Difficultés scolaires, échec scolaire, précocité intellectuelle, enfant surdoué, test QI adulte - Cogitoz-Les surdoués-L'enfant surdoué le paradoxe de l'intelligence
De nombreuses caractéristiques marquent le fonctionnement intellectuel de l’enfant surdoué dont le seul aspect quantitatif, « plus intelligent » ne rend pas compte. > L’enfant surdoué pense en réseau : confronté à une tâche, à un problème, à une question, l’enfant active tout une arborescence de pensée qui se déploie dans plusieurs directions simultanément. Sa pensée s’active sur le mode "global", dans un réseau associatif qui s’active à grande vitesse. Source importante de créativité et d’idées originales cette forme de pensée perturbe l’enfant dans les applications scolaires. Car les apprentissages scolaires sont construits sur un mode séquentiel: une chose après l’autre. > L’enfant surdoué utilise des raisonnements analogiques. > L’enfant surdoué a une mémoire aux capacités immenses.
Douance.org : QI, intelligence et surdouement
Précocité intellectuelle : 10 idées reçues « Inspection de l'Éducation nationale de Tournus
Voici quelques petites phrases qui pourrait être entendues de la part d’enseignants non formés sur la précocité. Des énoncés qui semblent des évidences, et pourtant la précocité intellectuelle ou le haut potentiel reflète une réalité beaucoup plus complexe. Ces phrases volontairement caricaturales permettent de se questionner et de mieux définir la précocité intellectuelle. 1. Les élèves à haut potentiel semblent vouer à la réussite, et pourtant, c’est loin d’être le cas. 2. Ces enfants qui ont cette connaissance encyclopédique dans un ou plusieurs domaines amènent à penser que leurs parents les abreuvent de connaissances, afin qu’ils réussissent. 3. Le Haut Potentiel est déterminé par la notion de QI. 4. L’immaturité psychologique semble une des caractéristiques de la précocité. 5. Ce n est pas si simple ! 6. Particulièrement doué pour détecter les erreurs ou les contradictions des adultes, l’enfant précoce n’est pas habile dans sa manière de l’exprimer. 7. 8. 9. 10.
Comment scolariser les enfants porteurs de handicap à l'école
Tellement Vrai : Surdoué, je suis en échec scolaire
Les batailles de l'autisme, hier et aujourd'hui
Jacques Hochmann Professeur émérite à l’Université Claude Bernard, médecin honoraire des Hôpitaux de Lyon, il a développé et dirigé pendant des décennies à Villeurbanne une unité ambulatoire de soins, d’éducation et d’accompagnement à la scolarisation et à la socialisation pour enfants et adolescents autistes. Auteur de « Histoire de l’autisme » (Odile Jacob 2009), « Pour soigner l’enfant autiste » (nouvelle édition Odile Jacob 2010) et « Histoire de la psychiatrie » (Que Sais-Je ? PUF nouvelle édition 2010) il est à l’origine d’un diplôme universitaire sur l’autisme et les troubles associés et du Centre de ressources autisme Rhône Alpes. L’autisme a été déclaré « grande cause nationale » en 2012. Un détour historique peut éclairer les conflits actuels. D’abord expérimentée dans les services d’adultes, ces orientations ont rapidement gagné les services d’enfants.
Pas facile d’être enfant à hauts potentiels < Le Ligueur
Salle comble à Namur. Trois cents personnes inscrites. D’autres refusées par manque de place. C’est dire que le sujet occupe et préoccupe. Les enseignants, les directeurs d’école, les Centres Psycho-Médico-Sociaux (CPMS). Et… les parents. Un enfant à hauts potentiels n’est pas l’autre Premier constat positif du professeur Jacques Grégoire : « En 2000, quand on a commencé à se pencher sur les surdoués, on nous demandait pourquoi il fallait s’intéresser à ceux qui ont déjà tout. Des solutions ? Pour Jacques Grégoire, « ce dont souffre le jeune à hauts potentiels n’est pas un trouble médical.
Comment les autistes nous voient : Ils ne captent pas les émotions sur un visage
© Jupiter Sommaire « C’est le lien précoce avec les parents qui amène le bébé à sortir de ses sensations innommables pour passer aux perceptions : par une relation entre ses émotions internes et le monde extérieur, il peut mettre en forme des pensées, puis une compréhension du monde, observe Marie-Dominique Amy, psychologue psychanalyste, auteure de Comment aider l’enfant autiste (Dunod, 2009) et précurseur dans la prise en charge des enfants autistes en France. Tous ces éléments concourent sans doute à entraver le développement de ce l’on appelle la « théorie de l’esprit ». Leur pensée est concrète, sans métaphore Ce n’est pas le cas pour l’enfant souffrant d’autisme. Ils doivent apprendre par coeur la vie en société Les tonalités et les émotions qui habillent nos phrases restant des énigmes pour lui, l’enfant est en difficulté pour se faire comprendre au niveau émotionnel.
Les enfants précoces sont des sentinelles embarrassantes
À l’école, certains enfants dérangent. Parmi eux, les enfants dits « à haut potentiel ». Souvent déstabilisants, incompris, en souffrance, ils finissent parfois par être tout simplement exclus. Mais l’enfant doit d’abord traverser le système scolaire. Le travail des associations et des professionnels engagés sur ces questions a permis d’aboutir à la reconnaissance des besoins spécifiques de ces enfants et à l’élaboration de textes de loi, pour le droit à des parcours adaptés. Mais c’est au final un véritable problème collectif qui est soulevé par la situation et la souffrance de ces enfants. Le travail à mener est grand, de sensibilisation et de formation. Il est urgent et nécessaire de sortir du déni et du silence, de comprendre plus précisément d’où viennent les résistances et comment faire avancer la situation.