Cancer: la chimiothérapie pourrait être contre-productive La chimiothérapie anti-cancer peut endommager des cellules saines et les pousser à produire une protéine qui alimente la tumeur et entraîne une résistance au traitement, selon une étude qui vient d'être publiée. Il s'agit d'un nouveau mécanisme découvert "de manière complètement inattendue" par des chercheurs américains, travaillant sur la résistance à la chimiothérapie observée dans des cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon. Les chercheurs ont ainsi mis en évidence le rôle important des fibroblastes, des cellules non cancéreuses, dans la cicatrisation des plaies et la production de collagène. Mais situées à proximité d'un cancer et exposées à la chimiothérapie, ces cellules subissent des altérations de leur ADN et produisent une protéine dénommée WNT16B qui permet aux cellules cancéreuses de se développer et envahir les tissus environnants en résistant aux traitements. Avec
Le monde des matériaux - L'Esprit Sorcier Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee ! Un dossier préparé parJean Fauquet, Barbara Gineau-Delyon et Estelle VilleminAvec l’aide de Josselin Aubrée Rédaction en chefFrédéric Courant Direction artistique et techniquePascal Léonard Direction de productionJoël Guillemet Assistante de réalisationAnaïs Van Ditzhuyzen Assistant de productionPatrick Berger Documentaliste Laurence Lebon Prise de vueTimothée CoignusPascal Léonard MontageTimothée Coignus VoixFrançoise CarrièreJean-Baptiste Puech MixagePascal Stevens Relation presse et partenariatNathalie BôJosselin Aubrée Graphisme et animationsChristophe Pernoud – BROTHERMAN Productions Web designOlivier Hamon – VO ProductionsAntoine Chérel – ATALANTA Gestion réseaux sociaux et intégrationFlorent Chevallier Remerciements Stéphane Sarrade – Directeur de recherche en chimie verte au CEA Philippe Belleville – Directeur de recherche en chimie des matériaux au CEA Crédits images
Bruxelles autorise le traitement de viande bovine à l'acide lactique La Commission européenne a autorisé lundi l'utilisation d'acide lactique pour réduire la contamination microbiologique des carcasses de bovins, une décision qui met fin à un contentieux avec les Etats-Unis sur l'importation dans l'Union européenne de viande traitée de cette façon. La mesure entrera en vigueur le 25 février et "s'appliquera tant au sein de l'Union européenne qu'à la viande de boeuf importée", a indiqué une source communautaire. La question du traitement des carcasses bovines à l'acide lactique était un sujet de contentieux entre les Etats-Unis et l'UE, qui interdisait l'importation de la viande traitée de cette façon. Cette pratique "contribuera à réduire la contamination par les plus importants pathogènes qui sont fréquemment à l'origine des intoxications alimentaires comme l'E.coli (VTEC) et la salmonelle", a indiqué la Commission dans un communiqué.
Science Actualités - Ressources Nos serveurs sont en maintenance : les sites internet d'Universcience, du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l'industrie sont indisponibles. Nous nous efforçons de rétablir le service au plus vite. En attendant, retrouvez-nous : sur nos comptes Twitter de la Cité et du Palais sur nos compte facebook de la Cité et du Palais Réservez vos billets : billetterie de la Cité des sciences et de l'industrie billetterie du Palais de la découverte Nous contacter par courriel Nous contacter par téléphone :
Ebook : Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux Les professeurs Even et Debré ont donc décidé de passer en revue les 4 000 médicaments sur le marché et d’identifier ceux qui sont efficaces, ceux qui le sont moins, ceux qui ne le sont pas du tout et, parallèlement, d’analyser leur degré de toxicité éventuelle intrinsèque et celle qui pourrait résulter des interactions entre eux, de l’âge des malades et des pathologies associées et préciser quel pays les a découverts, leur prix et leur coût pour la Sécurité Sociale. Ce guide, écrit pour les malades et parfois les médecins généralistes, ne peut évidemment répondre dans le détail à toutes les questions, mais il peut alerter, aider et, en cas de doute, conduire à consulter son médecin. Il devrait aussi aider les politiques à revoir et contrôler réellement le monde délivrant des médicaments, des milliers de médicaments inutiles, des centaines dangereux. Télécharger
La Chimie au Lycée La matière L’énergie La chimie organique Acidité/Basicité La cinétique L’oxydoréduction Les piles L’électrolyse La catalyse Lexique Les grands scientifiques Quizz Films à découvrir Accueil CNRS Banque d’images Catalogue Vidéothèque La physique au lycée Le lait : une imposture ? Le glutamate est un tueur. Lent, mais implacable ! Ses dangers… De nombreuses études tendent à démontrer que le glutamate monosodique (GMS ou MSG), cette simple petite poudre blanche, un exhausteur de goût très largement utilisé dans la cuisine asiatique et qui se cache derrière à peu près 25 noms différents est un poison lent. Irritant du tube digestif, il déclenche une faim mécanique qui pousse à la consommation. Voyons cela de plus près D’abord, on sait, dans le monde de la recherche scientifique, que le glutamate monosodique, administré à des rats à leur naissance, les rend systématiquement obèses et a pour effet de tripler la quantité d’insuline que secrète leur pancréas… Une découverte très utile pour les scientifiques qui se penchent sur les tests d’études portant sur les régimes amaigrissants ou sur le diabète. Génétiquement, le rat ou la souris ne sont pas obèses. Il faut donc en créer l’espèce. Et ce n’est pas un scoop !!! Les premières études constatant les effets secondaires du glutamate datent de 1978 ! Pour les sceptiques… en France :
Honteux : un remède contre le cancer caché par l’industrie pharmaceutique | PopCorn News Une étude menée à l’Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a découvert que les feuilles de l’arbre Graviola tuent les cellules cancéreuses chez 6 lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie. Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, à tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à l’Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de l’arbre Graviola tue seulement les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.
Un médecin au service des labos vide son sac C’est un témoignage coup de poing qui va faire mal à l’industrie pharmaceutique, à peine remise des scandales du Mediator ou des pilules contraceptives. Dans un livre qui paraît mercredi, le Dr Bernard Dalbergue, 55 ans, dénonce les «pratiques douteuses» d’une industrie où il a passé deux décennies, dans plusieurs firmes différentes. C’est la première fois en France qu’un ancien cadre dissèque de l’intérieur, documents et histoires vécues à l’appui, la manière dont les labos manipulent les médecins, voire les autorités. Bernard Dalbergue a longtemps été un bon soldat. Jusqu’à ce qu’il soit «révolté» par ce qu’il a vu chez son dernier employeur, l’américain Merck, qu’il accuse d’avoir «foulé aux pieds l’éthique».«Si je parle aujourd’hui, c’est pour contribuer à réduire les accidents médicamenteux, qui tuent au moins 18 000 personnes par an en France, et pour proposer des pistes de réflexion pour réformer le système», explique Dalbergue. «Dorloter». Couvrir. Photo Frédéric Stucin