le simple fait de chasser des oiseaux. Ces robots animaux ne sont pas une nouveauté, à dire vrai. Les entreprises concurrentes passent par d’autres solutions. Espérons pour Sydney que son investissement se révèle fructueux et si c’est le cas, nous conseillons à la mairie de Paris d’investir, ces pigeons sont insupportables. Un skateboard qui charge aussi votre smartphone Un drôle de projet qui pourrait résoudre un problème récurrent : l’autonomie des mobiles. Dans le cadre d’un projet, Bjorn Van Den Hout, étudiant au Willem de Kooning Academy de Rotterdam, a eu l’idée d’utiliser les mouvements des roues de son skateboard afin de résoudre un problème qui persiste jusqu’à présent : l’autonomie de nos smartphones. Et bien que simple, le principe du Chargeboard est étonnant. En effet, il ne s’agit ni plus ni moins que de petits générateurs qui sont installés au niveau des axes des roues et qui produisent de l’électricité qui va alimenter une batterie embarquée. Lorsqu’il est à court de jus, l’utilisateur peut charger son iPhone sur le « dock » du skateboard. En roulant pendant une heure, le Chargeboard serait en mesure de cumuler suffisamment d’énergie pour charger un téléphone. chargeboard 2014 from Chargeboard on Vimeo. (Source)