Comment effacer l'historique de son navigateur ? - Journal du Net Hightech
Historique des téléchargements et de navigation, cookies, mots de passe enregistrés, dernières recherches effectuées : votre navigateur stocke tout. Voici comment effacer ces données. A moins d'activer le mode "Navigation privée" de votre navigateur en permanence, ce qui n'est d'ailleurs pas toujours possible pour accéder à certains sites, votre navigateur a forcément stocké quelque part vos traces de navigation. Si la plupart du temps, ces enregistrements automatiques sont pratiques, on peut parfois avoir besoin d'un peu de discrétion (cadeau en préparation, conversations privées, sujet qui nous tient à coeur...). Pour vider le contenu de votre historique, des solutions manuelles ou semi-automatiques existent. Sur Firefox 4 Pour une suppression sélective des derniers sites sur lesquels vous avez navigué, cliquez sur la petite flèche à droite de la barre de navigation, à coté du bouton "Rafraichir la page". Choisissez "Tout" si vous voulez effacer l'ensemble de votre historique.
INDECT le méga cyber espion européen pire qu'ACTA
Pire qu' ACTA, PIPA et SOPA réunis, il y a INDECT, le grand oublié des pétitions qui tournent en ce moment. Lancé en silence le 1er janvier 2009, le programme européen de recherche INDECT est étallé sur 5 ans. C'est le temps nécessaire pour mettre en place ce méga cyber espion. Officiellement, la Commission Européenne a chargé le consortium INDECT de mettre en place "un système intelligent d'information permettant l'observation, la recherche et la détection en vue d'assurer la sécurité des citoyens dans un environnement urbain" et dont le but est en fait "la détection automatique des menaces, des comportements anormaux ou de violence.". Au nom de notre "sacro-sainte" sécurité, il se construit un monde où notre liberté semble fondre comme neige au soleil. Les informations collectées seront traitées par des programmes qui seront en mesure de comprendre et d'enregistrer les relations entre les individus ainsi que les diverses organisations aux quelles ils appartiennent.
La lutte anti-piratage est à la peine en Espagne
Les nouvelles orientations du gouvernement espagnol en matière de lutte contre le piratage ont quelques difficultés à se concrétiser sur le terrain. Alors que le nouveau ministre de la culture au sein du gouvernement de Mariano Rajoy, José Ignacio Wert, a promis un changement d'attitude à l'égard du téléchargement illicite sur le net, certains obstacles peinent à être contournés. C'est tout d'abord le cas de la fameuse loi Sinde, votée en mars 2011 et qui prévoit entre autres le blocage des sites illégaux de liens directs et de streaming sur simple requête administrative. Selon nos confrères d'Écrans, le tribunal suprême espagnol, la plus haute instance judiciaire du pays, a accepté de passer au crible le texte suite à une requête formulée par l'association des usagers d'Internet. L'objectif de l'association est de parvenir à faire dérailler la loi en estimant qu'elle va à l'encontre de la législation.
The Pirate Bay supprime tous ses .torrents, comme prévu
C'est fait. Depuis ce mercredi, The Pirate Bay est devenu "The Magnet Bay". Le site suédois a retiré comme prévu la quasi-totalité des fichiers .torrent qu'il hébergeait depuis son lancement, en 2003. À la place, les internautes trouveront sur le portail des liens Magnet qui rempliront le même rôle, à savoir télécharger des contenus à travers le protocole BitTorrent et en toute simplicité. Sur le blog de The Pirate Bay, l'équipe en charge du site précise que ce changement - rendu nécessaire par la force des choses - n'a que des avantages pour eux comme pour les utilisateurs. "C'est plus simple pour nous et n'entraîne pas plus de tracas pour vous. Si The Pirate Bay s'est officiellement débarrassé des liens .torrent, la plate-forme a toutefois conscience que certains fichiers sont très faiblement partagés et qu'ils peuvent donc se retrouver inaccessibles. Le choix de The Pirate Bay de privilégier les Magnet au sein des échanges sur BitTorrent remonte à 2009.
Le Parti de gauche suédois veut protéger le partage non-marchand
Le principe du partage non-marchand sur Internet gagne la classe politique suédoise. Interrogé par la chaîne de télévision Sveriges Television (SVT), le nouveau président du Parti de gauche (Vänsterpartiet), Jonas Sjöstedt, a marqué son désaccord à l'égard de la traque des internautes au nom du droit d'auteur. Selon lui, les usages personnels ne doivent pas être stigmatisés. "Nous pensons que nous devons trouver de nouvelles manières de protéger le copyright sans traquer les internautes partageant des fichiers sur Internet. Mais qu'est-ce qu'un partage non-marchand, au juste ? La position du chef du Vänsterpartiet, qui compte 19 députés, qui s'oppose notamment à l'accord commercial anti-contrefaçon (ACTA), rappelle que la Suède fait figure d'exception sur les sujets ayant trait au téléchargement. Ce succès électoral a bien évidemment été porté par la condamnation très médiatisée des administrateurs de The Pirate Bay en première instance par un tribunal suédois.
Les restrictions visant Internet critiquées à l'ONU
L'étau de la censure sur Internet peine à se desserrer dans le monde. C'est l'amer constat de la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme, Navanethem Pillay. Lors de la 19ème session du Conseil des droits de l'Homme, la Sud-Africaine, qui avait déjà dénoncé les pressions sur Wikileaks, s'est dite "préoccupée" par les restrictions en vigueur dans certains pays, notamment pour des raisons politiques. "Internet a transformé les mouvements des droits de l'Homme. Les États n'ont plus le monopole de l'information. Nous avons vu comment des individus courageux utilisent l'Internet pour revendiquer leurs droits" a-t-elle souligné, faisant référence au printemps arabe qui secoue depuis plus d'un an le Maghreb et la péninsule arabique, et qui a permis à quatre pays (Égypte, Libye,Tunisie et Yémen) de changer de régime. Mais la situation est loin de s'améliorer globalement, rappelle la Haut-Commissaire citée par l'AFP. Dix pays ennemis d'Internet, seize sous surveillance
Le Parti pirate bat le rappel avant les législatives 2012
L'agenda politique de 2012 est, comme chacun le devine, particulièrement chargé. Deux rendez-vous majeurs sont en effet prévus en France avec l'élection présidentielle qui surviendra ce printemps et les législatives qui auront lieu quelques mois plus tard, en juin. Les partis politiques sont depuis longtemps en ordre de bataille et tous souhaitent évidemment faire bonne figure. C'est le cas du Parti pirate, qui se mobilise en ce moment pour le scrutin législatif. Conscient de ne pas avoir autant d'adhérents que la plupart des autres partis en lice, le Parti pirate lance donc un appel pour mobiliser ses sympathisants et, surtout, susciter des vocations. Le Parti pirate précise que les candidats potentiels seront accompagnés dans les démarches administratives et épaulés dans le combat politique qui s'annonce. Depuis 2009, le Parti pirate s'est engagé à deux reprises dans l'arène politique.
La MPAA souhaite la disparition rapide de Hotfile
La répression du téléchargement illégal sur Internet est un combat sans fin. À peine MegaUpload a-t-il fermé ses portes que déjà l'attention des ayants droit s'est reportée sur un autre service d'hébergement de fichiers en un clic lui aussi très connu des internautes : Hotfile. Et dans cette affaire, c'est la Motion Picture Association of America (MPAA) qui est à la manœuvre pour obtenir la fermeture de la plate-forme. En réalité, cela fait plus d'un an que l'association interprofessionnelle en charge de la défense des intérêts de l'industrie cinématographique s'échine à mettre fin à Hotfile. Depuis, l'affaire de MegaUpload est passée par là et a donné du grain à moudre aux industries du divertissement. " " peut-on lire dans la plainte relayée par Torrentfreak . " " poursuit la MPAA. " " poursuit la plainte, la MPAA cherchant avant tout éviter un long et coûteux procès au profit d'un référé destiné à fermer Hotfile ou, à défaut, pour obtenir son blocage par les FAI américains.