background preloader

Les stades de développement du jeune enfant

Les stades de développement du jeune enfant
Les tests de QI les plus fréquents sont étalonnés pour des enfants à partir de 2 ans et 11 mois (WPPSI). Si vous vous posez des questions concernant un enfant plus jeune, vous pouvez vous baser sur la comparaison entre ce dont est capable votre enfant et un enfant « type » de son âge. Atttention, cette méthode ne vous donnera que des indications et non une certitude. En cas de doute sérieux, il vaudra mieux consulter un psychologue juste avant l’entrée en classe de petite section de maternelle. Nous vous donnons ici quelques étapes clefs du développement d’un jeune enfant. C’est surtout en cas d’avance manifeste et simultanée dans plusieurs domaines différents qu’il faudra émettre l’hypothèse d’une éventuelle précocité intellectuelle. Source du tableau : Harrison, C (1995) Giftedness in early childhood.

Désintégration Positive et IRSS – Quand psychologie et chimie doivent trouver un terrain d’entente | talentdifferent “Ce qui ne tue pas rend plus fort” est une maxime qui pourrait s’appliquer à la quête de soi, car de tous temps la tradition philosophique a associé souffrance et développement personnel. Dans un précédent billet (« Je vous salue névrosés!« ) j’ai déjà évoqué les travaux de William Tillier, ancien étudiant de K Dabrowski, qui en promeut la Théorie de la Désintégration Positive, par un travail de fond impressionnant. Tillier met en avant que l’usage largement répandu aux anti-dépresseurs est devenu parfois abusif ( au point que même ceux qui n’en ont pas besoin en prennent afin d’aller « mieux encore) entravant ainsi la progression de la connaissance de soi, en matière de développement personnel, dans la mesure où l’anti-dépresseur génère un bien-être qui dissuade peu ou prou de réfléchir sr les racines du mal. Abstract L’arrivée de la phamacothérapie de l’humeur La sérotonine La recherche, résumée par les travaux de Jacobs (1994), lie la sérotonine et l’activité motrice basique. [..] [..]

Douance et Scolarité : Discussions et Débats Outre le côté témoignage sur nos expériences scolaires, j'aimerais rebondir sur la notion d'échec scolaire de l'enfant surdoué (étant pour le moins concerné). Je vais mettre ici des ponts-levis baissés : > Un enfant en difficulté scolaire peut être un enfant surdoué mais tous les enfants surdoués ne sont pas en échec scolaire. > Tous les enfants en échec scolaire ne sont pas des enfants surdoués. > Un enfant surdoué peut présenter des troubles psychologiques mais il peut aussi aller très bien. > Poser le diagnostic jeune permet de prévenir les troubles et d’accompagner l’enfant pour qu’il s’épanouisse au mieux sur les plans affectifs et intellectuels mais un diagnostic plus tardif ne doit pas être négligé car il permet de mettre du sens sur les difficultés et de relancer l’enfant sur son parcours de vie. > Un chiffre de QI n’est pas un diagnostic. > Un enfant surdoué est d’abord un enfant ! I. A. B. B. le repérage de l’EIP à un stade précoce d’apprentissage est primordial ( A) . B. C.

Les addictions : Psychologie et Santé @halolaterre : ce que tu décris me correspond. Je lis de tout (en plusieurs langues): sf, philo, histoire, anthropo, biolo, vulgarisation, littérature, polar, etc. Je cherche à me sevrer et limiter les doses puisque si je n'y prends pas garde et si j'ai du temps libre, je ne fais que ça en continu, comme un boulimique compulsif. Ca me permet je crois de déconnecter de la réalité, de rassembler mes idées, de canaliser mon bordel mental, de rentrer dans une transe hypnotique légère, de vivre par procuration, de tuer le temps, etc.J'ai longtemps vu cela comme quelquechose de positif, la "lecture" et la "culture" étant valorisée, et aussi parce que je prenais mon pied. Je fais d'énormes efforts pour m'en débarasser mais ça revient au galop. Je crois qu'on aborde peu les problèmes du surdon sous cet angle.

Le diagnostique...et après ? : Diagnostic, Tests et Psys Saul a écrit:Je pense qu'une fois le diagnostic posé, les gens réagissent selon leur histoire. On passe en général par une phase d'éclairage, on revisite sa vie, on comprend mieux ce qui s'est passé, ce qui nous est arrivé, chacun selon les événements qu'il a vécu. Souvent, ça procure une certaine euphorie, on comprend mieux, on se comprend mieux et le puzzle de sa vie et de sa propre identité se met en place. c'est ça. pour ma part, je n'en suis qu'aux balbutiements du travail sur moi même.concrètement, j'ai été, au départ séduit par l'idée qu'une fois la confirmation effective, comme par magie, tout rentrerait dans un ordre qui me conviendrait et ainsi, repartir en paix avec mon être. me voilà depuis quelques temps parti sur une thérapie comportementale et cognitive axé sur la connaissance et la gestion émotionnelle. je ne sais pas vers où je vais.

Douance, phobie sociale, évitements : Discussions et Débats - Page 2 Ca fait du bien de se reconnaître un peu dans vos témoignages... On m'a souvent dit que j'étais une sauvage, une sociopathe, que j'aimais rien et que je critiquais tout. Des remarques du genre "pfff de toute façon toi, t'aimes rien !", j'en ai entendu ! Inutile de dire qu'après ça, je me sens encore plus mal, isolée, à part, etc... J'ai des tendances à la phobie sociale (dans la rue, dans les magasins), où je me sens observée, j'ai l'impression d'être ridicule et j'ai des bouffées de chaleur...Mais pas toujours ! Après, j'ai une tendance horrible à "analyser" les gens et les relations qu'ils entretiennent entre eux. Voilà, ça c'est horrible d'être comme ça, de tout analyser sur le comportement des gens. Quand je suis pas bien, je suis à peu près incapable de faire des efforts. C'est ça qu'il faut accepter. C'est pareil, je ne peux pas faire semblant si je suis avec des gens à qui je n'ai rien à dire.

Douance et inconstance : De tout et de rien... Je n'ai rien réglé. Je commence juste à appréhender les raison qui pourraient faire que je suis comme ça. C'est même ma problématique principale. A force de vouloir tout faire, je ne fais rien. Je m'enthousiasme très vite pour quelque chose. Je crois que, me concernant en tout cas, il y a aussi la peur de l'échec. Les choses m'ennuient, je ne comprends pas pourquoi je devrais les faire. Donc je survole ma vie sans jamais me poser en attendant que quelque chose d'extérieur à moi vienne la changer mais bon...si ça marchait comme ça, ça se saurait. Je sais ce qui ne va pas mais je suis incapable de changer. J'ai l'impression parfois d'être prisonnier de mon propre corps qui, lui, se complait dans l'inertie la plus poisseuse. On ne reste parfois fidèle à une cause que parce que ses adversaires ne cessent d'êtreineptes.

Douance et pensée arborescente : Discussions et Débats [spoil] Colonel Moutarde a écrit:Je suis toujours perplexe dès qu'on abat cette carte : "inconsciemment". :) ... j'ai hésité en l'écrivant, et puis j'ai laissé filer, par paresse (pour le coup je n'ai aucun doute) ! Et si c'est invérifiable, ça n'a pas tellement d'intérêt, en fin de compte. Là-dessus on pourrait discuter, mais ce n'est pas le sujet... A mon avis, en examinant consciemment, mais avec honnêteté la situation, on peut trancher la question en soi-même et savoir si on se ment ou pas - dans le cas présent, quand on se dit "j'ai ce que je voulais, je passe à autre chose". Je le pense aussi, mais je trouve difficile de prendre du recul par rapport à moi-même. Certes, beaucoup de détails sont perdus, si tu n'en as plus eu l'usage, mais ça ne sert jamais à rien. (...)Tu peux avoir un souvenir moins précis mais qui répond néanmoins à l'utilité attendue de ta lecture : une pièce de la compréhension globale d'un phénomène. Oui, en réfléchissant, c'est à peu près comme ça que je le vis.

pensée visuelle : Sciences azerty a écrit:Le schématique s'accompagne de "gestuelle mentale" et, faute de papier pour aplanir mon schéma, je me mets le plus souvent à dessiner dans l'air avec mes mains tout en parlant, ce qui peut accélérer la compréhension. Je fais ça aussi, même si, étonnamment, j’ai mis assez longtemps à en prendre conscience. Tiens, pendant que j’y suis : j’ai souvent l’impression d’être entourée d’une espèce de nuage d’idées et de concepts, parmi lesquels j’évolue au fur et à mesure de mon raisonnement. Souvent, quand une idée m’échappe, je la sens près de moi, je visualise son emplacement, là où elle doit se situer dans mon raisonnement (dans mon nuage qui prend forme), mais il me faudra du temps pour réussir enfin à la cueillir. Il y aurait de très fortes corrélations entre l'habileté manuelle et la conceptualisation : pouce opposable, main outil, orientation spatiale. J’aimerais bien que tu précises. C’est tout à fait ça ! Au plaisir d'en reparler.

Douance et résilience : Discussions et Débats - Page 2 si je peux me permettre d'apporter encore ma sauce: la version en Allemand de "résilience" est "Belastbarkeit" ce mot s'emploie indifféremment en génie civil, mécanique et psychologie, car il désigne la capacité de résister à une charge (poids, torsion, traction, impacts, peu importe) Si on l'entend de cette façon, c'est effectivement une caractéristique qu'on a depuis la naissance, et ceci pour tout le monde, d'ailleurs. Si maintenant on regarde les surdoués, on constate qu'ils doivent supporter plus d'épreuves de par leur sensibilité, leur différence etc. sans parler des accidents de parcours qui peuvent arriver à tous mais qui sont vécus de façon différente par les surdoués: deuil, parents vénéneux, agressions, accidents, maladie...

Related: