Le marketing mobile : mythe ou réalité ? L'ère du mobile a sans conteste changé les règles du jeu entre les marques et les consommateurs. Dans le monde, quatre consommateurs sur cinq peuvent accéder à Internet et au commerce en ligne via leur mobile, contre un consommateur sur cinq via son ordinateur (TNS Sofres Mobile Life).La nouvelle étude de TNS Sofres entend mesurer la connaissance qu'ont les consommateurs de ces nouveaux outils, leur niveau et mode d'utilisation, pour révéler aux marques si le mobile est stratégique ou non. Applications, géolocalisation, réalité augmentée et flaschcode... sont autant d'utilisations décryptées par l’institut pour en comprendre les enjeux marketing. L'étude montre à quel point les consommateurs mobinautes sont friands des différents outils mobiles, à la fois en termes de saillance et d'usages déclarés. L'étude met en évidence les atouts qu'une marque doit mettre en avant lorsqu'elle propose son application à télécharger. De son côté, la géolocalisation semble déjà entrée dans les mœurs !
Qualification des sources 2.0 L’intelligence économique, la veille, l’influence, etc, sont des disciplines (ou méthodologies, au choix) issues en partie des pratiques de renseignement étatique : DGSE, DST, CIA... Dans le renseignement humain, l’un des objectifs est de pouvoir fournir aux décideurs une information la plupart du temps grise. Cette information provient en grande majorité de sources humaines, et il paraît nécessaire de pouvoir qualifier cette source, c'est-à-dire évaluer la pertinence et le degrés de « vérité » de l’information obtenue. Une méthode classique et appliquée en veille, est le recoupement : si l’information fournie se retrouve ailleurs un certains nombre de fois, alors elle doit être fiable. Une autre méthode consiste à vérifier la crédibilité de la source, c'est-à-dire mener une enquête sur l’informateur afin de savoir s’il s’agit d’une tentative de désinformation, ou si lui-même n’est pas intoxiquer involontairement. Mais qu’en est-il avec le web 2.0 ? Etape 1 : qui est l’auteur de ce blog ?
La révolution ce n’est pas Facebook, c’est la digitalisation de l’entreprise Facebook est un accélérateur et un facteur de changement. Nous l’avons vu en début d’année lors des révolutions du printemps arabe. Mais il n’est qu’un facteur ; d’autres conditions de changements devant être réunies : culturelles, économiques, sociétales, sociologiques, logistiques. Culturel et organisationnelStratégiqueConcurrentielAttentes des cibles visées L’enjeu Web pour les entreprises aujourd’hui : leur digitalisation La digitalisation en interne (je vous invite à découvrir le blog Entreprise20.fr) avec la montée en puissance du collaboratif digital, la digitalisation des processus vers l’externe pour aider l’entreprise à jouer son rôle “maternel” de s’occuper et de satisfaire ses clients (la notion de “maternel” renvoie ici à la notion d’entreprise paternaliste, avec la relation entre un employeur et ses salariés). Comment s’y prendre ?
Evolution du métier de veilleur et de ses compétences 19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 13:17 La veille devient-elle un métier de super héros (de l'information) ? Mardi 18 octobre j’ai participé à Cogito Expo à Strasbourg. Il m’était demandé de présenter les évolutions du métier de veilleur ainsi que, à l’avenir, les possibles compétences qui seront liées à ce métier. Voici ci-dessous ma présentation. Difficile de faire de la prospective… Cependant, la présentation ci-dessous s’intéresse à l’impact du web sur les pratiques de la veille. Le sous-titre de cette présentation est : « La veille un métier de super héros (de l’information) ? Je reviens aussi sur le fait que la veille est aujourd’hui un métier, mais aussi une compétence nécessaire à de nombreux autres métiers. Bref, à vous de vous faire une idée, de mon contredire ou de souligner certains aspects qui m’auraient échappés. Bonne lecture Au passage, un grand bravo et merci à l’équipe Cogito Expo !!
Etude de cas : Eram, il faudrait être fou pour communiquer plus ? Cet article a été publié il y a 2 ans 6 mois 17 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Ces temps-ci, on aurait pu penser que la mode de la chasse aux bad buzz 2.0 s’en était un peu allée. Mais penser que cette mode était terminée revient un peu à croire au Père Noël. Et comme le dit si bien l’adage, “chassez le naturel, il revient au galop”. Ainsi, après des articles sur Petit Bateau et Orangina, j’ai donc succombé au petit buzz d’hier : Eram, et à son prétendu bad buzz. A part avoir vécu sur une île déserte, ou être complétement hermétique à la publicité, vous n’avez pas pu échapper à une campagne de communication d’Eram. Déjà à cette époque, la marque assumait un parti pris créatif et un territoire de communication “particulier”. Ce temps est aujourd’hui révolu (c’était pour la minute nostalgie). Vous allez sans doute me dire : mais quelle nouvelle campagne de communication ? Il est passé où mon bad buzz ?
5 Exemples De Pages Facebook Réussies Vous êtes sur Facebook ? Pensez alors à rejoindre notre communauté sur Facebook ou à suivre mon profil Facebook pour recevoir le meilleur des actualités relatives à cette plateforme ! Merci. Si vous souhaitez réussir votre page Facebook, rien de tel que d’observer les entreprises qui disposent déjà d’une bonne visibilité sur le réseau social pour vous en inspirer. Avec cet objectif en tête, je vous ai préparé une liste de 5 pages Facebook réussies. J’espère que les bonnes pratiques identifiées (mais non exhaustives) vous donneront de nouvelles idées à mettre en oeuvre afin d’améliorer les résultats recherchés pour votre page Facebook. 1. Nombre de personnes qui aiment ça : 2 058 986. Oasis répond incroyablement bien à une des attentes importantes des utilisateurs sur Facebook, soit le divertissement. La marque fait une grande utilisation de photos gaies, remplies de couleurs et empreintes d’humour. Le contenu exclusif – les goodies – est réservé aux fans de la page. Conseils 2. 3. Conseils 4.
Vers de nouvelles expériences d’achat et de consultation Voilà près de 15 ans que le web est disponible auprès du grand public. En 15 ans il s’est passé beaucoup de choses, mais pas tant que ça finalement. Regardez par exemple des sites comme Amazon ou Ebay, sont-ils véritablement différents de ce qu’ils étaient il y a 15 ans ? Nous sommes maintenant en 2011 (bientôt 2012), et le point de saturation est atteint depuis longtemps, aussi bien en terme de volume de contenus que de nombre de fonctionnalités. C’est sur ce postulat de départ que j’ai pu observer la montée en puissance d’une nouvelle catégorie de startups qui misent avant tout sur l’expérience utilisateur pour se différencier et prendre des parts de marché à des mastodontes que l’on croyait inattaquables. Pour moi tout à commencé avec cet article publié sur le Smashing Magazine où m’auteur dénonçait le manque d’originalité dans la mise en page dans blogs : The Death of the Boring Blog Post.
Et si vous passiez à la Relation Client sur Internet ? Les services de Relation Client, comme les départements Marketing et Communication, doivent également faire leur révolution et intégrer la brique social media dans leurs outils et canaux relationnels actuels. Je ne parlerai pas ici de nouveaux concepts comme le Social CRM, préférant me concentrer sur l’essentiel à savoir la relation efficace, pérenne et satisfaisante avec son client sur Internet. Un schéma relationnel qui change avec Internet Pas de grands chiffres sur les avis, l’impact de l’influence sur Internet pour ne pas noyer ici le discours. Je préfère me concentrer sur un schéma simple qui explique ce changement relationnel dans les attentes des internautes, qui ont trouvé dans le média Internet, un moyen différent d’entrer en contact avec leurs pairs à une plus ou moins grande échelle. ON PARLAIT AVEC VOUS : l’internaute faisait la démarche d’aller vers l’entreprise sur les canaux relationnels mis en place par celle-ci et donc fortement contrôlés.
L'hyper-connectivité, esclavagisme des temps modernes ? Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Dorénavant, on a accès à tout, tout le temps. On est connecté partout, à tout, tout le temps. Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Dorénavant, on a accès à tout, tout le temps. On est connecté partout, à tout, tout le temps. Grâce ou plutôt à cause de lui, le monde professionnel ronge vicieusement les frontières qui lui sont dévolues et s’invite dans notre sphère intime. La liberté ne connait plus de frontières, internet les a virtuellement abolies De fait, alors qu’il existe bien des frontières réelles, le bureau, la technologie, quant à elle, ne nous rend pas plus libre si l’on n’y prend pas garde. Quel est le rapport avec la liberté ? Le télétravail, c’est une forme de travail à distance. Consulter son smartphone dans le métro, c’est donc faire des heures sup ? ).
Identité numérique et réputation à nouveau sur le devant de la scène Grosse actualité ce matin avec le lancement par Swiss-Life d’une offre de protection de la e-réputation des particuliers : Reputation Squad lance en partenariat avec Swiss Life la première offre d’assurance e-réputation. Une offre avant-gardiste et dans l’ère du temps (72% des internautes ne saurait pas supprimer les contenus diffusés à leur insu sur le web). Autant je déteste le terme “e-réputation”, autant je suis persuadé qu’il y a bien un enjeu de société avec la gestion de l’identité numérique. Dans ma vision des choses, il n’y a pas de “e-réputation”, simplement une réputation qui se propage de façon naturelle (anarchique ?) par bouches à oreilles ou sur d’autres médias. L’offre de Swiss-Life est donc la suivante : 9,90 €/mois pour vous offrir une protection en cas de diffamation sur internet, de publication de données privées sans consentement ou d’usurpation d’identité. Google est également en embuscade sur ce créneau depuis un petit bout de temps.
Le Quantified Self au service de la productivité individuelle et collective Si les utilisateurs et les interactions sociales qui les relient sont la matière première principale du web sur les 5 dernières années (avec l’avènement des médias sociaux), les années suivantes devront composer avec une autre matière première précieuse : les données (cf. Du contenu roi aux données reines). Les données sont la matière première du géo-marketing, elles permettent d’optimiser l’implantation d’un hypermarché. Non seulement les progrès réalisés par les outils de collecte et de partage vont grandement faciliter la constitution de personal data ecosystems, mais les annonceurs, collectivités et organisations vont nous y inciter, car elles apporteront des réponses aux questions que nous ne nous posons pas encore. Définition et origines du Quantified Self Il existe déjà un certain nombre d’articles publiés sur le sujet (dont le très bon interview d’Emmanuel Gadenne : Le Quantified Self : doit-on compter sur soi ?) Mesurer les km que vous parcourez avec Fitbit
Le désabonnement, nouveau comportement de l’internaute ? Je viens de passer une semaine avec un groupe de 30 personnes qui n’ont rien à voir professionnellement avec le web, les réseaux sociaux ou l’email marketing. Nous avons échangé à un moment donné sur nos activités professionnelles respectives. En parlant d’email marketing, j’ai été surpris par la quasi unanimité autour de la gestion de leur boite email. Pour gérer leur messagerie, aucun ne clique sur le lien de désabonnement pour supprimer leur adresse des bases de données. Pourquoi, alors que la plupart des acteurs sont clean et gérent correctement le désabonnement via le lien de désabonnement dans le footer de l’email (tout en bas) ? Leur réponse est unanime et directe : « si tu cliques sur le lien de désabonnement, tu valides ton adresse email et tu te mets à recevoir encore plus d’emails non sollicités ! Wouah, la claque que j’ai prise. Je ne pretends pas tirer une généralité de cette histoire.
de l’intérêt des avis négatifs et de la critique De nombreux discours sur l’e-réputation se concentrent sur les commentaires/avis négatifs. Cette vision binaire parfois étonnante, négatif = mauvais, positif = ce que l’on cherche à atteindre, exclue souvent tout l’intérêt que ces commentaires jugés comme négatifs apportent à une organisation. Voyons rapidement pourquoi… Tout d’abord, il est important de rappeler que rien n’est négatif ou positif en soit, ce n’est qu’une question de perception. Perception basée sur l’image voulue par une organisation pour ses produits/services, image qu’elle retrouve ou non dans les avis exprimés sur le web (à condition bien entendu qu’elle définisse clairement cette image voulue). Difficile aussi d’extrapoler sur la perception que l’internaute en aura, sauf si celui-ci l’exprime clairement. Au final, ces commentaires/avis qui peuvent paraitre négatifs et critiques sont (et on peut en débattre) une vraie valeur ajoutée pour une organisation. Les commentaires négatifs peuvent amener au débat. Au final…